Pollution Externalité Négative

analyse l'émergence du concept,  en effet : L’effet de serre au recul de la biodiversité en passant par la pollution sous ses formes multiples, la question environnementale a aujourd'hui totalement investi le champ de la discipline économique. Cette révolution culturelle débute dans les années 1970 avec la prise de conscience écologique qui suit la médiatisation des premières grandes pollutions. Les économies mondiales prennent progressivement la mesure du coût environnemental de la croissance : il

alcoolisme, etc.). Les activités humaines produisent des externalité. Il y a externalité lorsqu'un agent économique influe positivement ou négativement sur l'utilité d'au moins un autre agent sans que cet interaction transite par le mécanisme des prix. La pollution pour exemple est considéré comme une externalité négative de certaines activités économique. Les économistes proposent ainsi d'internaliser les externalités négatives, c'est à dire de mettre en place des instrument fiscaux (impôts)

décidé au préalable. Cependant, l’équilibre général n’est pas stable à cause de l’apparition de défauts de marché et plus particulièrement les externalités. Ces externalités représentes tout effet non intentionnel de l’action d’un agent sur l’utilité d’au moins un autre agent. Elle peut être positive si l’effet est bénéfique ou négative si l’effet est néfaste. On dit qu’elles traduisent l’incomplétude des marchés, c’est-à-dire que l’interaction entre les agents ne transitent pas par

ou les réglementer. Dès que l’économie est efficace, il y a nécessairement des grandes entreprises qui peuvent en profiter. B – Externalités : L'État doit intervenir dans le problème des externalités ( externalités négatives quand l’activité des entreprises engendre des effets négatifs non pris en compte par le marché (pollution).Et externalités positives quand il y a des aspects positifs sur l’économie, aspect non pris en compte par le marché (entreprises qui créent beaucoup d’activité

défaillances de marché c'est-à-dire : « les markets failures ». Les défaillances de marché correspondent aux situations de monopole, aux externalités. L’externalité peut être positive ou négative. Les externalités sont la résultante ou la conséquence de l’action d’un agent économique sur un autre agent économique ou autre groupe d’agents économique. Les externalités ont été mises en évidence par un libéral : A. Marshall. Il met en évidence le modèle néo-classique. Il existe une troisième défaillance

l’environnement et à la répartition des revenus. Pigou le définit comme « un effet de l’action d’un agent économique sur un autre qui s’exerce en dehors du marché » (The Economics of Welfare, Macmillan, 1932). La croissance s’accompagne de nombreuses externalités négatives : l’épuisement des ressources naturelles, l’accentuation des inégalités entre les pays, les dégradations et les risques écologique. 1. L’épuisement des ressources naturelles Toutes les ressources naturelles ne sont pas renouvelables (exemples

mobilité des facteurs de production. - Externalité : une externalité désigne toute situation où les activités d'un agent économique ont des conséquences sur le bien-être d'autres agents sans qu'il y ait des échanges ou des transactions entre eux. Elle peut être positive (elle accroît le bien-être des autres agents, comme par exemple le développement de la scolarisation) ou bien négative ( elle diminue le bien-être des autres agents : c'est le cas de la pollution). - Rendement d'échelle : relation qui

Elle résulte principalement d'une régulation administrée centrée sur la maîtrise et la gestion des externalités. Ces externalités territoriales deviennent des potentialités ou des contraintes pour le développement économique. Il s'agit en fait pour la politique d'aménagement territoriale de valoriser les externalités positives et de limiter les conséquences des externalités négatives. Les externalités positives ainsi produites jouent le rôle d'un bien public global. Elles pèsent sur les conditions

respecter l’environnement. Là est la limite de la croissance. En effet, prenons le cas extrême qu’est la Chine. Ce pays a une croissance actuelle forte, avec par force une production toute aussi importante. Mais celle-ci donne lieu à des externalités négatives, comme la pollution. Nous pouvons alors nous demander si les formes actuelles de croissance obéissent au développement durable ? Dans quelle mesure la croissance favorise-t-elle correctement tous les développements ? Nous verrons dans un premiers

matérialistes suivraient un déclin irréversible a été contestée. L'économiste et politologue A.O.Hirschman ([1982] 2006), propose un schéma oscillatoire de la temporalité collective dans les sociétés postindustrielles. Les externalités négatives, liées à la massification de la consommation (pollution. encombrements de l'espace et files d'attente ...), entraînent une déception du consommateur et plus de participation du citoyen à la vie politique pour corriger ces conséquences non souhaitées. Mais cette mobilisation