Polyptote

définit ensuite ce «réductionnisme » en termes généraux, avant de le juger moralement, avec indignation. En fait de polémique, il s’agit d’indignation (cf. cette émotion morale, chez Condorcet notamment). Cette indignation est oratoire (anaphores, polyptotes, parallélismes, période avec clausule sur la « forme rationnelle et scientifique de la barbarie » l. 51-52). La polémique donnerait lieu à de l’ironie (il y en aailleurs dans cet extrait, l. 18-24) et à des expressions plus violentes. On l’a vu

de » - « le battement de ses pieds »« l’eau fuyait le long de ses bras pour se coller à ses jambes »- Le corps de Rieux s’est adapté à l’élément. - le POLYPTOTE (= répétition d'un mot dans une même phrase mais sous des formes grammaticales différentes) met en relief la perception progressive de Rieux, désormais capable de décrypter cette « tiédeur » qu’il inscrit dans un cycle

la négation « nul ne doit être inquiété » ainsi que de l’ironie tragique « elle a le droit de monter sur l’échafaud » montre que l’autrice a recours à la violence pour secouer sévèrement la population et notamment féminine sur sa condition. Le polyptote dans l’article 11 « libre, librement, liberté » confère en effet ce droit à l’émancipation féminine. Le superlatif « le plus précieux » permet à olympe de gouges d’emplifier ses propos cités précédemment sur la nécessité des droits fondamentaux

côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Polyptote (masculin) : Un polyptote consiste à employer plusieurs formes grammaticales d’un même mot, dans une phrase. Exemple : Madame se meurt ! Madame est morte ! […] ». Ou encore « Tel est pris qui croyait prendre. » *Prétérition (féminin) : C’est lorsqu’on affirme

entre le chien et le loup - Personnification - Champ lexical du combat - Champ lexical de la pauvreté - Présent de narration - diérèse -infinitif - Chiasme - Portrait des deux animaux - animaux a moitié humain - mot péjoratif - polyptote | - Fin de vers 1 à 4 « peau » ; « garde » ; « beau » ; « mégarde » - Vers 1 « Un loup n'avait que les os et la peau » - Vers 1 et 3, 4 - « Sire Loup », « Maître Loup » - « défendre », « épée », « attaquer » - « hère (pauvre homme) »,

FRANÇAIS CONCLUSION: LL princesse de cleves Cette confession que Madame de Clèves fait à son mari révèle la grandeur héroïque des protagonistes qui se vouent un respect mutuel hors du commun. Elle met aussi en évidence la souffrance intense à laquelle sont en proie nos deux héros, suscitant la compassion du lecteur. Cette scène atypique permet en outre de faire avancer l’action puisque cet aveu sera à l’origine de la mort du Prince de Clèves.LL1313h55 à 14h55Conseils pour progresser :-Il faut expliquer

conjonction de coordination « car ». Le poète met en évidence l’ignorance de ses semblables, leur inconscience. Ainsi l’univers poétique n’est plus commun au poète et au lecteur. Le poète demeure celui qui possède un savoir supérieur visible à travers le polyptote (répétition d’un même terme sous des formes grammaticales différentes) vers 20 « j’ai vécu je vis encore ». Il devient un initiateur « je vous entraînerai » vers 19, et revendique même un changement de fonction vers 21 «  Mais je m’étonne de parler

au vers 4 par ex. RB dit « Marquis, jusqu'à ce jour Satan te protégea », au v.6 il est comparé à un serpent, qui est une figure maléfique et corruptrice, mais aussi à un monstre sans âme aux vers 10-11. On met en relief un monstre grâce à un polyptote (« fourbe tortueux »). Don Salluste est un sadique, il rappelle au valet son véritable statut de manière horrible aux vers 12-13. c) La libération totale du valet : Ruy Blas ne reconnaît plus son maître, il le méprise, on passe du vouvoiement

dépend de « vie » dans : « La vie m’est et trop molle et trop dure », ce qui montre la passivité du moi sujet ou plutôt son impuissance à contrôler ses émotions et sentiments. Ø Le verbe « endurer » utilisé au présent et au gérondif (figure du polyptote = variante flexionnelle du même mot) renforce cet état de dépendance du sujet. Ø L’Amour, allégorisé par la majuscule, est donc bien le maître absolu et implacable qui soumet ou qui fait espérer « inconstamment » le cœur humain. Ø Le rythme

ainsi référence aux anciens, ici Ovide et ses Métamorphoses. La dimension érotique du désir amoureux du poète est renforcée par le vers 3, avec l'évocation de l'intimité de la femme désirée :  « dans le beau sein », et le polyptote « beau »/  « belle » illustre l'idéalisation de la femme, un thème important dans la poésie de la Pléiade. Cette idéalisation se retrouve aussi dans la mise en valeur à la césure du vers suivant de « ses yeux ». L'adverbe temporel « lors » fait écho