Polyptote

Bossuet fait le récit de la mort de la princesse. II) LA MISE EN SCÈNE DE LA MORT: 1) Mort mise en scène de façon pathétique. * Caractère soudain, insupportable de cette mort : "tout à coup" (l.10) * plusieurs occurrences du mot "coup" * polyptote (dérivation d'un verbe) mise en relief par l'asyndète ==> réduction de la durée de l'agonie "Madame se meurt ! Madame est morte !" (l.12) Tr: cette mort soudaine touche à tout l'univers 2) * Usage du pronom personnel indéfini

crever ». -Le corps hideux semble la proie de mouvements spasmodiques, de contractions, de convulsions frénétiques : leur leurs amours sont « épileptiques », les assis sont « tremblant[s] du tremblement douloureux du crapaud », allitération en [r] +le polyptote. -Ces spasmes sont aussi lisibles dans la forme même du poème, dans la versification : voir dans la strophe 2, les enjambements, le rejet du v7, la censuré placé sur des mots grammaticaux aux vers 5 et 8 (« des »/ »les »). b) Des êtres maléfiques

incapable de se représenter .La comparaison est reprise et développé (l.23-25) par des hyperboles et une gradation ascendante (l.23) « plus enragé que les chiens » (l.25) «  100 000 fois plus enragé que mille chiens et tellement plus vicieux ».Le polyptote « enragé » et « rage » met en évidence une folie destructrice et révèle un homme dénature et pervers qui tue par plaisir  « adorant leur rage » « vicieux ».On trouve également (l.11) l’antiphrase « des braves » (l.14) , « imbécillité infernale »

cet excès des émotions. L’auteur débute avec le simple verbe « Voir » (l.21), puis il rajoute l’article défini « la » « la voir » (l.22) enfin, il accentue avec la conjonction de coordination « et » « et la voir » (l.23). On remarque également un polyptote autour de ce même vers « voir », « vit », « voyait ». Cette scène de voyeurisme constitue un plaisir total pour M. de Nemours, elle va provoquer un véritable délire des sens pour celui-ci. Mais s’il se trouve dans cet état c’est également parce

vois mes honneurs croître et tomber mon crédit (Racine, Britannicus)  CRITERE MORPHOLOGIQUE DERIVATION (n.f): répétition de mots qui ont une même base lexicale.(...) sans avoir usé de rien on est désabusé de tout. (Chateaubriand, Génie du Christianisme)POLYPTOTE (n.m): répétition d'un mot avec variation morphologique ou fonctionnelle.Après tant de hauts faits, il m’est bien doux, seigneur, […]De voir, sous les lauriers qui vous couvrent la tête, Un si grand conquérant être encore ma conquête, […] (Corneille

dépend de « vie » dans : « La vie m’est et trop molle et trop dure », ce qui montre la passivité du moi sujet ou plutôt son impuissance à contrôler ses émotions et sentiments.     Le verbe « endurer » utilisé au présent et au gérondif (figure du polyptote = variante flexionnelle du même mot) renforce cet état de dépendance du sujet.     L’Amour, allégorisé par la majuscule, est donc bien le maître absolu et implacable qui soumet ou qui fait espérer « inconstamment » le cœur humain.     Le

nocturne dans une taverne petits jeux de lumières et de reflets retrouvés en grand avec le Rhin « tout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléter » l’éclat des étoiles se reflète dans l’eau sombre du Rhin et contraste avec le ciel nocturne. POLYPTOTE : on reprend et on rapproche « trembleur » et « tremblant ». Auditif : « Ecoutez la chanson lente d’un batelier » devient « la voix… à en râle-mourir » Chant qui devient envoûtant et funèbre qui ressemble au chant des sirènes dans l’Odyssée ainsi

du portique romantique. A- La souffrance romantique « Parler et hurler » la construction de la syndète propose un increscendo dans l’action où la réaction du père Fauchelevent témoigne de la douleur progressive de l’homme en difficulté. Le polyptote « vieillard », « vieille », « vieux » souligne la faiblesse du personnage afin de montrer d’avantage le supplice que la plume Hugolienne lui confère. L’assonance en [r] traduit les cris dolents. B- La salvation romantique. « Lui, il avait sur

effet le thème central de ce poème. Elle est omniprésente. Elle se manifeste dans le champ lexical de la douleur : dolent, ire (désigne clairement dès le 2e verbe cette souffrance), plaindre, doleureuse (variation autour de l’adjectif dolent -> polyptote : consiste en la répétition de plusieurs termes de même racine, ou encore d'un même verbe sous différentes formes), dolente /obscure, mort, soupire. Omniprésence de la négation : Je ne sais : ouverture et clôture du poème, N’ose, Ni dire : formule

spectateur sur sa propre condition. Or tout au long de l'extrait on observe que toutes les questions posées par Vladimir sont restées sans réponses. Ce qui montre une fois de plus l'incommunicabilité des hommes. "...seuls au milieu des solitudes" Polyptote accentué sur ce mot "seul" -> pessimisme absolu qui produit une solitude immense de l'Homme malgré la présence de ses congénères. Ainsi, nous pouvons dire que cette pièce de Beckett traite sur la condition de l'homme car elle fait référence à