Poilu

chronologique de l’œuvre qui met en scène la journée d’un soldat sur le front. Description de l’œuvre : Le Panneau de gauche représente des soldats armés portant des sacs au dos (il est possible d'identifier ici les armes et l'uniforme portés par les poilus durant la 1er GM). Ils tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, une masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau centrale : Alors

action. Les « combattants », anciens et actuels, ne recherchent pas la compassion mais la reconnaissance de leur mission sur le terrain. Cette année, c’est le 94e anniversaire de l’armistice de 1918. Il n’y a plus de Poilus encore en vie, mais ils sont entrés dans l’Histoire. 592 Poilus des communes de Beuzec, Concarneau et Lanriec sont morts pour la France lors de la Grande Guerre. (Photos : collection Stéphane Guihéneuf) Le carré militaire du cimetière Saint-Marc à Quimper est investi aujourd’hui

soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté règnent en maîtres. II- Description 1) Analyse descriptive et plastique Panneau de gauche : Des soldats armés portant sac au dos (les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : A l'arrière plan, on voit des ruines

part à la guerre. Si vous voulez lire la suite : 3 autres tomes .... 3/ LES ROMANS «CLASSIQUES» : - Les Croix de bois (1919), de Roland Dorgelès, Le livre de poche. La vie dans les tranchées par un vrai Poilu. - Le Feu (1916), de Henri Barbusse, Le Livre de poche. Témoignage poignant d’un Poilu. - Le grand Troupeau (1931), de Jean Giono, Folio. Réquisitoire contre la guerre. Ce roman traite des conditions difficiles que rencontrent les gens qui ne sont pas partis se battre. - L’Adieu aux armes

(bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ mais aussi les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide dans un univers d'où  l'humanité a disparu, son appel à l'aide reste suspendu dans le vide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps

Cette guerre de 1914 1918 est une guerre totale et une guerre d'usure, marquée par les progrès de l'industrie de l'armement, elle a vu mourir plusieurs millions de soldats dans l'enfer des tranchées, dont plus d'un million de poilus français lors de batailles telles que celle de la Marne de la Somme de Verdun ou du Chemin des Dames mais aussi de civils, notamment lors du Génocide arménien. Opposant presque tous les Etats d'Europe, elle est l'aboutissement du nationalisme et du militarisme sur

destruction. Elle symbolise la pluie, la boue et le sang dont parlent tout les témoignage de poilus. La lumière: les trois panneaux sont éclairés par une lumière froide et blafarde, sans âme, la lumière de la mort. d) Description précise et composition Sur le panneau de gauche , on peut voir des soldats en armes portant un sac à dos (il est possible d’identifier là, les armes et l’uniforme portés par les poilus). Ils tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée

influence puisqu'elle évoque de unel’œuvre oeuvre majeure de la Renaissance : Le retable d'Issenheim de Mathias GRÜNEWALD. Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front. Panneau central :,A l'arrière plan du panneau central des ruines apparaissent

thème de cette guerre : La littérature avec des livres comme La Chambre des officiers (de Marc Dugain, sur les gueules cassées et le retour à la vie civile des officiers, 1998), Le feu d’Henry Barbusse (1916, sur les poilus), Les croix de bois de Rolland Dorgeles (1919, sur les poilus) Le cinéma avec Les sentiers de la gloire (de Stanley Kubrick, sur les tranchées et l’absurdité de la justice militaire, 1957) ou Un long dimanche de fiançailles (2004, de Jean-Pierre Jeunet, c’est une histoire d’amour

composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque, elle rappelle la forme des retables* de la Renaissance. Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front. Panneau central :,A l'arrière plan du panneau central des ruines apparaissent