Platon Le Mythe De La Caverne

Explication du texte de Platon, extrait de La république, livre VI Le texte qui nous est ici proposé est issu du livre VI de La république, ou de la justice, composé par Platon (athénien né en 427 et mort en 347 avant J.C.). Ce livre traite de la forme qu'il faudrait donner à la cité (polis), c'est-à-dire quel gouvernement et quelles institutions lui conférer, afin qu'elle fût juste. L'on sait que chez les Grecs il était courant que les sages donnent des constitutions aux cités

vue pragmatique: De plus,la tradition antique en faisait déjà mention avec Platon qui voyait les passion comme une sorte d'aveuglement. En effet pour lui les passions sont directement issues du monde de la grotte(issue du mythe de la caverne étudier ultérieurement), elles font tomber les hommes dans un pseudo savoir dont ces derniers ce persuadent eux même être vrai alors qu'il ne sagit en fait,d'après Platon, d'une fausse certitude. Les passions sont ici les chaînes qui retiennent l'âme au

on présuppose qu'il existe un ordre immanent (de la nécessité). Il existe donc des lois irréfragables (on ne peut y échapper). Ces forces vont dicter le comportement des individus. La naturalisme trouve son origine dans la pensée d'Aristote et de Platon. Cette idée de nature sera reprise par plusieurs scientifiques, notamment au cours de la révolution newtonienne de physique. Cette idée de nature dans la physique n'est pas quelque chose d'anodin puisque la pensée des économistes classiques est étroitement

publique et un nom secret. Celui qui connait le nom secret a tout pouvoir sur la personne dont il connait le nom secret. Dans le conte Ali-baba et les quarante voleurs, la formule «  sésame ouvre-toi » permet d'ouvrir la porte de la caverne secrète. D'où le mythe des magiciens qui feraient apparaître et disparaître les choses par la formule «  abracadabra ». Plus révélateur encore, dans la religion chrétienne, il est dit que Dieu crée le monde avec le verbe, avec le mot. «  que la lumière soit

sur la construction du monde contemporain (des concepts aux réalités) I – A. 1. Comprendre la philosophie des lumières Définition : la métaphore des lumières existe déjà à l’antiquité en premier lieu avec Platon, cf. La république, le mythe de la caverne. // Film Matrix Le mythe de la caverne symbolise le passage d’une ignorance qui s’ignore, à une ignorance consciente car les prisonniers refusent une autre théorie, ils le prennent pour un fou. Socrate « Je ne sais qu’une seule chose, c’est que

les représentations de l'idéal La définition de l'idéal Baudelairien , est bien plus subtile que celle que nous connaissons . Pour nous l'idéal est la perfection suprème , pour Baudelaire c'est différent , il reprend l'idée de Platon dans " le Mythe de la caverne" ou il explique que la réalité n'est que la forme visible d'un monde invisible . pour Baudelaire le monde réel ne lui correspond pas il se sent incompris comme dans ''l'albatros" ou il s'identifie à un oiseau malmené et torturé . Le

vérité c'est ce soumettre à celle ci, c'est donc entraver notre liberté. l'ignorance de la vérité est synonyme de passivité face à la réalité, c'est donc vivre dans l'illusion est ce soumettre à des préjugés. Prenon l'exemple du "mythe de la caverne" de Platon. Cette caverne sombre est habité par des prisonniers qui sont enchaînés et qui vivent dans l'illusion de la réalité. Un jour, un des prisonniers est conduit à la lumière du jour et vois pour la première fois les objets naturels et le soleil tels

le cas ici avec la liberté. C’est le cas par exemple du mythe de la caverne de Platon ou l’homme qu’on tire de force de la caverne pour lui montrer ce qu’est la vraie vie. Au terme de son ascension, le prisonnier sait qu’il est prisonnier et que cette caverne n’est en réalité pas sa maison mais une simple prison. L’homme sait qu’il existe une vie meilleure en dehors de cette caverne et le fait de le remettre en prison dans la caverne le rend malheureux. C’est dans les moments ou nous sommes

autour de la terre » avait dit Ptolémée.  Porter tous les mêmes vêtements, avec les mêmes logos, c’est pour certains, être, alors que ce n’est que le paraître. Que de subjectivité dans le paraître, nous leurrant souvent sur ce qui est (le mythe de la caverne de Platon). Que ne fait-on pas pour l’apparence ? Débat :   –  Être et paraître, ce ne sont pas que les apparences. Tout est comportemental, car tous nous jouons un jeu de rôle, plus ou moins constant. Les ramener à des notions physiques casse l’être

L'homme a toujours philosophé. Il l'a fait par le mythe avant de développer sa raison en la tournant vers elle-même et ses multiples possibilités. Encore qu'il y ait une rationalité du mythe, ce qui montre bien l'historicité du philosopher, non dans ses questions, mais dans ses réponses. La philosophie, dit Aristote, est née de l'étonnement. La première forme de l'interrogation sur fond de réponses préalables : le mythe. Comment passe-t-on du mythe à la philosophie, du mythos au logos, comme on dit