Polyphème

dessine par ses faiblesses ou ses défauts, il n'est pas parfait comme il tente de le montrer, il n'est pas mieux qu'un autre. Son visage humain est mit en evidence par sa faiblesse est son orgueil. Il ne peut pas résister de révéler son identité a Polyphème, c'est ce qui lui vaut donc les foudres de Poséidon "Cyclope , si jamais quelque mortel t'interroge sur ton affreuse cécité, dis lui que tu l'as dois à Ulysse, Fléau des villes, Fils de Laerte et noble citoyens d'Itaque". Ulysse n'est pas peu fière

l'interroge sur les raisons de ses larmes et sur l'histoire de sa vie. Chant 9 : Ulysse commence à raconter son histoire. Après la chute de Troie, il combat les Kikones, échappe au territoire de l'oubli des Lotophages, et aveugle ensuite le cyclope Polyphème, provoquant ainsi l'ire de Poséidon. Chant 10 : Suite du récit d'Ulysse. Eole renvoie Ulysse et ses compagons chez eux. Mais l'équipage ouvre une outre donnée par Eole. Retour chez Eole qui les chasse. Les Lestrygons détruisent toute la flotte

destin. C'est le cas des épopées/dans l'épopée, qui est le premier genre narratif auquel le roman empruntera le récit d'actions extraordinaires et la présence d'un héros. On peut citer L'Odyssée dans laquelle Ulysse parvient à vaincre le cyclope Polyphème en utilisant sa ruse. Ainsi, il pourra lui échapper et accomplir sa volonté, qui est de retourner à Ithaque auprès de Pénéloppe. Ensuite, dans les romans épiques, on trouve des personnages extraordinaires, voir surhumains, réalisant des exploits

introduits d'Orient à la suite de la conquête islamique (VIIe s.). Plus anciens sont les contes dont on retrouve les motifs au nord de la Méditerranée, soit dans le fonds populaire européen (Cendrillon), soit dans la mythologie classique (Psyché, Polyphème, Persée et Andromède, l'hydre). Le conte berbère du Trésor pillé ramène même à l'Antiquité égyptienne (il a été rapporté par Hérodote comme événement réellement survenu au pharaon Rhampsinite). Il reste enfin un lot de contes dont on n'a pas trouvé

Ulysse. L'Odyssée se présente comme un roman d'aventures entraînant son héros dans des pays fabuleux. Les épisodes terrifiants succèdent aux péripéties merveilleuses, et Ulysse n'a que son intelligence et sa ruse pour échapper à la cruauté du Cyclope Polyphème ou aux séductions dangereuses de Circé. Ces contrées mystérieuses, dans lesquelles les historiens modernes ont reconnu différents pays de la Méditerranée, représentent en fait les étapes d'un voyage initiatique. L'Odyssée est une épopée, non plus

par la toile de Botticelli, s'en inspira dans Le Triomphe de Galatée, la grande fresque qu'il réalisa à Rome pour la Farnésine, vers 1512 (ill. 6). Les Métamorphoses d'Ovide relatent longuement l'histoire de Galatée, la néréide qui avait dédaigné Polyphème , mais ne disent rien de son triomphe maritime imaginé par Raphaël. Debout sur une coquille lui servant d'embarcation tirée par deux dauphins, et mue aussi par une étrange roue à pales, elle est entourée de tritons et d'amours qui lui font cortège

la mer.Il est armé d'un trident, se déplace sur un char tiré par les tritons, mi-hommes mi-dauphins, et escorté par les Néréides.Il est honoré dans tout le monde grec. La plupart seront malfaisantes ou monstrueuses.: ces enfants (Antée, un geant, polyphème dont ulysse creva l'oeil son fils triton mi homme mi poisson, charibde que zeus tranforme en monstre qui avale les navire Héphaïstos est le Dieu du feu, il est le plus laid de tout les Dieux il est aussi le maître de métalurgie c'est le fils d'Héra

messagere des dieux, Iris au vol rapide, aux chevilles ailées. La foudre, c'est la colère de Zeus-Jupiter Tonnant, c'est le mouvement de son ombrageux sourcil. Le volcan, au cratère hagard et monoculaire, vomissant des blocs de lave, c'est le géant Polyphème (le « Verbeux »), le Cyclope qui jette dans la rade où mouille le vaisseau d'Ulysse d'énormes quartiers de roches. L'inconcevable pourvoir destructeur du temps, qui abolit ce qu'il a permis d'édifier, l'homme primitif se l'explique par l'image d'un

vivre et ainsi éviter absolument tout contact avec les habitants des continents. L’engin est baptisé Nautilus. Dakkar, lui, abandonne son nom pour prendre celui de capitaine Nemo, faisant allusion à Ulysse, ce navigateur grec qui déclara au cyclope Polyphème se nommer « Personne » (Nemo en latin). Pendant des années, le capitaine Nemo, à bord de son Nautilus, explore l’ensemble des océans, y découvre maints lieus de naufrages où l’or pèse dans les épaves coulées, à l’instar des millions perdus dans

préface de Cromwell. Selon lui s’y mêlent, deux termes antithétiques qui caractérisent la modernité : « c’est de la féconde union du type grotesque au type sublime que naît le génie moderne. ». Personnage grotesque selon V.Hugo dans l’Antiquité : Polyphème le cyclope car il incarne le grotesque terrible. Dans la pensée moderne, le grotesque a un rôle immense : il crée le difforme et l’horrible, le comique et le bouffon. Le sublime représente le beau et le drame met en scène des CONTRASTES, car c’est