Pluviométrie

la lumière favorise la production, en nombre, des fleurs. 3.3-Besoins en eau C’est une plante qui s’adapte à des régimes de pluviométrie très divers, sans que l’on constate de différence sensible dans son comportement. C’est ainsi qu’il peut se contenter de 500 mm par an et qu’il peut supporter 4 m par an. Dans les régions à forte pluviométrie, il porte beaucoup de branches et de feuilles mais il fleurit et fructifie peu. De plus, les noix sont riches en eau et elles pourrissent

Dans un tel contexte, le souci principal des différents acteurs, qui sont principalement des éleveurs et des agriculteurs, rencontrés est le risque de perdre leurs activités principales comme l’élevage ou l’agriculture si la dégradation de la pluviométrie s’accentue. Aujourd’hui, ils sont très éprouvés par l’irrégularité et le déficit des pluies au cours des saisons humides. Face au risque de perdre ce à quoi ces populations accordent le plus d’importance, nous avons essayé de savoir comment elles

étude à été conduite. Il occupe la position 180 90 160 80 140 70 120 60 100 50 80 40 60 30 40 20 20 10 0 0 Température (°C) Pluviométrie (mm) 6°37,884’ de latitude Nord et 4°38,089’ de longitude Ouest, avec une altitude de 102 m. Pluviométrie Température Figure 2 : Diagramme ombro-thermique de la zone de l’étude, de 2000 à 2012 Inventaire floristique Selon Lobreau-Callen et Damblo (1994), l’aire de butinage de l’abeille

et 80 sont également marquées par une forte baisse de la recharge des nappes phréatiques. La diminution des débits fluviaux a négativement impacté l’agriculture, la pêche et par conséquent la sécurité alimentaire des populations. Le retour à une pluviométrie meilleure, depuis les années 90, a toutefois contribué à rehausser les débits de ces cours d’eau. Les changements climatiques, marqués par des phénomènes extrêmes tels que les sécheresses, les inondations, l’intensification des flux d’évapotranspiration

ensemble de vaisseaux qui alimentent le fruit. III- Ecologie : 1. Besoins en température : La température optimale varie de 15 à 18°C. La production est meilleure dans les régions fraîches que chaudes. 2. Besoins en pluviométrie : En dessous de 1.100 mm, les plants deviennent rabougris et sont attaqués par les champignons tels que le mildiou et l'oïdium Les régions propices à la viticulture sont celles allant de Betroka à Tampoketsa 3. Besoins en insolation

mi-juillet ; • Zone intermédiaire : avril-mai ; • Zone de forêt : mars-avril pour le premier cycle et fin août à début septembre pour le second cycle. Respecter les dates de semis afin de permettre à la culture de bénéficier d’une pluviométrie suffisante et d’un ensoleillement abondant pendant la croissance. Densité et dispositif de semis La densité dépend du cycle de la variété. ♦ Variétés précoces (90 jours) densité d’environ 66.000 plants/ha, à raison de : - 75 cm entre lignes

et même de la compétitivité. * Economique : Les variations du PIB et l’essor économique au Maroc sont fortement liées aux aléas climatiques, vu que 50% de la population active sont employés dans le secteur primaire. Par conséquent, la pluviométrie irrégulière entrave la production laitière. En revanche, les années de sécheresse sont des périodes de pénurie de lait. Afin de remédier à cette problématique et de diminuer la dépendance de la Centrale Laitière par rapport à la saisonnalité

brutalement tombée en déficit. Elle n’est depuis jamais revenue à l’équilibre. ❖ Evolution des agrégats agricoles dans l'économie : Les conditions climatiques de l’année 2006 ont globalement été très satisfaisantes avec une pluviométrie supérieure à la moyenne et une très bonne répartition le long de l’année. Ces conditions ont conduit à la reprise du PIB agricole (PIBA) qui a augmenté de 30% après une chute de 17,6% en 2005 suite aux problèmes de sécheresse (tableau

été créés sur cinq ans, et le Maroc parvient à contrôler ses mécanismes économiques tels que le déficit budgétaire en cours d'exécution à environ trois pour cent. Pourtant, la croissance reste largement tributaire du facteur de volatilité de la pluviométrie, l'agriculture apporte toujours une contribution de 15 pour cent du PIB et emploie 45 pour cent de la population. Malgré les projets d'infrastructure à grande échelle tels que le nouveau port de Tanger dans un contraste saisissant avec les zones

qui a favorisé les céréales et les oléagineux ? Pour ces derniers, la politique incitative et leur localisation dans le «bour » le plus favorable fournit l’explication, tandis que pour les céréales, il faut voir simplement le résultat d’une bonne pluviométrie. D’ailleurs, en 1991 et 1992, la production de blé chutera de moitié et retournera à son niveau des années 60. Par contre, les cultures irriguées marqueront une progression régulière, malgré le renchérissement des intrants, le réajustement du