Platon Le Mythe De Prométhée

Que ce soit à travers le mythe de Prométhée, ou les récit de la Génèse, le travail est perçu comme une punition, le résultat d’une humanité déchue qui contraint l’homme à la peine pour subsister, à l’inverse de l’animal. Pourtant, le travail, en tant qu’action par laquelle on transforme ce que nous offre la nature pour l’adapter à nois besoins, existe bien chez l’animal, et le meilleur exemple en est sans doute celui des abeilles dans leur ruches. Le travail reste-il alors le propre de l’homme? Dans

animale par son image physique et par sa conscience, elle représente pour l'homme un état d'innocence qui est inné. La nature de l'homme définie l'homme dans son état « sauvage », ce dernier doit alors recourir à la ruse comme dans le mythe de Prométhée et Epiméthée (Platon, Protagoras) afin de se détacher de cet état et s'en rendre comme « maitre et possesseur » selon la formule de Descartes, ce dernier voyant la nature comme quelque chose de perfectible pour chaque être humain. L'homme doit alors

Le mythe littéraire est une construction imaginaire de pensées, formulé par un groupe d’individus, à travers leurs idées, il essaye de trouver des réponses aux diverses questions essentiellement métaphysiques, transcendantales et aussi faire face aux insuffisances et manque cognitifs, tel que le commencement du monde (Hylé), la mort, le cosmos, la maladie, la création etc Ces récits imaginaires ont coulé l’encre de plusieurs critiques et chercheurs qui ont essayé de les circonscrire conceptuellement

réflexion ? Comment est-elle possible ? Il faut qu’avant la réflexion, ce qui réfléchira soit déjà ouvert à cette possibilité qu’est la réflexion.         C’est ce que nous dit le mythe de Prométhée, lorsqu’il s’inquiète de l’étrange absence de nature de l’être humain. Si l’homme peut devenir si habile, dit le mythe, c’est qu’au départ il n’est rien de défini. Cette indétermination première, cette plasticité, qu’on retrouve dans le discours freudien sur les pulsions, est comprise comme une ouverture  à

pratique et appliquée à la protection de l’homme face aux forces de la nature. Cette direction donnée au progrès technique reste légitime tant que l’homme reste l’animal le plus faible de la nature comme le dit Platon dans le Protagoras décrivant avec le mythe de Prométhée qui raconte comment la technique a été donnée aux hommes car ils étaient à l’époque « nus et sans chaussures ». Lorsque nous sommes dans un rapport de faiblesse avec la nature, il est normal d’avoir une position

Il permet, à travers la technique, à l’homme de s’humaniser et ainsi de se distinguer de l’animal. On peut donc se poser la question de Comment la technique est elle venue aux hommes et en quoi est elle humanisant ? Platon raconte, dans le Protagoras, à travers le mythe de Prométhée comment l’homme « fut mis en possession des arts utiles à la vie » : la connaissance technique. La technique supplée donc à l’infériorité initiale de l’homme qui va pouvoir trouver par lui même les moyens de se défendre

Cicéron parle bien d’« un » principe ? La raison c’est le logos, la capacité de raisonner, de former des jugements et de préparer des choix rationnels. Or le langage n’est que la manière de transmettre à l’extérieur cette raison. C’est pourquoi déjà Platon dans le Phédon parler de la pensée comme d’un dialogue intérieur, celui de l’âme, tandis que le Cratyle présentait la parole comme ce dépassement de la matérialité par l’immatériel, c’est-à-dire cette phénoménalisation de la pensée de l’âme dans le

A) L’utopie platonicienne : Platon (-428 ; -347). Il est l’élève de Socrate, il laisse des traces indispensables. Platon laisse une œuvre considérable dès son époque mais son action politique est déplorable. Il rêve de retrouver un certain pouvoir. On le soupçonne de faire des complots. a) Les fondements intellectuels de l’utopie platonienne : 1) Le choix de l’utopie : Platon décrit une cité idéale qui n’existe nulle part

renvoient aux positions dans le schéma): | |[4] Hobbes, Locke, Voltaire, Rousseau... | |[5] Platon (le mythe d'Er), Descartes (la liberté d'indifférence), Kant (le caractère intelligible), Sartre (l'existence qui précède | |l'essence)...

qu'il faut pas faire." Discoure d'autorité qui interdit certaine chose. ====> Discoure de Limitation du désirs. ==> Les stoïciens = moralistes. Le discoure des moralistes pose un problème. ce problème est incarné par un personnage de Platon nommé Céphale. Céphale = vieille homme assez riche. Il occupe une place assez importante dans sa société. Il va chez Socrate. Socrate lui demande si malgré son âge, il va bien. Céphale lui répond : Au contraire dit-il, je vais même mieux