Plaisir Désintéressé

utiles ; les beaux arts qui favorisent la recherche du beau (architecture, sculpture, peinture, théâtre, poésie et littérature, musique, puis le septième art avec la photographie et le cinéma). - Le Beau fait plaisir à tout notre être, c’est une satisfaction totale. Mais c’est un plaisir désintéressé qui passe outre de la culture, c’est une réaction de l’être humain (valeurs de l’âme) avant le sujet. b. Démystification des buts de l’art. (Nous sommes trompés par la façon d’associer art et beauté)

mettre fin à cette souffrance et, pour peu que nous désirions réellement un objet source de satisfaction, une source de plaisir. Or, si l'on en croit Kant, l'une des destinations à laquelle la nature a voué l'homme est le bonheur. On a donc l'impression que satisfaire ses désirs c'est répondre à cette destination, à condition bien sûr que le bonheur se limite à une somme de plaisirs. 2) Désir et condition humaine Il faut souligner que seul l'homme désire. Dieu, parce qu'il est parfait, ne manque

mettre fin à cette souffrance et, pour peu que nous désirions réellement un objet source de satisfaction, une source de plaisir. Or, si l'on en croit Kant, l'une des destinations à laquelle la nature a voué l'homme est le bonheur. On a donc l'impression que satisfaire ses désirs c'est répondre à cette destination, à condition bien sûr que le bonheur se limite à une somme de plaisirs. 2) Désir et condition humaine Il faut souligner que seul l'homme désire. Dieu, parce qu'il est parfait, ne manque

un semblant de paix et de satisfaction jusqu'au jour où la possession de l'objet ne suffit plus... Le désir peut donc également être considéré comme une souffrance qui ne s'achève que provisoirement après satisfaction (qui procure par ailleurs du plaisir). On ne peut de plus jamais satisfaire le désir car ce dernier renaît toujours de ses satisfactions éphémère (= qui dure peu de temps). II- Le désir n’est pas que l’expression d’un manque A) Affirmation de soi * Dans le théâtre Descartes

n’est pas le plaisir de les contempler, on les fabrique pour les utiliser. J’achète une machine à laver, ce n’est pas pour la regarder mais l’utiliser. La seule finalité de l’œuvre d’art c’est d’être contemplée et procurer du plaisir alors qu’un objet technique c’est juste être utile. La seule finalité est une contemplation esthétique de l’œuvre d’art. L’art est gratuit dans le sens ou il ne satisfait pas un désir. L’objet technique on attend de lui une utilité. Qu’est-ce que le plaisir esthétique 

pas des règles universelles. Comment expliquer qu’un chef d’oeuvre puisse plaire à l’un et déplaire à l’autre. Une oeuvre d’art ne touche-t-elle qu’au plaisir des sens ? Les hypothèses de Kant sont parfois difficiles à défendre. La prétention légitime à l'universalité découle, on l'a vu, du désintéressement. Mais un jugement peut être désintéressé et néanmoins propre à celui qui le porte. Ainsi d'autres facteurs que l'intérêt peuvent rendre un jugement singulier : la situation, la culture, l'humeur

supporter dans la douleur - On peut être heureux En dissipant les craintes illusoires qui nous affectent et en cessant d’être dominé par notre imaginaire, on cesserait de se créer notre propre malheur. Il faut simplement rechercher n’importe quel plaisir. Pour se faire, Epicure établit une classification des désirs : Fondamentalement, il éclaire d’abord des désirs naturels et des désirs non naturels. |Désirs naturels |Désirs non naturel (= artificiels)

Volupté = plaisir sensuel, sexuel La caresse = ne sait pas ce qu’elle cherche, un jeu sans projet, un non-savoir, l’attente de l’avenir pur Quand on a un but, il n’y a pas d’avenir pur, c’est seulement quand on ne sait pas ce qu’n cherche (caresse) qu’il peut y avoir un avenir pur. Quand on a un projet, l’avenir a un contenu. Quand on se trouve dans une situation de volupté, il peut y avoir un avenir pur (car on ne pense pas à l’avenir, à un but/projet) La volupté n’est pas un plaisir solitaire

l’eau s’écoule du crible avant que quelques gouttes ne finissent par remplir péniblement le tonneau percé, de même nos appétits apparaissent et disparaissent avant que quelques uns ne parviennent à être satisfaits et à remplir nos existences d’un plaisir qui à peine vécu s’en va déjà. La poursuite effrénée de la satisfaction de tous nos désirs ne peut mener au bonheur car elle nous condamne à un repos impossible et un chaos existentiel assuré. Tiraillé entre tous les désirs, l’on ne se satisfait

des rapports parents - enfants et enseignants – élèves. Surtout que certains parents, submergés par leurs responsabilités, oublient le bonheur et surtout la chance d’être parents. De même pour l’enseignant qui ne pense jamais au plaisir d’enseigner et à la grande influence qu’il peut avoir sur ces élèves. I – Introduction : Il est vrai que je ne suis ni psychologue ni sociologue mais je me permets après 22 ans d’expérience dans l’enseignement de donner mon avis sur