Points de suspension

repose sur la tension existante entre les deux personnages dont les idées vont s’opposer dans une conversation énergique. En premier lieu nous pouvons relever que le rythme de la scène est très vif. En effet, très souvent l’auteur utilise des points de suspension. Voyons par exemple, ligne 10 « l’homme », ou encore ligne 65 « …vous êtes rhinocéros » mais aussi ligne 47 « les marécages !... ». Cette ponctuation est utilisée afin de montrer que l’enchaînement de la conversation est rapide. Plus encore

distractions qui lui ont permis d'alléger le fardeau de la rupture. La part de la mémoire est notamment quelque chose d'important. On observe dans le récit des sortes de trou de mémoire : « le 21 juin 1821 ou ...novembre 1830 » (p37) les points de suspension montre qu'il ne se souvient plus exactement du jour précis. De plus, des moments de réflexion dans le livre montre une hésitation. Il dit à plusieurs reprise les mots suivants : »ce me semble »; « je crois » et va même s'interroger directement

duel verbal Cette rencontre entre Bérénice et Antiochus s’apparente à un duel verbal. C’est leur deuxième rencontre de la pièce, la première qui a lieu à l’acte I avec les adieux, d’où la surprise de Bérénice V.850 « Hé quoi, seigneur, vous n’êtes point parti ? ». Plusieurs autres répliques de Bérénice commencent par des manifestations vives souvent portées par des interjections, des impératifs ou des verbes à l’infinitif V.895 « Nous séparer ? … », V.906 « … Titus m’abandonner ! ». La tension

1ère personne du singulier Narrateur = Auteur Beaucoup de précisions = c'est du vécu Les paroles rapportées directement sont encore un indice montrant qu'on est dans une autobiographie Point de vue interne Points de suspension → hésitation sur sa mémoire Les points de suspension miment la mémoire de Sarraute qui est en pleine activité De plus, le titre nous laisse penser qu'elle va surement parler de son enfance Au moment des faits le personnage principal est une enfant

L'objectif est donc de repérer les techniques narratives adoptés par les romanciers pour nous faire rentrer dans les pensées des personnages. Pour cela nous étudierons les différents points de vue des auteurs sur l'action, puis les discours rapportés utlilisés. En premier lieu, dans les textes de Maupassant et de Malraux, le point de vue est interne, ou subjectif. En effet, le narrateur se met à la place du personnage et exprime les sentiments et sensations du héros. Les indices le montrant sont nombreux:

....................131 1.1. LE POINT..............................................................................................................................131 1.2. LA VIRGULE.............................................................................................................................131 1.3. LE POINT-VIRGULE................................................................................................................141 1.4. LES DEUX POINTS................................

cœur est plein... Il faut que je parle à quelqu'un, et vous êtes la seule à qui je puisse, à qui j'ose me confier. Vous avez tant de bonté pour moi! Mais n'en ayez pas dans ce moment-ci; je n'en suis pas digne: que vous dirai-je ? je ne le désire point. Tout le monde ici m'a témoigné de l'intérêt aujourd'hui... ils ont tous augmenté ma peine. Je sentais tant que je ne le méritais pas ! Grondez-moi au contraire; grondez-moi bien, car je suis bien coupable: mais après, sauvez-moi; si vous n'avez pas

incompréhensions. I) Le traitement particulier d'une scène stéréotypée - Point de départ du récit : une scène familiale d'une extrême banalité (une grand-mère avec c'est petit enfant...) ligne 1 à 6. II) Brouillage des voix - ligne 1 :"nous" montre que le narrateur est inclu dans l'histoire (petit enfant + narrateur). - A la fin du texte = le narrateur est présent comme personnage, brouillage des points de vues (omniscient, interne, externe). On a l'impression que N.S joue le brouillage

musicalité : rythme binaire/ternaire, allitérations/assonances ... ➢ Une ponctuation expressive : exclamations, points de suspension ... ❖ Le registre épique Associé au mot « épopée », le registre épique exalte les valeurs héroïques liées à de grandes actions comme la guerre, le sacrifice de victimes, la gloire de Dieu. On peut le reconnaître par : ➢ Une forme de récit descriptif : point de vue omniscient et parfois recours au merveilleux. ➢ Des figures de style : hyperboles, effets de gradation

bonheur qu’il éprouve à se remémorer un instant. - Se début du récit complète l’idée d’un homme sous le charme d’un autre au v.272 Orgon témoigne de cette fascination, la répétition de « un homme ainsi que le point de suspension souligne qu’il n’a pas assez de mot pour définir à quel point Tartuffe lui semble extraordinaire. - Les faits et geste rapportés dans le récit de cette tirade vise à mettre en valeur la pratique religieuse du dévot exemplaire au yeux d’Orgon : Régulier à l’église « chaque