Platon Le Mythe De Prométhée

La nature est-elle bien faite La nature est-elle bien faite ?Beaucoup de copies très naïves et complètement anthropocentrées. Le sujet n’est pas la nature est-elle bien faite pour l’homme, mais bien faite, dans l’absolu… Il est naïf (mais drôle) de dire que la nature est bien faite car elle a d’abord viré les dinosaures avant de nous faire apparaître ! Revoyez la méthode, beaucoup d’intros sont indigentes, ne citent pas le sujet ou pas le bon et ne problématisent pas. Intro : La nature

les valeurs morales ? ; le bien et le mal sont-ils des conventions ? : * ils ne sont que l’intériorisation des règles (ce qui est bien/mal) ; ce qui est contre la paix sociale = mal ; règles sociales = pouvoir vivre en cohésion dans la paix sociale- Platon ( Ve av JC) : * Anneau de Gygès : fable dans La République ; il s’y demande ce qu’est une cité juste, quel est le régime politique le plus juste pour l’Homme ; pour lui le pire est la

de la littérature ne paraît pas à ce point « tiré par les cheveux ». Exemple: Platon ( 428-347 avant JC), il a précisément une attitude ambiguë à l'égard des écrivains à ce sujet. Dans son dialogue la République, il estime que, les poètes et les auteurs de pièces de théâtre n'ont rien à faire dans une cité idéale. Le premier devoir des législateurs c'est de les chasser. Étant donné qu'ils créent des histoires, Platon leur reproche d'introduire dans les esprits la confusion entre le vrai et le faux

Les fonctions du mythe dans l’organisation spatiale de la citéKernos Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique  20 | 2007 Varia Les fonctions du mythe dans l’organisation spatiale de la cité L’exemple de Tanagra en Béotie Dominique Jaillard Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/kernos/177 DOI : 10.4000/kernos.177 ISSN : 2034-7871 Éditeur Centre international d'étude de la religion grecque antique Édition imprimée Date de publication : 1 janvier 2007

de la nature alors qu’il pouvait dans un premier temps apparaître comme inférieur du fait de sa faiblesse physique : une force toute relative, une protection naturelle inexistante contre les intempéries, etc… Comme le soulignait déjà Platon dans le mythe de Prométhée rapporté dans leProtagoras, l’homme apparaît comme un premier temps comme démuni et faible face au reste de la nature (êtres vivants et environnement général). Mais en réalité, cette faiblesse se transforme en puissance et en domination

se nourrir d’une certaine façon, à réprimer ses pulsions et désirs (cf. Freud). Raisons de s’en soucier : nous sommes naturellement des animaux qui ne se suffisent pas de l’être, dans la mesure où nous naissons inachevés (Cf. PLATON : mythe de Prométhée, et hypothèse contemporaine de la néoténie) et fins : pour les éducateurs, faire d’un quasi-animal (Cf. l’enfant sauvage) un être humain ; pour la personne, s’humaniser, devenir une personne à part entière. Cette culture est

Les citoyens décident des lois et élisent leurs dirigeants. Le Parthénon, consacré à la déesse Athéna. L’Agora, le lieu des décisions. 2- L’IMPORTANCE DONNEE A LA RAISON Chaque individu à une intelligence/raison :  PHILOSOPHIE : Socrate, Aristote, Platon  MATHEMATIQUES : Euclide, Pythagore, Thalès, Archimède  MEDECINE : Hippocrate  THEATRE : Eschyle, Sophocle, Euripide 3- LE CULTE DU CORPS Les jeux sportifs : LES JEUX DE DELPHES : tous les 4 ans, en l’honneur d’Apollon. LES JEUX D ’OLYMPIE : tous

lieu, si la peur du progrès technique est naturelle chez les hommes. Tout d’abord, à cause de sa vulnérabilité corporelle, l’homme, au contraire des animaux, est obligé à développer des techniques pour survivre. Comme l’explique Platon dans le mythe de Prométhée (Protagoras), l’homme est originalement imparfait et inachevé : il faut donc qu’il s’éduque et qu’il se perfectionne lui-même. En effet, l’homme a la capacité quasi infinie de se perfectionner et d’acquérir progressivement des nouvelles

être à qui il manque beaucoup de choses. Dans le mythe de Prométhée et d’Épiméthée raconté par le personnage de Protagoras dans le dialogue de Platon intitulé Protagoras, la situation de l’être humain est au départ bien pire que celle des autres animaux : l’être humain est dépourvu de tout, il n’a aucune des qualités qui lui permeraient de survivre, ni poils pour se protéger du froid, ni griffes pour se défendre etc. C’est pourquoi Prométhée va aller voler la science à la déesse Athéna et le

physique est dénuée de protection naturelle (pas de pelage, de carapace etc.). En second lieu, l'homme a peu de moyens. On remarquera que Hume, de ce point de vue, est en accord avec la thèse sophiste développée par Platon dans le Protagoras à travers le mythe de Prométhée et d'Épiméthée. Le mythe raconte que l'homme est le seul être oublié lors de la distribution des instruments nécessaires à la survie. Hume reprend cette thèse en attribuant la responsabilité de cet oubli, non à une figure mythologique