Polyptote

d’Aubigné ne cherche pas à canaliser leur violence, au contraire : il en fait sentir la démesure et en soutient le déchaînement, au rythme oratoire de la période. - questions posées = quaestiones q structurent somme de théologie classique - polyptote = déclinaison du mot - enjambement qui mime emportement - éthos du prédicateur assertif - modalité aléthique = porte sur la valeur de vérité d’un énoncé (emploi du verbe être, emploi des articles indéfinis, du futur prophétique, de l’assertion

four-millent » v.20, « | | | | |heurte » v.21, « bou-chent| | | | |le passage » v.27, | | | | |« foule » v.32, | | | | |« accroche » v. 35, | | | | |« renverse » v. 36 | | |Rmq sur v. 38 ? |Répétition |« embarras », |Ne peuvent plus avancer,| | |Polyptote |« embarrasser » (v.38) |pris au piège. | | |(reprise dans | | | | |1 phrase du | | | | |même mot, sous| | | | |des formes | | | | |différentes) | | | * Que montrent les 4 premiers procédés ? 4 autres ? Noter ds la marge les ss-parties.

personnages. Le lyrisme: La parole est versifiée ( bcp de retour à la ligne qui pour la plupart ne semble pas nécessaire pour la syntaxe) + comme dans une chanson, il y a beaucoup de répétitions (anaphore, polyptote, …) def lyrisme: -poésie, genre lyrique -manière passionnée , poétique, de sentir , de vivre, d’exprimer quelque chose. genre lyrique= Se dit d'un genre poétique inspiré de la

César | | la palilogie | répétition d'un mot pour l'accentuer | « Oh! le long, long cou »— Molière | | la paronomase | répétition visant à rapprocher des paronymes au sein du même énoncé | « Qui se ressemble s'assemble »— Proverbe | | la polyptote | répétition de plusieurs termes de même racine, ou encore un même verbe sous différentes formes. Le mot subit des variations morpho-syntaxiques | « Rome vous craindra plus que vous ne la craignez »— Corneille, Horace | | la thématisation | répétition

et « partir » ne doit être envisagé que si rester s'avère être trop difficile. Il y a une gradation entre les verbes pouvoir et falloir. Le premier reflète une possibilité tandis que le second renvoie à une nécessité. De plus, ce vers possède un polyptote, le verbe « rester » est répété sous différentes formes. L'effet visé est souvent lyrique mais on peut aussi l'utiliser pour créer une insistance sur une qualité ou, comme ici, sur un aspect temporel. Le Temps décrit souvent le cycle de la vie

thème abordé:  un personnage féminin observé à son insu  itinéraire d'un franchissement périlleux point de vue interne du Duc de Nemours une perception particulière: caractérisation de madame de Clèves par le Duc de Nemours isotopie de la vue; polyptote du verbe voir pour demain construire un paragraphe argumenté structuré pour la question 3 exposé sur La princesse de Clèves 24 NOV Remises de copies Remise des moyennes Relecture du texte Extrait de La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette

souvent le contexte qui permet de dire s'il y a hyperbole ou non. • Anaphore n. f. - Figure de style caractérisée par la répétition d'un terme en tête d'un groupe de mots ou d'une phrase. o Ex: Marcher à jeun, marcher vaincu, marcher malade (Hugo) • Polyptote n. m. - Répétition de plusieurs termes qui ont la même racine. On utilise pour cela la dérivation. o Ex: "Oui, je la haïssais (...) je l'ai haï (...) Roi des rois, la seul excuse de ce surnom est qu'il justifie la haine de la haine" • Métaphore n

que met en valeur une simple virgule. Les deux infinis : perte de la base et du sommet. La grandeur de l'univers est sans limite ; ou plutôt sa limite recule indéfiniment dès qu'on essaie de l'appréhender (cf. l. 5-8), comme en témoignent les polyptotes et les anaphores de cette période : la longueur même de la phrase et sa complexité grammaticale (utilisant tantôt la juxtaposition, tantôt la coordination et tantôt la subordination) met en relief les figures de répétition par lesquelles Pascal

vouloir s’engager : « Moi, je ne compte pas et je ne rapporterai rien, je suis ainsi, ce n'est pas mon rôle ou pas comme ça, du moins, que je l'imagine ». (Partie 1, scène 6). Lagarce nous donne à apprécier, à travers son art de l’épanorthose et de la polyptote, toute cette retenue du langage, cette recherche précautionneuse de l’expression juste chez ses personnages. Par exemple, dans la partie 2, scène 3, La Mère réussit dans un long monologue à enfin exprimer son sentiment d’abandon qu’elle précise par

elle sait appartenir au prince plus qu’à elle-même.Elle demande également pardon au prince dans une hyperbole « je vous demande mille pardon » l.16 « si j’ai des sentiments qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions » polyptote déplaisent/déplairont et construction en chiasme qui insiste sur la lutte intérieure de la raison contre la passion.+ parole performative + litote pour indiquer qu’elle ne le trompera jamais, contrairement aux habitudes de la cour.Une héroïne à la