Polyptote

mort par l’intermédiaire du roi. On remarque une redondance avec « c’est bien dommage » qui insiste sur le côté pathétique de la situation du roi. L’adverbe « bien » renforce, intensifie « dommage ». Puis on passe à l’emploi de l’imparfait avec le polyptote « c’était ». Ce présentatif permet cette fois de caractériser le roi de façon passée, révolue. Juliette parle donc du roi au passé comme si celui-ci était déjà mort alors qu’il est présent sur scène et peut l’entendre. Le roi est comme réduit à un

Laclos exhorte les femmes à rompre leurs chaînes, et à se libérer de leur esclavage. De fait, tout l’extrait est sous-tendu par ce réseau isotopique de l’esclavage. On en trouve huit occurrences, déclinées à partir du terme « esclave », et son polyptote « esclavage ». Les femmes sont tout d’abord considérées comme l’esclave des hommes. Il y a ainsi l’ébauche d’une relation entre maître et esclave dans ce texte. Laclos réfléchit sur un problème proprement philosophique, qui trouvera son accomplissement

ait aimé. Vivez ! faites envie, » : la référence divine permet à Hugo une sacralisation de l’amour. Dieu est à la fois celui qui est proche des morts, mais il est aussi cette puissance qui ordonne aux vivants d’aimer. L’amour domine ce poème. Le polyptote « aimez » (vers 10, 11) et « aimé » (vers 13) suggère les variations de l’amour. Le mot placé à la césure prend sa force (au milieu du vers). L’allitération en « v » laisse entendre la puissance de la vie (« veut » / « vivez » / « envie ») La

du pronom « je » par le pronom « nous », avant même qu’ils deviennent « amis », ce qui montre la fusion entre les deux personnages. De plus, l’emploi de l’adverbe « tout de suite » montre que cette fusion est immédiate, ce qui est appuyé par le polyptote « je me dis m’appeler Lejantel, il me répond se nommer Francis Emonot ». Ici, la référence des prénoms n’est pas anodine ; elle marque une apposition au processus de dépersonnalisation évoqué plutôt, qui rompt avec l’anonymat fréquent de l’expérience

profit de l’empirisme. « (…) je suis chirurgien à votre service, et je vais vous démontrer… » l.20 « (…) laissons ces messieurs qui n’aiment pas qu’on leur démontre. » l.22-23 « (…) je veux leur démontrer et je leur démontrerai… » l.24-25 La polyptote : La polyptote est une figure qui consiste à reprendre un terme déjà énoncé en lui faisant subir des variations morphosyntaxiques par la conjugaison. Une forme de répétition qui accompagne et souligne l’anadiplose, mettant en relief le terme démontrer dans

des sentiments tout au long de ce dialogue fait de cette scène une tirade lyrique. Le champ lexical de l’amour y est particulièrement développé : « amour », « sentiment », « cœur » (ce mot est à 7 reprises dans le texte). Nous retrouvons même une polyptote du verbe « aimer » : « je t’aime », « je vous aime », « j’ai tout aimé », « de l’amour ». On assiste ainsi à une générosité de l‘amour jusqu’à l’oubli de soi. c) Phénomène d’idéalisation La déclaration d’amour de Cyrano pour Roxane passe

ne cite pas les lignes. En revanche, le jour de l’oral, l’examinateur aura la même édition que toi, et il te faut alors citer les lignes. DVP1 13 mai 2019 à 6 h 47 min Répondre Excellent commentaire, complet et limpide. N’est-ce cependant pas une polyptote au lieu d’une paronomase dans le II/B ? En effet, la variance morphologique est plus remarquable que la proximité des sons. Merci beaucoup, et poursuivez ainsi : votre pédagogie est … redoutable ! Amélie Vioux 1 janvier 2019 à 21 h 22 min Répondre

cœur »/métaphore « déchirer le cœur » (hyperbole)2) ACME (acmé)=le point culminant. « ces femmes-là sont adorables » = présent de vérité générale + avb « là »=monstration3) APODOSE : fin-champ lex de l’amour « adorables, aiment, être aimées » + polyptote « aimer » + phrase exclamative-l.8-9 « Un jour….nos bonnes œuvres ». « Un jour »=complément circ de temps/ « récompenseront » futur prophétique. Lexique du gain/échange de procédés « récompenseront, rémunérer »- « comme Dieu » comparaison religieuse-

180), sa lenteur (sonnet 21), son irrésolution, que manifestent les divers balancements présents dès le premier sonnet (« Soit de...soit de » / « Je me plains...je me ris »), les anaphores, les énumérations, les antithèses, les asyndètes et les polyptotes, toutes figures qui créent un monde de l’indécision et de l’instabilité d’où ne peut jaillir qu’une musique « basse » (sonnet 60). La tristesse ne s’aurait s’accommoder d’un style élevé. Il faudra au recueil une « corde plus basse » (sonnet 165)

de l’hypocrisie à travers le champ lexical de la dissimulation « ne plus me laisser pénétrer, me montrer sous des formes différentes, observais, réglais, ne pas me fier », et du regard (qui montre que l’enjeu est le paraître) « montrer, montrai (polyptote), observais, voir, expression des figures, caractère des physionomies, coup d’œil». Elle conclue enfin dans le dernier paragraphe en montrant le résultat de son argument, et qui prouve sa valeur avec le champ lexical du succès « talents, réputation »