Platon Lois Iv Cité

du Ve av. J.C. Celui avec qui nous allons parler, ou plutôt, dialoguer, c'est Socrate. A- Socrate ou l'invention du concept Historique rapide : Socrate est né en 470 av. JC et mort en 399 (condamné par sa cité à boire la ciguë, sous prétexte qu'il porte atteinte aux fondements de la cité, qu'il est corrupteur de la jeunesse, etc.). Fils d'une sage-femme et d'un sculpteur de pierres. Particularité : il n'a rien écrit (ne pas oublier que la Grèce est avant tout une civilisation de la parole). Les

Publica » qui veut dire « chose publique », et donc l’Etat, ceci a donné le terme « République ». II- Aux origines de l’Etat A- L’Etat pendant l’antiquité On va s’intéresser à PLATON auteur de l’ouvrage « République », il présente l’idéal de l’Etat qui est fondé sur la justice, l’Etat a un but, celui du bonheur des individus. La cité est une sorte de petit Etat, c’est le lieu où l’on vit et c’est aussi un lieu d’épanouissement, les grecques considèrent que l’Etat est souverain, c’est le pouvoir suprême ;

l’oppression économique sous une forme qui varie avec le niveau de développement et les contradictions de ses forces productives. En son temps, Marx a dénoncé la théorie classique parce qu’elle exprimait un ensemble de lois qui masquaient et entérinaient les antagonismes sociaux. Ces lois étaient présentées comme légitimes et éternelles. Dans l’analyse marxiste, les antagonismes sont créés par la production elle-même et par les rapports sociaux entre les hommes correspondant aux dotations en matériels

Notions : société – droit et justice- Etat –Nation - violence – autrui - liberté 37. Aristote (384-322 av. J.C.) : « ce n’est pas en vue de vivre mais plutôt en vue d’une vie heureuse qu’on s’assemble en une cité. » Politique. 38. Aristote : « Toute cité est un fait de nature, (…) et l’homme est par nature un animal politique » politique. 39. David Hume (1711-1776) : « l’union des forces accroît notre pouvoir ; la division des tâche accroît notre capacité (…) C’est ce supplément

que des questions de cours. Du néolithique à la révolution industrielle Chapitre I : les faits économiques La révolution néolithique L'antiquité Le Moyen Âge La « renaissance » Chapitre II : les idées éconoiques Platon, un « collectiviste » ? Aristote, un « libéral » ? Thomas d'Aquin, un ecclésiastique réaliste ? Partie I : des origines à la révolution industrielle Chapitre 1 : les faits économiques I. La révolution néolithique Le croissant

à un moment donné de son histoire, mais nous pouvons aussi avoir accès au tempérament de l’individu, à son mode d'être, et à la qualité de son âme. Les opinions nous renvoient ainsi à un modèle de la vie politique qui nous rappelle la formule de Platon au début de la République, lorsqu'il indique à ses interlocuteurs, que pour voir l'âme humaine « en gros caractères », il fallait pouvoir opérer cette lecture en regardant les institutions politiques : ce qu'est un individu, il le doit à la manière

Sciences Politiques Prof. Gil Dany RANDRIAMASITIANA (Document non reproductible sans l’aval de l’auteur) PLAN DÉTAILLÉ I. HISTORIQUE DE LA SOCIOLOGIE I.1 LES ORIGINES PHILOSOPHIQUES DE LA SOCIOLOGIE : PHILOSOPHIE ANTIQUE ET SOCIÉTÉ I.1.1 La cité idéale de PLATON (427 – 348 av. JC) .1.2 ARİSTOTE (384 – 322 av. JC) ou Le bien vivre ensemble I.2 LE THÉOCENTRISME DU MOYEN ȂGE I.2.1 Les deux cités1 de SAINT – AUGUSTIN (354 – 430) I.2.2 Les ruptures du Moyen Ȃge I.2.3 De Saint – THOMAS D’AQUIN (1225 – 1274)

variées, le retranchement, la recherche de l'enclos et du rempart. La réponse de l homme épicurien à la vie sociale pleine de périls est le refuge derrière les hauts murs d 'un jardin et le renoncement à toute activité politique, à toute charge dans la Cité : « Ce fut un grand bonheur pour moi de ne m'être jamais mêlé aux troubles de l'État, dit Épicure, et de n'avoir jamais cherché à plaire au peuple, parce que le peuple n'approuve pas ce que je sais, et que j'ignore ce que le peuple approuve ». La vie

Crimée, en Italie du Sud, Sicile, ou dans le sud de la Gaule.    La Grèce est un pays compartimenté, qui peut rendre compte du très grand nombre d'états. Ces états prennent à partir du VIIIe siècle le caractère de cité.     III] Caractéristiques de la cité grecque (Polis)          1) La Cité et la mer    La pauvreté du territoire est compensée par sa large ouverture sur la mer qui favorise les échanges et le commerce maritime. Aucun point du territoire n'est éloigné de la mer de plus de 90 km. Les

l'Athènes du Ve av. J.C. Celui avec qui nous allons parler, ou plutôt, dialoguer, c'est Socrate.A- Socrate ou l'invention du concept Historique rapide : Socrate est né en 470 av. JC et mort en 399 (condamné par sa cité à boire la ciguë, sous prétexte qu'il porte atteinte aux fondements de la cité, qu'il est corrupteur de la jeunesse, etc.). Fils d'une sage-femme et d'un sculpteur de pierres. Particularité : il n'a rien écrit (ne pas oublier que la Grèce est avant tout une civilisation de la parole). Les