Plan Comptable Bancaire Cobac

élément assez particulier de cette économie en mutation, à savoir “ le système bancaire ”. L’objectif de cette recherche consiste à répondre à deux problématiques fondamentales à savoir : -Du côté des autorités monétaires étant donné la phase dans laquelle se trouve actuellement l’économie camerounaise, quelles décisions, quelles mesures complémentaires faut-il prendre afin d’adapter le système bancaire aux exigences de l’économie en matière de financement ? -Du côté des banques

suppléer à l'impossibilité d'appliquer partout la | |supervision. Le choix de ces dispositifs vise à garantir la qualité de l'organisation à travers la performance. | |La performance peut être exprimée en termes comptables et financiers, et dépend de la capacité à : | |Ø se procurer des ressources au moindre coût, | |> les préserver ainsi que

des problèmes d’ordre commercial, économique, financier et social. Dans ce tumulte, les entreprises de micro finance ont vu le jour pour satisfaire l’éventail grandissant des demandes des consommateurs notamment à faible revenu exclus du système bancaire classique. D’après la revue de presse Epargne Sans Frontière, « la micro finance désigne l’offre de produits et services financiers aux populations démunies, exclues des systèmes financiers traditionnels ; elle ne se limite pas seulement au microcrédit

INTRODUCTION Au cours des années 80, nous avons assisté à une faillite de nombreuses institutions bancaires à travers le monde (HERSTATT (1974), BARINGS (1995), YAMAICHI SECURITIES (1996)) et l’effondrement du système financier mondial a davantage montré les lacunes dans la procédure de Gestion des risques de crédit. C’est pour cette raison que les gouverneurs des banques centrales des pays du G 10 ont décidé de mettre sur pied les normes pouvant régir la gestion des risques d’où la naissance

Congolaise de l’Habitat BCI : Banque Commerciale Internationale BEAC : Banque des Etats d’Afrique Centrale BHT : Banque de l’Habitat de Tunisie CA : Conseil d’Administration CEMAC : Communauté Economique et Monétaire d’Afrique Centrale COBAC : Commission Bancaire de l’Afrique Centrale C Directeur General DG : Direction Générale DGA : Directeur General Adjoint FCFA : Franc de la Coopération Financière d’Afrique Centrale FR : Fonds de roulement GIE : Groupements d’Intérêt Economique IRB

Bulletin de la Commission Bancaire de l’Afrique Centrale Bulletin de la Commission Bancaire de l’Afrique Centrale N° 9 Juin 2007 Secrétariat Général de la COBAC B.P. 1917 Yaoundé Cameroun - Tél. (237) 223 40 60 - Fax (237) 223 82 16 Sommaire Avant-propos ____________________________________________ 2 I. Réglementation comptable et prudentielle __________________ 3 4ème REUNION DU GROUPE DES SUPERVISEURS BANCAIRES FRANCOPHONES _____ 3 1. 2. 3. 4. 5. Organisation et

VIII INTRODUCTION………………………………………………………………….. 10 PREMIERE PARTIE : Un système bancaire soumis à des contraintes fortes ……13 Chapitre 1 : Le poids de l’environnement 14 Section 1 : L’environnement économique………………………………………… 14 A- Le rôle de l’histoire……………………………………………........... 14 B- La crise bancaire des années quatre-vingt……………………………. 15 C- Les contraintes liées à l’environnement

depuis le 1er janvier 1998 avec l’entrée en vigueur du Système comptable OHADA. En effet, selon l’article 16 du référentiel juridique du Système comptable OHADA « toute entreprise établit une documentation décrivant les procédures et l’organisation comptable. Cette documentation est conservée aussi longtemps qu’est exigée la présentation des états successifs auxquels elle se rapporte » Les entreprises relevant du Système comptable OHADA sont tenues d’établir le manuel des procédures. Il s’agit

l’ensemble des règles et usages à respecter pour l’exécution d’une opération donnée ; elle décrit clairement la manière de procéder pour effectuer chaque type d’opération. Le contrôle interne désigne selon la définition de l’ordre des Experts Comptables Français, l’ensemble des sécurités contribuant à la maîtrise de l’entreprise. Il a pour but d’assurer la protection, la sauvegarde du patrimoine, la qualité de l’information, l’application des instructions de la Direction et l’amélioration des performances

majoritaires (BIAO, Crédit Agricole, Cameroon Bank, …) entraînant avec elles dans leur décadence, de nombreuses entreprises et hommes des milieux d’affaires. Fort de ce constat, et depuis plusieurs années, les autorités de réglementation et de contrôle bancaire ont pris de nombreuses initiatives en vue de développer et de renforcer le contrôle interne dans les établissements de crédit.[1] L’objectif étant de s’assurer que les risques de toute nature sont analysés et surveillés et de contribuer à la détection