Platon Le Mythe De Prométhée

Gorgias; c’est bien celle de l’âme. Cette question est des plus tracassantes de toute l’histoire de la philosophie et c’est chacun qui l’appréhende à sa façon ; ce qui lui confère son caractère de concept flou. Pour plusieurs philosophes, il a fallu que Platon naquît pour que les penseurs tinssent pour nouveau débat la question de l’âme. À ceux-là nous dirons tout simplement qu’ils sont dans une caverne épistémique car beaucoup d’auteurs bien avant Socrate ont statué sur cette question notamment les présocratiques

inévitablement à sa propre nuisance, l’homme à la capacité de s’élever lui-même et de pouvoir tendre vers des prétentions qui semblent sans limite. Ce danger formidable que représente l’homme à pour origine la technique. Dès l’antiquité, Platon, dans le célèbre mythe de Prométhée, illustre cette particularité de l’homme. Les techniques sont considérées comme une compensation donnée aux hommes face à un handicap physique originel, qui fait de l’homme le créateur le moins adapté parmi les espèces. Ce don des

exemple. Ici il faudra définir : * Ici : Ici : Tableau répartition auteurs/arguments/exemples par partie Auteur | Thèse | Argument | Contre exemple | Citation /Exemple | Partie du devoir | Platon | Il s’agit d’un mythe qui défend l’idée que les hommes ont une place à part dans la Nature. Ils possèdent l’intelligence, la technique… | L’homme a une place à part parce qu’il possède le pouvoir de modifier son environnement | Pouvoir relatif : Fukushima et

obstacle à la nature (humaine). Cette identification de la société à un démon corrupteur, semble bien faire abstraction de notre nature humaine. En effet, " l’homme n’est ni ange ni bête ", disait Pascal. L’état de nature serait par conséquent un mythe créé de toutes pièces … justement pour nous montrer que la société contribue à faire de l’homme un homme ! C’est ce qu’a compris Rousseau, puisqu’il nous montre, après avoir fait les louanges du " bon sauvage ", que le contrat social est un bienfait

de vérité incontestable. Cependant, Platon ne ressent pas la même chose puisqu’il pense que chaque individu a leur fonction, l’homme normal possède l’âme désirante. De plus nous sommes dominés par ces désirs et celui-ci nous apporte des conséquences individuelles et collectives. Pour ma part, je suis plus d’accord avec Platon puisque la démocratie de nos jours est problématique et ne permet pas de répondre aux enjeux. Platon En premier lieu, selon Platon, nos démocraties contemporaines ne sont

travail » ________________________________________ Travail et technique : des rapports dialectiques _________________________________ L’ambivalence fondamentale du travail et de la technique __________________________ La technique, c’est le feu : le mythe de Protagoras _______________________________ 1 2 2 3 I. Esclavage ou libération ? ________________________________ 4 A. Le travail est une contrainte pénible ___________________________ 4 L’origine du concept de travail_____________________________________________

1 Qu’est-ce qu’un mythe ? Le terme de mythologie n’a rien de mystérieux : il désigne un ensemble de mythes appartenant à un même contexte culturel, et réunis sans grand souci de cohérence. La notion de mythe, en revanche, est infiniment plus complexe. Sans poser trop longuement des problèmes de définition (dont une abondante bibliographie nous assure qu’ils sont insolubles), il est possible d’éclairer ou du moins de limiter l’objet de cette étude. Le mythe se caractérise par sa forme (un

dans l’erreur. » : Reprise de la polémique, mais avec une dimension supplémentaire : Il engage une réflexion sur la nature humaine, et sa condition. C'est-àdire que ceux qui sont pessimistes (au premier rang desquels se trouve Platon, auteur d’une relecture du mythe de Prométhée) ne comprennent pas la vraie richesse humaine. Leur erreur est une erreur d’interprétation sur la valeur de la réalité, mais aussi une erreur dans la logique de leur raisonnement : ils ont confondu l’accidentel (il est nu, sans

n'imaginons pas un poète ou un amoureux, mais un dangereux technicien. Le cinéma et la littérature de science­fiction se délectent de cette idée d'une création qui échappe à notre contrôle, une idée déjà présente dans la tradition juive à travers le mythe du Golem, ou encore dans le roman plus moderne de Marie Shelley Frankenstein or The Modern Prometheus. Mais à côté de ce cortège de robots et d'ordinateurs qui prennent le pas sur l'homme, reste à savoir si la résistance que pourrait opposer le progrès

Parmi les légendes de la création de l'homme, la plus récente est évoquée par Pseudo- Apollodore et Pausanias : elle rapporte qu'il aurait été modelé par le Titan Prométhée à partir d'un mélange de terre et d'eau. Cette tradition crée un lien très fort entre ce personnage et l'espèce humaine. En effet, Prométhée est très souvent considéré comme le bienfaiteur de l'humanité, celui qui lui a offert le feu et qui, pour cela, subit un supplice éternel. D'autre part, cette création de l'homme