Politique De Communication Ralph Lauren

marketing-communication Préambule À propos de ce cas Ce cas original pourrait être classé dans les cas de « management fiction » ; c’est-à-dire que la situation est réelle (situation publique à ce jour de la société Hermès) mais les solutions envisagées sont totalement fictives. Objectifs pédagogiques C’est un cas de fiction mettant en œuvre les qualités du planning stratégique. Ce cas demande un fort travail sur la communication dans l’univers du luxe sous toutes ses formes : Communication financière

mondial : Les petites entreprises qui souhaiteraient rentrer sur ce marché se retrouvent confrontées au problème de la difficulté de faire connaître leur marque. Les entreprises déjà présentes sur le marché dépensent des millions de dollars dans la communication et dans le développement de leur marque. Ces entreprises auront de fortes barrières à l’entrée, ce qui les retardera fortement dans leurs internationalisations. Les entrées qui pourront être concurrentielles sur ce secteur sont : -Les grandes

d’activité. h. L'origine géographique des marques Les marques proviennent de tous les coins du monde : D’Europe : L’Oréal Paris, Garnier, Vichy, La Roche-Posay, Lancôme, Cacharel... Helena Rubinstein... D’Amérique : Maybelline, Matrix, Redken, Ralph Lauren, Kielh’s. D’Asie : Shu Uemura et depuis peu Minimurse et Yue-Sai, entreprises chinoises. i. La répartition sectorielle Ces marques se répartissent aussi selon le secteur d’activité qu’elles touchent : Les produits Professionnels : L’Oréal

Le modèle l’oréal Intro * L’oréal est une E à la fois accessible à travers ses pubs et sa communication et difficile à pénétrer car elle est soucieuse de dévoiler ses atouts stratégiques dans un univers industriel concurrentiel. * Entreprise multinationale à caractère familial et profondément français * Chacun des membres du groupe on le sentiment d être lié par un contrat de confidentialité même pour les anciens qui ont quitté  le groupe, le groupe sait très bien tisser un voile autour

Jobs en 1998 ; un collaborateur calme et solide. Eddy CUE : directeur des services Internet chez Apple, le bras droit de Jobs pour négocier avec les fournisseurs de contenus multimédias. Andrea CUNNINCHAM (« Andy ») : conseillère en communication chez Régis McKenna qui s'est occupée de Jobs durant les premières années Macintosh. Michael Larry Tony l'iPod. Scott FORSTALL EISNER : P-DG impitoyable de Disney qui a permis le rachat de de Oracle (société spécialisée dans les systèmes

d’approvisionnement, de fabrication et de commercialisation 23 Les F.C.S liés à la position de l’entreprise sur le marché (PDM absolues, relatives) et évolution 23 II. CHANEL 23 A) Présentation générale 23 B) Stratégies 24 C) Distribution 24 D) Communication 25 a) Création et diffusion autour de l’univers de la marque 25 b) La stratégie du « celebrity endorsement » 25 III. Un secteur : le tourisme de Luxe 26 A) Définition générale 26 a) Tourisme de Luxe via le prix 27 b) Tourisme via le client

Prix 7 Distribution 7 Publicité/ Communication 8 Diagnostic de marché : Etat de l’offre et de la demande 9 Les atouts de Petit Bateau 9 Faiblesse petit bateau 10 Analyse internet de la société en chiffre 10 Positionnement 11 Audit de la stratégie de communication : Axes de communication et moyens : 12 PRINT 12 VIDEO : 14 WEB 14 Dispositi f sur internet 14 Source : 16 ANALYSE DES OUTILS DE COMMUNICATION 17  Côté communication web 17  Côté marketing/promotion

engagé par Jobs en 1998 ; un collaborateur calme et solide. Eddy Cue : directeur des services Internet chez Apple, le bras droit de Jobs pour négocier avec les fournisseurs de contenus multimédias. Andrea Cunningham (« Andy ») : conseillère en communication chez Regis McKenna qui s’est occupée de Jobs durant les premières années Macintosh. Michael Eisner : P-DG impitoyable de Disney qui a permis le rachat de Pixar puis s’est fâché avec Jobs. Larry Ellison : P-DG de Oracle (société spécialisée dans

les imitations sans aucune honte pour le reste. Pour les Américains, le luxe est très épuré. Ils n’ont pas la culture du luxe telle qu’on l’a en France. Pour eux le luxe doit être confortable, sport. Leurs marques de luxe sont Tommy Hilfiger, Ralph Lauren, DKNY, Calvin Klein, Coach (pour la maroquinerie), Tiffany (pour la joaillerie). Pour les Américains le luxe français est une référence, mais ils n’en portent pas pour autant. Pour eux, les objets luxe sont plutôt une belle voiture, une belle maison

de coloration (14,9%) et parfums (10,5%) vendus sous les marques Kérastase, Kiehl's, Garnier, L'Oréal Paris et L'Oréal Professionnel, Maybelline, Matrix, Laboratoires Vichy, Biotherm, La Roche-Posay, Skinceuticals, Lancôme, Helena Rubinstein, Ralph Lauren, Cacharel, Giorgio Armani, Shu Uemura, Redken et SoftSheen Carson. Les produits dermatologiques représentent 2,8% du CA : activité assurée au travers des Laboratoires Galderma. Le solde du CA (4,2%) concerne les produits cosmétiques d'origine naturelle