Polémarque

réussiront à être juste. Toutefois, d’autre pense qu’il des nuances à la justice. On peut le voir avec Polémarqur qui soutien que la justice consiste à rendre à chacun ce qu’on lui doit. Il nous exprime sa thèse en disant : « ...Pourtant la justice m’apparait toujours, à moi, comme le fait de rendre service à ses amis et de nuire à ses ennemies. » (La République, 334b). En effet, Polémarque croit qu’il faut faire du biens aux personnes qui fond du bien et du tort aux personnes qui font du mals

Chronologie HISC01 VI ->334 : Domination de l’Orient par les Perses (Alexandre) 710 : Argos détruit Asiné 690 : Sparte s’empare de Messine puis de ville comme Tégée, Sicyone ou Argos 594 : Solon archonte 561 : Pisistrate est archonte Polémarque  instauration tyrannie 546 : Pisistrate est de nvx tyran 527 : Mort de Pisistrate, Hipparque son fils lui succède 514 : Hipparque assassiné par Arsitogiton et Harmodios, son frère Hippias lui succède 510 : Hippias est chassé par les Alcméonides

discussion qu'il a eue la veille au Pirée (le port d'Athènes) dans la maison de Céphale (personnage historique, marchand d'armes d'origine Syracusaine et ami de Périclès, père de Polémarque et de l'orateur Lysias) avec Adimante et Glaucon, les deux frères de Platon, après un échange plus bref avec, tour à tour, Céphale, son fils Polémarque et Thrasymaque de Chalcédoine, en Thrace. Il évoque la cité idéale avant de présenter, dans le livre VII avec Glaucon (le frère de Platon) le philosophe qui sortira de la

civile et la juridiction publique, il surveillait les litiges familiaux. L'archonte-roi avait en charge les affaires d'homicide et les crimes d'impiété. Il devait être obligatoirement marié et il présidait les cérémonies religieuses. L'archonte polémarque avait lui en charge les affaires militaires. Cependant, avec l'apparition de nouvelles magistratures, celui-ci perdra peu à peu son importance au profit des stratèges, élus par l'Assemblée. Cette magistrature est également annuelle, collégiale mais

L'idée de justice chez Platon Dans la dialogue qui habite le Livre I de La République, Socrate est confronté à deux autres philosophes à savoir Polémarque et Thrasymaque. Ces 3 protagonistes retiennent une définition de la justice différente, celle de Socrate étant la définition que l'on retiendra puisqu'il s'agit du narrateur. Ainsi pour Polémarque, la justice serait ‹‹faire du bien à vos amis et causer des dommages à vos ennemis››. Mais les notions de bien, d'amis, d'ennemis sont des concepts

Clisthène à leur tête. Ces trois factions luttent au point d’empêcher fréquemment l’élection des archontes, jusqu’au moment où, en 561, un noble, Pisistrate, qui avait su habilement prendre la tête du mécontentement populaire, profite de sa charge de polémarque et de sa victoire à Nysa pour s’emparer du pouvoir. de l’Acropole. Il devient officiellement tyran le jour où un décret lui octroie une garde personnelle. Contraint deux fois à l’exil, par deux fois, jouant de la force ou de la ruse, il reconquiert

le polémarque Callimachos de voter pour l’engagement dans cette guerre. Le mérite de leur plan revient en grande partie à un général habile et énergique, nommé Miltiade, qui, comme gouverneur d’une cité en Thrace, avait pu se familiariser de près avec la tactique des Perses. Il recommanda à ses collègues de ne pas attendre leur attaque, mais de passer à l’offensive et de s’avancer à leur rencontre sur-le-champ à Marathon10. Ils étaient dix stratèges soumis à l’autorité d’un polémarque, dont

responsable des cérémonies religieuses anciennes et il présidait le conseil de l'Aréopage. Il avait en charge les affaires d'homicides et les crimes d'impiété. Il lançait les interdits religieux et devait être obligatoirement marié. • Le polémarque, dont la fonction originale était de commander l'armée mais qui perdit ce pouvoir au profit des stratèges après 487, lorsque l'archontat fut tiré au sort. Il reprit certaines fonctions religieuses (comme les cérémonies à la gloire des soldats) et

du dialogue Socrate, Glaucon, Polémarque, Thrasymaque, Adimante, Céphale. Lieu Le dialogue a lieu dans la maison de Céphale (de Kephalé la tête en grec ancien). Analyse de l’œuvre Livre I On dit que ce livre a été écrit antérieurement aux autres, mais qu'il n'a pas satisfait Platon, le décidant à approfondir sa réflexion sur la justice, donnant ainsi le jour aux autres livres de la République. Socrate évoque une discussion qui eut lieu la veille chez Polémarque, fils de Céphale, entre lui, Glaucon

[…], désirant dîner avec sa femme et demandant qu’on lui envoya ses portions » (l. 25-26) mais se les vit refuser par les polémarques. Toutefois, malgré une éventuelle dispense de syssitie, les rois peuvent se voir sanctionner d’une amende en cas d’omission d’un sacrifice (ce qui fut le cas pour Agis (l. 27), « par dépit », vraissemblablement en guise de réplique aux polémarques). Cela rééquilibre cependant l’écart entre les rois et les citoyens. L’important étant pour les Spartiates de mener une vie