Plaire Instruire Théâtre

appelle comédie la tragédie envisagée d’un point de vue humoristique ».  Cependant d’un autre coté nous avons d’autres comme LOUIS BONALD qui pensent que : «  la comédie corrige les manière et le théâtre corrompt les mœurs » . C’est dans cette même lancée que MOLIERE écrit dans la préface du Tartuffe que : « l’emploi de la comédie est de corriger les vices des hommes ». En d’autres termes MOLIERE pense que la

informent que Gnathon appartient à une classe sociale élevée : il mange des « viandes » (cf. note 2) en abondance à une époque qui voit se succéder de terribles famines ; on l’invite en dépit de sa grossièreté et de son égoïsme – peut-être pour lui plaire et obtenir de lui quelques faveurs - ; il se déplace en carrosse, possède des valets etc. - Cette position sociale renforce le dégoût du lecteur : rien en effet ne saurait excuser l’égoïsme et la goinfrerie du personnage (précisément dans la mesure

Britannicus, Racine Acte III, scène 8 Objet d’étude : le théâtre, la tragédie classique (XVII°) Objectifs notionnels - les stichomythies, le style (le rythme des alexandrins) - la tension dramatique au cœur de la pièce (Acte III central) Objectifs culturels - le jeu des acteurs : le théâtre comme texte et comme spectacle (dynamisme) - le nœud de l’action et le conflit tragique inévitable - vers le dénouement tragique : la crainte grandissante du spectateur face au fatum (catharsis)

d'Antigone. Avec cela, nous pouvons remarquer qu'il respecte alors une des lois de ce siècle qu'est le Classicisme : l'inspiration de l'Antiquité. Mais cela n'est pas tout car, comme nous le savons, la devise de ce siècle est ''plaire et instruire'', et donc, pour plaire aux spectateurs, Racine change la raison du conflit entre Créon et Antigone qui est, rappelons-le, qu'Antigone a enfreint la loi de Créon qui est donc d'avoir enterrer son frère. Il transforme alors l'origine du conflit en un conflit

temps des lumières. Lecture analytique 2 : Autorité politique de Diderot Diderot est un grand animateur des lumières, il écrit des romans des comptes et des pièces de théâtre, il initie le genre de la critique d'art novateur, dans tous ces domaines. Exemple Jack le Fataliste (met en cause l'illusion romanesque). Théatre => il a inventé le drame où il introduit le mélange des genres. Mais il est surtout connu pour être le mettre d'œuvre de l'ouvrage phare des lumières : L'encyclopédie ou dictionnaire

l'évolution de l'apologue qui devient un genre littéraire remportant beaucoup de succès auprès des lecteurs y compris à partir du 20eme siècle avec l'utopie. En effet, contrairement aux autres genres littéraires à l'instar du roman, de l'essai ou du théâtre, la lecture d'un apologue est rapide et offre une lecture divertissante et pleine de fantaisie car les hommes aiment qu'on leur raconte des histoires pleines de péripéties, de rebondissements. Toutefois, malgré l'attrait qu'offre ce type de récit

personnage augmente le plaisir comique du spectateur. Toinette renforce la satyre de la médecine et du bourgeois crédule : finalement il suffit de se mettre une barbe et un manteau pour devenir un grand médecin. Molière utilise aussi le procédé du théâtre dns le théâtre. Cela consiste à mettre en scène une fiction pour révéler une vérité. C’est en se déguisant en médecin que Toinette révèle la supercherie de la médecine. Ce que Toinette fait à l’intérieur de la pièce, Molière le fait avec toute la pièce :

esthétique se fonde sur le souci de rationalité et d’équilibre permettant d’égaler les œuvres antiques. L’artiste classique vise à la fois à plaire et à instruire. Aussi cherche-t-il d’abord la clarté, la simplicité, le naturel. L’idéal de l’honnête homme cultivé, élégant et sociable, sans tomber dans l’excès, contrebalance les faiblesses humaines. Pour le théâtre s’instaure la règle des 3 unités : - Unité de temps - Unité de lieu - Unité d’action Les grands

principalement pour ses Fables et pour ses contes . On lui doit également des poèmes , des pièces de théâtre et des livrets d'opéra. Il est reçu à l'Académie française en 1684. Il s'inspira d'Esope (poète de l'antiquité) pour rédiger ses très grands textes, les fables. Jean de la fontaine fait parti du mouvement "le classicisme" pour atteindre une langue pure et mélodieuse mais aussi pour plaire et instruire leur public. Jean de la fontaine est moraliste et fait passer ses messages par le rire et la fiction

Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d'en sourire ou même d'en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L'artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n'a-t-il pas des limites ? I. L'humour rend plus réceptif aux sujets sérieux 1. Qu'est-ce qu'un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que faut-il entendre par sujet « sérieux » ou « grave » ? Sans