Platon Lois Iv Cité

représentations de l'esprit portant sur le phénomène politique. Ce qui intéresse le politique est ce qui concerne le citoyen, celui qui a conscience de vivre dans une cité, qui a conscience qu'il doit s'intéresser aux affaires publiques, c'est-à-dire aux affaires politiques. L'antiquité nous apporte essentiellement l'enseignement des grecs (avec PLATON, ARISTOTE...) mais également des expériences institutionnelles, les idées politiques étant associées étroitement au monde juridique et donc institutionnel

Plan de La République de Platon Prologue (Livre I) A travers la discussion entre plusieurs interlocuteurs (Socrate, Céphale, Thrasymaque et Polémarque) vont se profiler tous les thèmes de La République auxquels Platon va répondre au livre X. Thrasymaque expose la thèse des sophistes sur la justice. Socrate parvient à montrer qu’il faut reprendre la question de la justice pour la définir. Qu’est ce que la justice ? (Livre II à IV) Les deux interlocuteurs de Socrate seront Glaucon et Adimante

et le modèle de la Cité grecque, la philosophie politique d’Aristote n’a-t-elle plus d’autre intérêt qu’historique ?10 On peut partir d’EN V 10, 1135a5 : « Il n’y a qu’une seule constitution qui soit partout naturellement la meilleure » Mais quelle est cette constitution ? Aristote ne le dit pas dans l’EN. On peut prendre comme fil conducteur, pour tenter une réponse, sa classification des différents sens en lesquels une constitution peut être dite « la meilleure », en Pol. IV 1 et 2. a/ La meilleure

distinction de naissance, de fortune ou de capacité. C’est un terme polysémique qui jusqu’au XVIIIe siècle, avait une connotation péjorative sous l’influence de Platon et Aristote. C’est à cet égard, qu’Aristote dans son ouvrage intitulé Politique contenant 8 livres ; s'attache à étudier les diverses questions que pose la vie d'une cité-Etat dont la question de la démocratie exposée dans son livre VI selon la traduction française de J. Barthélémy Saint Hilaire. Elle est considérée comme une forme

meilleure d’UE. III/ L’époque moderne Auparavant : le magistrat était qq’l de fortuné, la magistrature restait dans la famille. Les parlements avaient des pouvoirs politiques à côté des pouvoirs judiciaires. Le but était de contrôler les lois du royaume. Le parlement pouvait refuser une loi s’il jugeait qu’elle était au contraire à celle du royaume. Le roi fait un édit puis le présente pour qu’il soit enregistré, mais si le juge le refuse ils vont faire des remontrances au roi. Le + svt

participe-t-il aux affaires de la cité ? Peut-on parler de modèle démocratique ? I-Introduction Définitions : Exemple : On dit que quelqu’un ou quelque chose représente un exemple si celui-ci est digne d’être imité. On parle alors de citer quelqu’un ou quelque chose en exemple. Citoyenneté : Une personne possède la citoyenneté si elle a la qualité de citoyen. La citoyenneté définit les droits et devoirs auquel adhère celui-ci. Citoyen : Un citoyen est un membre d’une cité, jouissant de droits

morale a pour objet le bien. Cette valeur concerne aussi bien ce qui rend un homme bon que ce qui rend la cité bonne. Voilà pourquoi on a tendance à confondre la politique et la morale. Cette confusion est par exemple celle de Platon ou d'Aristote. Les Anciens ne distinguent pas la morale et la politique. La République de Platon est aussi bien un traité de morale qu'un traité de politique. La cité est conçue par analogie avec l'âme. Elles sont toutes les deux tripartites, et la justice, qu'il s'agisse

Platon 1. La théorie platonicienne des Idées 1.1. Le dualisme platonicien 1.1.1. Héraclite et Socrate Platon a tenté de concilier deux enseignements : celui d'Héraclite et celui de Socrate 1.1.1.1. Héraclite : Le principe d'Héraclite est le suivant : "Tout change, rien de reste". Héraclite veut dire que rien ne peut subsister définitivement, que rien dans le monde n'échappe à la ruine, que ciel et terre disparaîtront , l'activité de la nature est comparable à un potier qui forme

Émile Chambry PhiloSophie © juin 2018http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/Notice sur la vie de Platon Platon naquit à Athènes en l’an 428-427 av. J. -C. dans le dème de Collytos. D’après Diogène Laërce, son père Ariston descendait de Codros. Sa mère Périctionè, sœur de Charmide et cousine germaine de Critias, le tyran, descendait de Dropidès, que Diogène Laërce donne comme un frère de Solon. Platon avait deux frères aînés, Adimante et Glaucon, et une sœur, Potonè, qui fut la mère de Speusippe.

Émile Chambry PhiloSophie © juin 2018http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/Notice sur la vie de Platon Platon naquit à Athènes en l’an 428-427 av. J. -C. dans le dème de Collytos. D’après Diogène Laërce, son père Ariston descendait de Codros. Sa mère Périctionè, sœur de Charmide et cousine germaine de Critias, le tyran, descendait de Dropidès, que Diogène Laërce donne comme un frère de Solon. Platon avait deux frères aînés, Adimante et Glaucon, et une sœur, Potonè, qui fut la mère de Speusippe.