Plaisir

Bibliographie Le plaisir Le plaisir renvoi a une double problématique : La 1ere éthique concernant les conditions de la vie bonne. La réflexion sur le plaisir est une réflexion centrale. Doit-on distinguer le bonheur du plaisir ? Le bonheur se définit il par une somme de plaisir plus grande que la somme des peines éprouvé. Nous mettrons en dualité Aristote et Platon Le deuxième aspect, c’est l’aspect esthétique, nous étudierons les réflexions de Burke ainsi que Kant et Hume. Le gout ce n’est

LE PLAISIR : INTRODUCTION Lorsqu'on pose la question du plaisir, la question de la vertu n'est jamais loin. « Qu'est-ce qu'une vie bonne ? », Philèbe. La question de la nature du plaisir apparaît comme condition de sa valeur morale. I / La nature du plaisir La définition commune du plaisir est simple mais peu profonde. Le TLF le définit comme : « un état affectif agréable, durable, que procure la satisfaction d'un besoin, d'un désir ou l'accomplissement d'une activité gratifiante ». L'état

LE PLAISIR Épicure est l'un des premiers à avoir réfléchi sur le thème du plaisir. Lucrèce est de son coté, très sensible à la portée morale de la pensée de son maître. -Le bonheur est, selon l'épicurien le bien suprême, qu'il faut acquérir et conserver : il se confond avec la uoluptas, le plaisir, mais pas n'importe quel plaisir. Le plaisir épicurien, c'est, pour le corps, l'absence de douleur (aponie), et, pour l'esprit, l'absence de trouble et de crainte, le calme, la tranquillité, la sérénité

« LE PLAISIR PEUT IL ETRE VERTUEUX ? » L’homme est naturellement enclin à satisfaire des désirs. L’élan vers le plaisir constitue l’élément moteur de son action. Une morale qui ne serait pas fondée sur le plaisir serait inhumaine. La vertu, quant à elle, est utile aux hommes dans la mesure où elle les aide à vivre ensemble et cela en bonne intelligence. La recherche du plaisir est-elle compatible avec la vertu ? Dans un premier temps nous verrons que le plaisir est acceptable lorsqu’il accompagne

Peut-on parler de plaisir partagé ? Examen global de la question : Peut-on parler de plaisir partagé ? → De là émane plusieurs questionnements : Le plaisir est-il tout d'abord individuel, spécifique à une et même personne dont autrui ne pourra percevoir les effets ? Ou au contraire, un plaisir peut-il être universel et partagé par un regroupement de personnes ? Est-il alors possible de « scinder » ce plaisir pour pouvoir le partager ? Cette question entraîne alors celle de l'intensité

Prépa ECE Plaisir et éducation Citations utiles : Platon On utilisera les jeux pour orienter le désirs et les plaisirs des enfants dans la direction qu'ils devront suivre. Plaisir a un rôle dans l'apprentissage. Rousseau Voici venu le temps d'accoutumer l'enfant peu à peu à donner l'attention suivie à un objet, mais ce n'est jamais par contrainte, c'est toujours le désir et le plaisir qui doit produire cette attention. Aristote On admet, en effet, ordinairement que le plaisir est ce qui

satisfaction, délices, régal, jubilation… des mots pour décrire le plaisir, ça ne manque pas. Le plaisir, finalement, est-ce que c’est bien ? Notre civilisation qui puise ses racines dans la religion judéo-chrétienne a un discours un peu double face à cette question. Il n’y a pas de tabou réellement par rapport à la question du plaisir. Mais ce qui procure du plaisir est souvent un peu suspect. Pourquoi a-t-il des limites ? Pas loin du plaisir, il y a souvent les interdits : la gourmandise n’est-elle

Le plaisir du jeu « Les jeux des enfants ne sont pas des jeux ; il faut les juger en eux comme leurs plus sérieuses actions » Montaigne. Cela veut-il dire que le plaisir du jeu est une affaire sérieuse ? Si pour l’enfant, le jeu est une activité initiatique, de découverte ou encore exploration de soi, quand est-il du plaisir du jeu pour les adultes ? Pourquoi n’y renonce-t-il pas alors qu’on en voit certains jouer avec frénésie, au point de tout lui sacrifier. Le jeu est décrit comme une activité

plus, il disait que la nature nous fournit une guide de bien et mal qui est la sensation de plaisir et de douleur. Dans son texte « Se suffire à soi-même et se contenter de peu » tiré de la Lettre à Ménécée, où le thème principal c’est la capacité de se suffire à soi-même et se contenter de peu pour être heureuse. Le philosophe grec présent plusieurs concepts, principalement la vie heureuse ainsi que le plaisir, le désir, l’opulence, les souffrances corporelles, les troubles de l’âme, la raison vigilante

Le plaisir est-il libre ? « Plaisir, Maître souverain des hommes et des dieux devant qui tout disparaît, jusqu'à la raison même» disait Mulien Offroy De La Mettrie. Pour lui le plaisir, supérieur, presque divin, ne souffre aucune domination, aucune entrave et serait donc libre. Cependant, dans la société hédoniste actuelle le plaisir nécessite un contrôle afin de préserver la société du chaos. Il est ainsi encadré par des lois, extérieures comme intérieures. Le plaisir n’apparait donc pas libre