Platon Lois Iv Cité

particulièrement illustrés par leur réflexion économique dans l’antiquité. Il s’agit d’ARISTOTE et de PLATON. Deux questions principales vont faire débat entre PLATON et ARISTOTE. La première question est celle de la « Propriété » où PLATON pense qu’elle doit être collective, contrairement à ARISTOTE qui soutient qu’elle doit être privée. La seconde question est celle de la répartition de la richesse. PLATON exige dans ce sens que la richesse doit être distribuée égalitairement pendant qu’ARISTOTE explique

mais d’orientation ». Les conceptions éducatives dépendent largement du milieu social historiquement situé. Après la défaite d’Athènes dans la guerre du Péloponnèse, Platon pense une réforme éducative dans la tel-00691525, version 1 - 26 Apr 2012 République et les Lois; il met au jour en même temps les bases de la cité idéale et celles d’une éducation pleinement humaniste, menant l’homme à la vertu; c’est la philosophie, c’est-à-dire la possession du savoir vrai, qui devra présider à une

 La philosophie trouve ses origines dans le monde grec. De nombreuses écoles de pensées apparaissent au cours du IV° siècle avant Jésus Christ. Parmi elles, l’aristotélisme. Cette philosophie découle de l’enseignement d’Aristote et se révèle être aussi importante que le platonisme. Aristote ne se limite pas à l’étude d’une seule matière : il était à la fois philosophe, littéraire, physicien, géographe et scientifique : il a, en effet, expliqué le monde et la formation du cosmos. Il est le fondateur

nécessaires : * Il faut que l’objet de la connaissance existe, cet objet étant l’Etat. * Il faut qu’il existe l’instrument de toute science, c.à.d. la pensée rationnelle. → Est-ce que ces conditions étaient réunies chez les penseurs antérieurs à la cité grecque ? La première condition est très restrictive. En effet, l’Etat n’a pas toujours existé et l’Histoire prouve qu’il y a eu des sociétés organisées mais qui ne constituaient pas de véritables Etats. Encore de nos jours certaines sociétés ne sont

déluge et cette chronique va jusqu’à 1525. Metz 1552 est annexée par la France. Lorsqu’il fait l’histoire de cette ville son objectif est de donnée une image à cette identité collective. C’est en quelque sorte une apologie, consacrée à la gloire d’une cité. L’histoire représente un phénomène de mémoire collective. Dès lors qu’on a une collectivité de façon spontanée elle a besoin de créer une histoire. L’histoire se présentera souvent sous la forme d’une narration un peu comme un roman. Cf ; Paul

transformations. Penser l’école : les héritages « lointains ». Quelques repères généraux sur l’apparition de l’école : → La naissance n’est pas uniforme. • L’école est une institution qui nous est donné comme un héritage. Elle est née depuis le IV-Ve siècle en France, l’école doit transmettre l’héritage culturel, civilationnel. • Aujourd’hui se pose la question entre les élites et la masse à éduquer. L’ecole doit transmettre d’une génération à l’autre des valeurs. Ceci est ambigu car transmettre

Développée de la 2nde moitié du VIe siècle Av JCHégémonie établie sur une grande partie des cités péloponnésiennes (politique anti tyrannique)Alliance bilatérale au Vie siècle qui deviennent un pacte collectif liant chaque cité à Sparte avec promesse mutuelle d’appui : pacte (chaque cité jurait d’avoir les mêmes ennemies et amis que Sparte) ne paie pas de tribut ni de magistratLes cités sont autonomesLigue de Délos : 476-404 Av JCFondé par Aristide en 466 av JC Il va réunir le congrès de toutes les îles

Citoyenneté et démocratie à Athènes V-IV siècle av J-C Introduction : La fin du VIème av J-C marque la naissance de la cité d’Athènes. Puis apparaît une révolution, au VIIème av J-C appelé la révolution hoplitique, les hoplites s’occupent de défendre la cité et de se battre en son nom ; on décide alors que pour posséder le droit de vote il faut être hoplite ou l’avoir été. Le concept de la démocratie a été inventé à Athènes, même si c’était à l’époque des valeurs et une conception

JeanALAUX Université de Valenciennes 1 - KOSMOS : LE MOT, LA CHOSE Sur la dialectique de l'ordre et du désordre, les Grecs n'ont cessé euxmêmes de s'interroger depuis l'origine, qu'il s'agisse des mythes cosmogoniques, des modèles normatifs de la cité ou des spéculations philosophiques et savantes. Contraint d'opérer un tri dans une matière vaste, je voudrais toutefois essayer de montrer qu'elle n'est hétérogène qu'en apparence l . Notre relation à l'Antiquité est faite d'un singulier mélange de

propos, notons que la “science” des grecs de l’Antiquité ne put jamais aboutir en raison, notamment, du grand mépris que cette époque voua à la pratique. Les tâches manuelles étaient réservées aux esclaves dont l’existence ne semble pas avoir choqué un Platon ni même un Aristote. C’est ainsi que la méthode expérimentale ébauchée par les Ioniens (penseurs du 6e siècle av. J.C. issus des cités côtières de l’Asie mineure notamment Milet et Ephèse) non seulement ne perdura pas mais tomba de surcroît en désuétude