Polyptote

Erich Maria Remarque (1928), p.48-49|différentes figures de style et de leurs | |Lecture / OL |Comparaisons, Polyptote, |du manuel Français 3ème Livre Unique, |effets : Métaphores, | | |Répétitions, Opposition, rythme binaire / |Hatier. |Comparaisons, Polyptote, | | |ternaire |

à la question de la condition de la femme qu’il considère comme l’esclave de l’homme. De fait, tout l’extrait est sous-tendu par ce réseau isotopique de l’esclavage. On en trouve huit occurrences, déclinées à partir du terme « esclave », et son polyptote « esclavage ». Pour renforcer son propos, Laclos met également en place des jeux d’opposition basés sur des rythmes binaires et des parallélismes de construction cf. 2e paragraphe (citer). Les formes mêmes des phrases épousent la question de l’esclavage :

un désir de suicide. L’évocation de cette mort culmine dans les vers 837, 838 et 839. Le verbe « mourir », annoncé à l’hémistiche précédent par le mot remords, est au cœur d’une suite de formules lapidaires, dans lesquelles il fait l’objet d’un polyptote qui souligne le changement de situation de la reine. Dans un style sublime, proche de l’adynaton, cette expression d’un impossible, Phèdre énonce sa disparition au passé : « Je mourais ce matin digne d’être pleuré ». L’imparfait sert à souligner

A/La structure commémorative : le chant mémoriel l’isotopie du souvenir : de nombreux termes dans le poème reprennent la trame du souvenir. Le terme souvenir lui-même apparaît à quatre reprises, au long du poème, et ce terme lui-même entraîne ses polyptotes (comme « souviens-t’en »). Hormis dans la strophe centrale, on trouve le terme « souvenir » dans chacune des strophes ; c’est dire que le poème dans son ensemble est dédié à la thématique du souvenir. les temps verbaux : cette structure commémorative

situé cataphoriquement « l’étranger ». S’agit-il d’un renvoi à son statut antérieur dans le Passé Simple ou d’une taxinomie dont il est victime dans son entourage pour ne pas le mentionner onomastiquement ? Le statut d’étranger est souligné par une polyptote qui associe dans une parataxe asyndétique le substantif (l’étranger) et l’épithète (étranger) qui constitue l’acmé de la protase du début de la phrase et de l’apodose de sa suite. La durée de l’absence du personnage, outre le chiffre donné, est explicite

A/La structure commémorative : le chant mémoriel l’isotopie du souvenir : de nombreux termes dans le poème reprennent la trame du souvenir. Le terme souvenir lui-même apparaît à quatre reprises, au long du poème, et ce terme lui-même entraîne ses polyptotes (comme « souviens-t’en »). Hormis dans la strophe centrale, on trouve le terme « souvenir » dans chacune des strophes ; c’est dire que le poème dans son ensemble est dédié à la thématique du souvenir. les temps verbaux : cette structure commémorative

l’homme et sa vulnérabilité face au monde environnant. L’oxymore « regardez frissonner dans la fièvre votre divinité » est remplie d’ironie et dresse ainsi un tableau pitoyable de la nature humaine, en blâmant les humains pour leur comportement. Le polyptote « Entre ceux qui oppriment et ceux qui sont opprimés, il n’y a de différence que l’endroit où ils sont situés » nous montre que les hommes sont au final tous égaux et qu’il ne sert à rien de vouloir se démarquer, une chose que reproche Victor Hugo

anaphore de « mal » aux vers 1-2 f. insistance sur la mort : hyperbole « Capable d’enrichir l’Achéron » (vers 5) → beaucoup de victimes chiasme « Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés » (vers 7) → la Peste frappe tout le monde polyptote : « Ils ne mourraient pas tous (vers 7) […] une mourante vie (vers 9) » g. allitération en R : « répand », « terreur », « guerre » etc. → renforce l’idée de terreur h. évocation de la mythologie (Achéron : vers 5) → la Peste est une punition des

des répétitions « je pleure comme un gosse. Je pleure ce gosse qui ne sera plus. Je pleure mon meilleur ami… » « il part en pensées comme neige fond au soleil » « tellement de choses,…tellement de questions…tellement de paysages… » ou encore des polyptotes « … que deux garçons peuvent s’aimer, je t’aimais Rémi. » Il utilise aussi de nombreux jeux de mots « Lui, il a la tignasse blonde ; moi, j’ai le crépu brun. Lui, c’est le look du viking bon aryen ; moi, c’est simplement le bon à rien. Lui, c’est

foc zéro et au discours indirect libre, la litote suggère avec humour le soulagement du héros qui échappe au bûcher v.963 Le rythme de la fuite est très élevé et ne cesse d'accélérer :  sa progression rapide: v. 964, litote au superlatif. + polyptote du verbe courir + martèlement mimétique des occlusives.   Tristan a donc réussi l'impossible ; de ce site grandiose, le héros s'échappe grandi, il réussit cette épreuve qualifiante, et démontre que l'amour donne des ailes, qu'il permet de survivre