Polyptote

programme humaniste. – on note la présence du champ lexical de l’éducation : comme Rabelais il mentionne le précepteur (ce qui suppose un enseignement individuel, adapté au profil de l’enfant) + son élève, « non qu’il apprenne ». On relève également le polyptote « qu’il sache ce qu’il sait ». – précepteur et élève forment un couple, un duo et l’on peut parler de dialectique du maître et de l’élève (rapport reposant sur un principe de tension, d’opposition) Montaigne développe ses conceptions en matière d’éducation

qu’il nous montre. - La conversation entre Pangloss et Candide ressemble à un dialogue de sourds : Candide cherche humblement à avoir le dernier mot (il conclut le conte et il interrompt Pangloss « Vous savez…-Je sais aussi, dit Candide » → polyptote qui montre reprise du pouvoir sur Pangloss B) Sur la route de la sagesse - 2eme rencontre avec la philosophie chopinée, Pangloss, Candide et Martin sont en chemin « en retournant à la petite métairie » ≠ de leur marche avec le vieillard

vertige : « dans les trous, les roues vertigineuses. » • Passage virtuose du piège « les trous », « les roues » à l’effet de l’enfermement : « les bouches les voix », véritable cri (cf. Munch) qui avait été annoncé par le « grelot » (solitude, avec le polyptote « grelotte »), puis par le ricanement, puis par « l’accordéon » (de plus en plus fort). La folie est complète… • … et l’échec total. Les cinq dernières lignes le suggèrent : retour à la routine du train (« broun-roun-roun »), « orage sous le crâne

mentale du locuteur. La présence de réflexion inachevée, sans conclusion (« Est-ce que Dieu permet de ces malheurs sans nom / Qui font que dans le cœur le désespoir se lève ? ») contribue aussi à confirmer cette idée. Par ailleurs on retrouve deux polyptotes (« [...] dont l’âme a souffert ma souffrance, » ; « Tout ce que j’éprouvais, l’avez-vous éprouvé ? ») figure de répétition qui, associée avec la répétition des mots « et » et « puis » et à la ponctuation donnant un rythme saccadé au texte, contribue

phrase met fin à la comédie : au sens propre, le moraliste quitte l'assemblée, et au sens figuré, le portrait s'interrompt. En outre, le ton change : du comique, on passe à l'indignation. Le moraliste exprime son exaspération et la souligne par la polyptote : il s'éclipse car il est « incapable de souffrir plus longtemps Théodecte, et ceux qui le souffrent ». Cette chute nous invite également à réinterpréter le sens moral de la remarque. Tout autant que la fatuité de Théodecte, le moraliste fustige

le�res : elles sont le principal moyen de communica�on entre Suzanne et Louis = cela montre l'…………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Cela démontre aussi …………………………………………………………………………………………………………………………………………… - …………………………et polyptote : « parfois tu nous envoyais des le�res » et « parfois tu nous envoies des le�res » : insistance de Suzanne sur la rareté des le�res avec l’....................................... de l’adverbe temporel « parfois » + épanorthose : Suzanne

lune et les étoiles 
l’entendent. » L16-19 qui révèle la volonté de Nawal de partager son secret avec le monde entier ce qui est contradictoire du fait qu' elle a déjà du mal à le dire à son amant. Dans cette même gradation, nous trouvons aussi une polyptote de « entendre » ainsi qu'une épiphore et un parallélisme de construction. Toutes ces figures de styles réunies renforce l'idée du secret qui se dévoile au fil de la scène. Nous pouvons aussi souligner l'utilisation de nombreuses antithèses comme

« Mais une convulsion effroyable la saisit, un spasme si cruel … ». Pour Jeanne cette « effroyable » contraction, ce spasme est à l’image de l’anéantissement physique, de la mort, à tel point que la parturiente elle-même s’exclame dans un sublime polyptote macabre : « je vais mourir. Je meurs ! » Et finalement tout se termine en un « effort suprême » terme qui fait écho d’une manière paradoxale à la citation précédente si l’on s’en tient à son acception d’ « ultime » comme dans les moments ou les

châtiment divin, une idée que la Fontaine évoque de façon secondaire aussi bien dans la 1ère strophe que dans le discours du Lion en associant la maladie avec le champ lexical religieux. La 1ère est conçue pour frapper l’imagination du lecteur, le polyptote du mot « mal » aux 2 premiers vers classe d’emblée la fable dans le registre tragique. Les rimes mettant l’accent sur la dimension funeste de l’épidémie en assistant sur certains termes très fort (« fureur », « terreur », etc.), le champ lexical

humaine » avec « cœur s’apaise ». On y retrouve également des répétitions ou anaphores, mettant un point d’orgue sur des termes importants tel que « peur », « impossible », « toi » ou encore « cette nuit est lourde ». Dérivé de cela, on retrouve une polyptote « j’ai tendu les mains » avec « je tends mes mains » qui semble exprimer le fait qu’il a tendu les mains pendant longtemps et qu’à chaque fois, la personne qui est en face de lui se trouve être la même, celle pour qui il a « plein de haine ».