Politique Budgétaire Relance Rigueur

certaine coordination des politiques économiques et financières. Coordinations des politiques budgétaires, notion de politique communautaire. On va fixer des limites aux éventuels excès nationaux. Ces gardes-fous, on les installe quand on a voulu créer la monnaie unique. Il a fallu établir des critères de convergences. Tout État qui désirait adhérer à l'euro devait au préalable respecter ces critères. Trois critères de convergences: Financement des déficits budgétaires uniquement par des moyens

Le pacte budgétaire européen relance le débatSur l'intégration européenne : Le traité de la stabilité, la coordination et la gouvernance est signé le 2 Mars 2012, c'est en fait le traité du pacte budgétaire européen. Il essaye d'imposer une discipline budgétaire, en plafonnant le déficit structurel à 0,5% du PIB. On souhaite un retour à l'équilibre entre les dépenses et les recettes pour se désendetter. C'est l'Union Européenne (25etats sur 27) qui décide de cette rigueur budgétaire. Le TSCG

des prix. Politique conjoncturelle: politique qui agit sur l'activité économique à court terme et dont l'objectif est de lutter contre les déséquilibres macroéconomiques. (au niveau de l'inflation, la croissance du PIB, la croissance extérieur et l'emploie [=carré magique]. Politique monétaire: élément/instrument de la politique conjoncturelle qui agit sur l'activité économique en utilisant la masse monétaire et le niveau de taux d'intérêt. Politique budgétaire: instrument de la politique conjoncturelle

MISE EN SITUATION : LES POLITIQUES ECONOMIQUES La politique économique est une manière pour l’Etat de gérer l’économie générale et de choisir les mesures à prendre.(ou exprime l’ intervention active de lEtat dans l’éco) Il y a deux grandes tendances : la politique de relance par la demande (Keynésienne) et la politique de relance par l’offre (les libéraux) ce n’est pas plutôt l’autorégulation du marché pr les libéraux ; la flexibilité des prix se suffit à elle-même, pas besoin de plan ? j’écrirai

Les instruments de la politique économique Politique de l'emploi A- Définition Désigne en général l'ensemble des mesures visant à agir sur l'emploi, en particulier les politiques de lutte contre le chômage. B- Sur un plan descriptif, on les classe en 2 grandes catégories : les politiques actives et les politiques passives. • Les politiques de l'emploi actives o But : obtenir une croissance plus riche en emplois. o Moyens :  inciter les entreprises à embaucher (primes à l'embauche de

solutions est l’investissement, souvent opté par les gouvernements. Mais investir est-il une solution sans impact sur la croissance économique ? Pour combattre le chômage et soutenir l’activité, les gouvernements préfèrent choisir une politique de relance. En 2009, le président de la république donne la priorité à l’investissement dans l’automobile et du logement, secteurs primordiales de la France. C’est à l’aide de plus de 26 milliards d’euros que le chef de l’Etat va renforcer l’activité

marchés • Certaines myopies des marchés • Existences d'effets externes Régulation par l'État État : Organes politiques, administratifs, qui possèdent un pouvoir dans un territoire donné => L'État arbitre doit agir pour faciliter le déroulement de l'activité économique privée et pour corriger les résultats défectueux de l'activité privée ( ex: lutte contre les monopoles, politique sociale ) => L'Etat partisant ( Marx ) État pas arbitre, il défends les intérêts de la bourgeoisie. Il maintient

économique, favorable à des dépenses publiques. 1) Le succès du Keynésianisme. Le courant s’impose. Augmenter les dépenses de l’Etat, relance basée sur la consommation. Mise en équation, avec ISLM BP. Théorème d’Haavelmo : Un budget peut stimuler la croissance si les dépenses progressent plus vite que le PIB. Grosse influence sur la classe politique. Expérience des années 30 : efficacité du New Deal Légitimité. 2) Le succès de l’Etat providence. Les visions Keynesiennes dominantes

principales de la CGSLB sur le Plan Marshall 2.vert : • • • • • • • La CGSLB s'inquiète de l'absence de consolidation budgétaire du plan et des débats que cela ne manquera pas de susciter à l'avenir sur son financement et sa mise en oeuvre La CGSLB craint le saupoudrage improductif lié à une éventuelle mauvaise gestion des équilibres politiques et budgétaires à réaliser Se félicite de la volonté du GW de pérenniser la démarche des pôles de compétitivité et de la création d'un pôle spécifique

des troubles sociaux ou politiques. Une spirale déflationniste serait même à craindre selon certains. Après les entreprises, ce sont les états qui à leur tour sont en difficulté et qui doivent mettre en place des politiques d’austérité sous la pression des marchés extérieurs. Ces politiques compromettent une reprise qui semblait s’annoncer et suscitent de nombreux débats entre les économistes partisans de l’orthodoxie financière et défenseurs d’une politique de relance. En ce qui concerne la