Polyandrie

connus : # synonyme de louange # synonyme d'un bienfait accordé bigamie •La polygamie désigne la situation dans laquelle une personne dispose au même moment de plusieurs conjoints de même sexe : pour une femme ayant plusieurs maris on parle de polyandrie, pour un homme ayant plusieurs femmes de polygynie dot Biens qu'une femme apporte en mariage encyclique Lettre du pape adressée aux évêques du monde et destinée à l'ensemble des croyants infamante Qui porte infamie irrémédiable •À quoi on

bientôt la civilisation. Ici la position du chef est différente, il a lui seul toute les femmes du groupe au détriment des autres hommes. Cependant deux mécanismes permettent de résoudre ce problème: « C'est donc une combinaison de polygynie et de polyandrie qui résout, pour les Tupi-Kawahib, les prérogatives du chef en matière conjugale[26].» Le chef conforte par ailleurs sa position et rend donc difficilement attaquable son privilège par son tempérament excessif, qu’il manifeste par des transes

et tout s’échange sous forme de don. En aucun cas, les richesses ne s’accumulent. Société de circulation des biens, société d’abondance. Les gwayatis sont polygame (polygame à la fois polygynies et polyandries). Principalement les femmes ont plusieurs hommes, exception : tous les gwayatis sont polyandries sauf un homme qui est polygynies c’est le chef. La règle au sein des maisons, est celle de cette économie, d’abondance des richesses. Le « plus pauvre » est le chef, puisque c’est lui qui est en

sans se rendre coupable soit de bigamie, soit de polyandrie. Ces incriminations participent ainsi à la protection contre la pluralité d’unions conjugales et réalisent la prévention contre les atteintes à la foi conjugale ou au devoir de fidélité. Elles renvoient au terme générique de « polygamie » 3 qui s’applique à la fois à l’homme qui a plusieurs épouses – usage dénommé « polygynie » - et à la femme qui a plusieurs maris – pratique appelée « polyandrie ». La bigamie La bigamie qui est définie comme

bon chasseur est donc un individu qui donne plus que les autres. C’est un peuple exogamique et polygame. Il ne pratique pas la polygynie (un homme peut avoir plusieurs femmes) mais la polyandrie (une femme peut avoir plusieurs hommes) comme au Tibet ou dans certains peuples de nouvelles zélande. Cette polyandrie s’explique par la structure politique de la tribu : Il existe certes un chef mais c’est le plus pauvre de la tribu, son rôle est de faire la paix et sa fonction est de parler, de réciter

autonome. Il n’y a pas de communauté de vie entre les différentes épouses. Le mari est le visiteur des différentes épouses. Polyandrie= la possibilité pr une femme d’avoir plusieurs époux. Polyandrie des Toda d’Inde qui est une polyandrie fraternelle : qd une femme épouse un homme, on considère qu’elle épouse non seulement cet homme ms ts ses frères. Ce système de polyandrie montre un doute de la paternité. Il va accomplir un rituel particulier qui va le conduire à offrir à la mère un arc de pèche

célèbre le fait que la fille change de maison, soit elle se fait enlever soit elle y va seule. Mais en général elle se fait enlever. Les femmes et les hommes ont le droit d'avoir des rapports sexuels en dehors du mariage. On autorise polygamie ET polyandrie. La propriété : on lègue aux fils et aux filles (seulement la moitié de ce qu'on lègue aux homme) donc les femmes peuvent être très riches. Elles sont un élément indispensable à la cité car s'occupe de la vie religieuse mais aussi gère les domestiques

sans se rendre coupable soit de bigamie, soit de polyandrie. Ces incriminations participent ainsi à la protection contre la pluralité d’unions conjugales et réalisent la prévention contre les atteintes à la foi conjugale ou au devoir de fidélité. Elles renvoient au terme générique de « polygamie » qui s’applique à la fois à l’homme qui a plusieurs épouses – usage dénommé « polygynie » - et à la femme qui a plusieurs maris – pratique appelée « polyandrie ». La bigamie La bigamie qui est définie

Chapitre 3 : la parenté Introduction :· Avec la religion, la parenté a été un sujet très prisé par les pères fondateurs de l’anthropologie, qui a suscité un certains  nombres de ruptures et de révolutions disciplinaires.· Objet fondateur de la discipline :· Débats théoriques.· Approche méthodologique : l’enquête de parenté. · Morgan (représentant de l’évolutionnisme) :· Enquête sur les Iroquois : Systèmes dravidiens (père et frères du père = pères pour  l’enfant)

un bon exemple, d’autant plus qu’ils ne croient pas au rôle du père dans la conception ; tout juste aide-t-il à ouvrir la voie. Encore qu’il y ait d’autres moyens. Enfin, certains systèmes tendent à limiter et non à multiplier les naissances. La polyandrie fraternelle himalayenne en est un bon exemple. Notes 1 Cf. L’Homme, 1979, XIX (3-4), n° spéc. : Les catégories de sexe en anthropologie sociale : 5-61. 2 Les statistiques sont celles établies par George P. Murdoch & Caterina Provost dans