Plotin

lʼâme, liberté et nécessité, la Providence, lʼéternité du monde. * Dʼautre part, au 3e s. de notre ère, Rome accueille – fait unique dans son histoire – une véritable école de philosophie, plus quʼun cercle philosophique, et ce sous la houlette de Plotin en 254, qui sera (pour les historiens des idées) le fondateur du néo-platonisme (système qui allie philosophie et mysticisme, bien dans les goûts du temps). Certes cette expérience ne survivra pas au maître puisque Porphyre et Amélius, ses disciples

fournissent encore à Ronsard une certaine furor poétique, thème du poète dépossédé de soi, délirant, emporté par son inspiration (notamment dans le sonnet 201). Une partie de l’inspiration de Ronsard provient aussi d’une influence des idées de Platon et Plotin, commentée par le néo-platonicien Ficin au XVe siècle. En effet, le système littéraire dans lequel s’inscrit Ronsard puise dans la philosophieplatonicienne, pour donner à un certain nombre de sonnets leur style élevé. À titre d’exemple, le sonnet

Kierkegaard. Nietzsche. Marx. Freud. Durkheim. Bergson. SOCIÉTÉ (LA), ÉTAT (L') Platon. Aristote. Saint Augustin. Hobbes. Spinoza. Locke. Hume. Montesquieu. Rousseau. Kant. Hegel. Comte. Marx. Durkheim. Bergson. TECHNIQUE (LA),  ART (L') Platon. Plotin. Aristote. Descartes. Diderot. Kant. Schopenhauer. Hegel. Nietzsche. Freud. Bachelard. Heidegger. Merleau-Ponty. THÉORIE ET EXPÉRIENCE Aristote. Pascal. Spinoza. Leibniz. Kant. Comte. Husserl. Bergson. Bachelard. TRAVAIL (LE),  ÉCHANGES (LES) Platon

par la raison (« le jugement partout ») La mise en scène des sujets obéit à des principes Le souci de rationalité dans le travail de Poussin ne classiques d'ordre et d'harmonie que résume la l’empêche pas de faire de l'émotion une de ses formule de Plotin : « La beauté réside dans l'accord et priorités. On peut ainsi comparer le « classicisme » la proportion des parties entre elles et avec le tout ». Service éducatif , Musée Condé, juin 2002 du peintre à celui de Racine dans le domaine littéraire.

(en plus qu'elles permettent de réunir les deux fils distincts de cette discussion :)): «Cette unité du microcosme et du macrocosme est également exprimée par Goethe, le poète-naturaliste qui, dans sa Farbenlehre, reprend une ancienne pensée de Plotin: " Si l'œil n'était pas solaire, / Comment apercevrions-nous la lumière? / Si ne vivait pas en nous la force propre de Dieu, / Comment le divin pourrait-il nous ravir? " D'ailleurs, Goethe prête une " affectivité " aux phénomènes naturels eux-mêmes

notre dignité, à notre rang et nous invite à fuir le non-être, c'est-à-dire le mal. « L'âme une fois purifiée devient une raison; elle devient toute incorporelle, intellectuelle; elle appartient toute entière au divin, où est la source de la beauté » (Plotin, Ennéades, I, 6). Délaissant la beauté où se mêlent encore le sensible, l'âme contemple heureuse, « dans sa simplicité et sa pureté, l'être dont tout dépend, vers qui tout regarde, par qui est l'être, la vie et la pensée; car il est cause de la vie

inversement le mal ne peut engendrer que du mal, étant entendu que le mal n'existe que comme absence de bien. Plus exactement le mal ne génère rien du tout, seul le Bien est créateur. Mieux, le Bien se confond avec la puissance divine (de l'Un, selon Plotin). Le mal existe là où l'action de la lumière divine n'a pas réussi à agir, là où la matière (selon un concept aristotélicien repris par les néoplatoniciens) a résisté passivement à l'action transformatrice du bien. De la même manière, Leibniz dit

matière cad pas ses os et cette chair particulière (Métaphysique, dzeta, 8, 1034 a). + cf texte de Thomas d’Aquin, n° 12. Il existe au contraire d’autres textes ds lesq Aristote fait du pcipe d’individuation non pas la matière mais la forme. Cf Plotin ou Duns Scott qui considéreront que l’individualité ne relève pas de l’accident mais qu’il y a des ≠ spécifiques que l’on peut penser, en-deçà de l’espèce gnale. A partir de Duns Scott est formé le concept de haeccei tas = Le ceci. Idée d’une forme

siècle des Lumières : Les philosophes de l’antiquité : Socrate= (né vers -470/469, mort en -399) Platon= (né à Athènes en 428/427 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C.) Aristote= (384 av. J.-C. - 322 av. J.-C.) Cicéron (-106/-43) Plutarque (45/120) Plotin (204/270) est le créateur de la pensée néoplatonicienne. Ammonius Saccas (iiie siècle), souvent considéré comme le fondateur de l'école néoplatonicienne. Porphyre (232/304) Jamblique (242/327) Hypatie (370/415) Proclos (411/485) Damascius (462/540)

plein jour avec une lanterne. Pour exprimer l'idée que les gens vivaient une fausse vie, il disait aux passants qu'il cherchait un humain. Les Stoïciens pratiquaient de même leurs exercices ascétique de détachement du monde en vivant à Rome. Le sage Plotin, qui vécu comme les grands saints religieux, était logé à Rome par des gens riches qui recherchaient son enseignement. Enfin, Socrate était si dérangeant, en passant sa vie à questionner les athéniens sur le sens de leur vie, de leurs actes et de