Pollution Externalité Négative

d’externalités On distingue les externalités positives (l’éducation améliore la performance des salariés) et les externalités négatives. Il y aune défaillance de marché dans le sens où il n’existe pas une valorisation monétaire entre l’interdépendance des comportements des agents. En cas d’externalité négative on va avoir une production plus importante que le niveau optimal et inversement s’agissant des externalités positives. Selon Coase, ces externalités peuvent se résoudre sans intervention

qu’exerce l’homme sur la Nature. C’est un indicateur qui permet de montrer les effets de la croissance sur l’environnement c'est-à-dire la pollution avec les émissions de C02 qui est responsable du réchauffement climatique. Or le P.I.B ne mesure que la croissance et non les dégradations de l’environnement, les accidents, les attentats etc. qui sont des externalités négatives, en les compte comme positive, comme étant des acteurs de la hausse de la croissance. Donc l’empreinte écologique permet de faire ressortir

manque ? Tout simplement les bonnes lunettes pour regarder ce Nouveau Monde et les réformes indispensables pour en tirer les bénéfices. D’autant que les leviers à actionner sont établis : mettre la santé et le bien-être en priorité, reconnaître les externalités, mieux valoriser l’immatériel, innover localement, prendre en compte la demande. Il s’agit aussi de favoriser la transformation déjà engagée de l’entrepreneuriat, d’introduire l’équité dans l’économie en acceptant de poser la question de la répartition

soulignées : Certaines activités ne sont pas mesurées  économie souterraine (def. Policop).  Bénévolat/ travail domestique La croissance peut être aussi synonyme de dégradation de l’environnement, pollution, épuisement des ressources naturelles  externalités négatives. La production non marchande (coûts de prod.  mesure sous estimée) n’est pas mesurée de la même façon que la production marchande (prix du marché)/ PIB/hab : on prend pas en compte les inégalités au sein du pays

prolétariat pour renverser la domination bourgeoise et établir un système communiste (Marx) ; - l'école néo-classique (fin XIXème, Pigou, Marshall, Pareto) : l'Etat est légitimé à se substituer au marché dans des cas particuliers (biens collectifs, externalités, monopoles) ; - les keynésiens (XXème) : l'Etat protège les citoyens des risques économiques (chômage) et sociaux par une politique de régulation, en intervenant sur la demande effective. 3) L'évolution historique du rôle de l'Etat français -

plusieurs années, mais ce n’est qu’à partir du 21ème siècle que certaines controverses sont apparues, et que les économistes et sociologues se sont penchés non seulement sur les avantages de cette mondialisation mais aussi et surtout sur ses externalités négatives. On a pu en effet remarquer la réduction des inégalités entre les différents pays du monde. Ce sont surtout les pays du Sud qui ont bénéficié de cet effacement progressif des inégalités et en particulier l'Asie, pilier de la mondialisation

n'interviendra donc sur le marché que pour permettre cette réalisation. Dans certains cas, il vaut mieux avoir un optimum de second rang (quand l'Etat intervient). L'internalisation des externalités de Pigou : si on veut qu'une entreprise diminue ses externalités négatives, on va mesurer le coût pour la collectivité lié à la pollution d'une rivière par exemple. On va ensuite faire payer ce coût à l'entreprise. On incorpore ainsi le coût social au coût individuel. L'Etat gendarme ne peut arriver seul à l'optimum

des productions souterraines ( activité illégale et légale non déclarés pour échapper aux taxes ) et aussi de l'économie informelle (activité bénévoles et dans le cadre d familial ou amical) il tient en compte par contre les externalités négatives qui augmente la pollution mais aussi sa fait augmenté les activités qui servent à réparer les dégâts économiques et sociaux ( pharmacies, docteurs... ). Le PIB devrait les enlever de sa mesure pour être un bon indicateur de condition de vie il ne tient

satisfaction des besoins : plus il y a d'individus, plus il y a de bouches à nourrir, à loger, à chauffer, etc... Autrement dit, plus il y a de demande, plus les entreprises sont incitées à la production, et cette course à la production entraine des externalités négatives, dégradant directement l'environnement, menaçant le bien-être des générations futures. Par exemple, une usine rejète du dioxyde de carbone, qui pollue alors l'air et entraîne toutes sortes de maladies. Surtout pour les pays pauvres, dans lesquels

fortement intensive en travail. Mais la croissance devient beaucoup plus intensive en capital au cours de ce siècle. Les études de CARRE-DUBOIS-MALINVAUD sur la croissance française ont montré que la contribution du facteur travail à la croissance était négative au cours des Trente Glorieuses à cause d'une stagnation de la population active alors que le temps de travail diminuait. En effet dans une économie avancée à forte productivité, la croissance s’appuie beaucoup moins sur le volume de main-d’œuvre