Politique étrangère Et De Sécurité Commune

QUELLE POLITIQUE DE DEFENSE POUR LA FRANCEDANS LE MONDE CONTEMPORAIN ? | Depuis la fin de la guerre froide et la disparition de l’URSS, la France a dû adapter sa défense pour faire face à de nouveaux types de conflits, parfois éloignés du théâtre européen, dans une situation internationale renouvelée les documents de ce dossier (vidéos, carte et textes) vous permettront de mieux comprendre les changements et les enjeux d’une politique de défense. Document 1 : Carte des principales opérations

produits et leur libre circulation entre les Etats membres. [traité adopté] * Le but de la CECA est de maintenir la paix pour créer une solidarité entre les pays. 1954 : CED (Communauté européenne de défense). Elle proposait de créer une armée commune entre les Etats membres de la CECA. Ce traité a été signé par tous les Etats membres de la CECA sauf la France. L’échec de la CED marque un tournant dans la construction européenne qui va se cantonner pour longtemps encore au domaine économique. [traité

moins 9 des États membres. - les citoyens obtiennent de nouveaux droits (droit d’initiative citoyenne, démocratie participative) de même que les Parlements nationaux. - Création de Haut représentant pour de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité - La Charte des droits fondamentaux n’est plus intégrée dans les traités mais l’article 6 du TUE lui reconnaît la même valeur juridique que celle des traités. La « concurrence libre et non faussée » ne figure plus dans la liste des

Dossier n°1: Quelle politique de défense pour la France dans le monde contemporain ? Depuis la fin de la guerre froide et la disparition de l’URSS, la France a dû adapter sa défense pour faire face à de nouveaux types de conflits, parfois éloignés du théâtre européen, dans une situation internationale renouvelée. Les documents de ce dossier (vidéos, carte et texte) vous permettront de mieux comprendre les changements et les enjeux d’une politique de défense. Place dans les programmes : Première

froide et Détente 3/ Les traités de Rome de 1957 : un nouveau départ :? III Entre Europe intergouvernementale et Europe supranationale : concurrence puis coopération entre les deux méthodes (1957-1986) 1/ De Gaulle et l’échec du projet d’une Europe politique 2 / Le changement de génération des années 1970 3/ 1979-1986 : Crise et relance de l’Europe PARTIE III : 1986-2007 Vers une fédération d’Etats-nations ? I Maastricht : une réponse à la fin de la Guerre froide ? 1/ Les bouleversements en Europe

d’un véritable « chef de l’Europe », d’arbitre à la tête de l’Union, ce qui fait de ce regroupement d’Etats un tout nouveau genre de regroupement. On pourrait croire à une simple coopération intergouvernementale, mais l’union dispose d’institutions communes aux Etats membres telles que la BCE ou encore la CJUE, soulignant le fait que l’Union européenne se dirige vers une sorte de fédéralisme communautaire. La fonction gouvernementale se partage entre trois instances : le conseil européen, le conseil

entre le titre 6 TUE et le titre 4 TCE. L’ELSJ gagne la typologie des actes de droit commun classique. Gagne aussi du point de vue du processus décisionnel. Pour l'ensemble de cette matière, le parlement européen est co-législateur, en principe. Du point de vue du régime contentieux, l’ELSJ gagne en clarté, et en cohérence. Tout l’ELSJ relève désormais du système contentieux anciennement communautaire, de droit commun. Petit bémol, cette normalisation est différée (Il y a un protocole n°36 sur les dispositions

initiative intéressante par le fait de rassembler, à l’origine, les quinze pays membres de l’Union européenne (UE) et douze pays méditerranéens au sein d’une dynamique commune et partagée. Ensuite, une initiative audacieuse car le partenariat visait à aborder de front trois catégories de questions (les aspects politique et de sécurité, économico-financier et socio-culturel) et de proposer ainsi une approche globale tant au niveau des pays concernés que des thématiques abordées. Enfin une initiative

conseil des affaires étrangèresI- Le conseil des affaires étrangères est un organe dont l’importance a crû au cours du temps et qui dispose aujourd’hui d’une administration importante à la croisée des politiques communautaires et intergouvernementales I-A : Un acteur qui a vu ses prérogatives grandir Les premières réunions des ministres des affaires étrangères sont instituées par le rapport Davignon en 1970 avec la « coopération politique européenne » (CPE). Les réunions sont semestrielles

solidarité dans le monde; PERSUADÉS que les peuples d'Europe, tout en restant fiers de leur identité et de leur histoire nationale, sont résolus à dépasser leurs anciennes divisions et, unis d'une manière sans cesse plus étroite, à forger leur destin commun; ASSURÉS que, «Unie dans la diversité», l'Europe leur offre les meilleures chances de poursuivre, dans le respect des droits de chacun et dans la conscience de leurs responsabilités à l'égard des générations futures et de la planète, la grande aventure