Polymorphisme

l’ADN codant. Le nombre de séquences répétées varient d’une personne à l’autre c’est pourquoi elles constituent ce qu’on peut appeler « l’empreinte génétique » de chaque individu (à l’exception des jumeaux). c) Enzymes de restriction et polymorphisme de taille des fragments de restriction On a découvert en 1970 des enzymes spéciales à partir d’études sur un phage (virus capable de détruire certaines bactéries). Ce phage ne peut se développer qu’en infectant une bactérie, l’Escheria coli. Pour

continent américain. Cette distribution se superpose assez bien avec celle d'une autre maladie, le paludisme ou malaria, qui, elle, a une origine infectieuse: le Plasmodium falciparum. La présence élevée de cette maladie en Afrique semble être un cas de polymorphisme génétiqueéquilibré entraîné par une sélection naturelle : en effet, les personnes porteuses saines hétérozygotes(A/S) ou atteintes de la drépanocytose homozygotes (S/S) sont protégées des affections neurologiques de Plasmodium, le parasite responsable

en trois parties: Protocérébron, Deutocérébron et Tritocérébron. 2) Organisation sociale A. Les castes   A l'intérieur d'une fourmilière, si l'on observe bien, on peut voir différents types de fourmis. C'est ce que l'on appelle le polymorphisme. Toutes les fourmis identiques forment un groupe appelé "caste". C'est lors de la ponte que la reine prédéfinit la caste du nouveau-né, elle peut en effet choisir de féconder l'œuf ou non. Cependant la ponte n'est pas le seul facteur jouant sur

elle-même, ou de ses co-activateurs apo CII, apo AV. • Secondaire : situation la plus fréquente 12 - Intrication d’une étiologie de dyslipidémie secondaire et de facteurs de susceptibilité génétique plus ou moins marqués (mutation hétérozygote ou polymorphismes facilitant la survenue d’une hyperTG). souvent décompensation transitoire d’autres dyslipidémies primitives (dysbêtalipoprotéinémie et hyperlipidémie familiale combinée). Ainsi la majorité des phénotypes V sont le fait de plusieurs facteurs (souvent

différences entre langages (java, C++, C#, etc.), on ne pénalisera cependant pas les solutions proposées sur la base d’un langage spécifique : ainsi C++ nécessite la déclaration d’une méthode virtuelle pour permettre le polymorphisme de la question 3.1, mais pas java.qui implémente le polymorphisme dynamique par défaut Si l’utilisation de la collection est remplacée dans les questions 1 et 2 par l’usage d’un tableau, on enlévera 5 points sur l’ensemble des deux questions. Fonction Epreuve ::compterEngagés(uneAnnée

de 43 kDa. ´ ´ Une centaine de mutations et polymorphismes ont ete ´ ´ identifies, avec une frequence variable (Tableau 3), et plusieurs ´ ´ ´ ´ ´ relations genotype–phenotype ont ete etablies, tant sur le plan clinique que biochimique pour les homozygotes [6,12–15] : ´  Gly82Glu : perte de l’activite catalytique de l’alanine-glyoxylate ´ ˆ aminotransferase en empechant sa liaison avec la pyridoxine ; ´ ´  Ile244Thr (cosegregation avec le polymorphisme Pro11Leu) : ´ ´ ´ ´ ´ agregation et degradation

et de formation au niveau inter-régional et global dans leurs domaines respectifs d’expertise. ct fournissent un appui scientifique et technique aux Group?s Régionaux. Les deuk Groupes Thématiques sont intitulés . D21 : Relation virulence et polymorphisme de I’ADN chez Aschochyta rabiei parasite du pois chiche (Citer arietinum) HAMZA S. I.ab»ratoire de Génétique. Institut National Agronomique de Tuni\. 43 a\. Charle\ 4icolk. 1 unik I()X? I ~(II,. La variabilité génétique de cent cinquante cultures

chromo. homologues sont les mêmes, l’individu est homozygote ; si ils sont différents, il est hétérozygote. Le polymorphisme des gènes se manifeste par une hétérozygotie en de nbx locii. I.2. Les mutations sont à l’origine du polymorphisme ( Mutations = modification accidentelle d’un ou plusieurs nucléotides sur l’ADN : elles sont à l’origine de nouveaux allèles. Le polymorphisme résute de l’accumulation de mutations au fil des générations. Mutation doit être pour cela transmise de manière

séquence déjà connue diffère par une mutation (G/A) et un indel (insertion ou délétion). Il est facile de comprendre que votre séquence puisse avoir quelques différences (mutations) avec une séquence de référence. Cela peut être du soit à du polymorphisme allélique, soit au fait que d'un organisme à un autre des mutations sont apparues. La notion d'indel est très importante. Les deux séquences peuvent avoir des nucléotides en plus ou en moins : • Par multiples de 3 : un acide aminé en plus

TP] Microbiologie 1 : Historique et introduction à la microbiologie générale, Nature et étendu du monde microbien, Structure et classification des bactéries, Nutrition et croissance bactérienne, Notion de virologie et immunologie. Génétique : Polymorphisme, Interactions entre gènes, Calculs des fréquences et de leurs fluctuations, Test d’équilibre HW, Diversité et divergence génétique. Biochimie 18H C+12H TD+16H TP / 20H C+12H TD+12H TP] Biochimie structurale : Les protéines : propriétés physicochimiques