Porte Parole Des Opprimés

Le principe selon lequel il existe un droit naturel constitué d’une multitude de règles immuables et universelles dans le temps et la société est hérité de l’Antiquité. L’homme peut découvrir qu’à l’aide de sa raison ces droits naturels. Ainsi, porté par l’influence des Lumières, les constituants de 1789 ont cherchés à regrouper ont sein d’un seul et même écrit l’ensemble de ces droits naturels et de surcroit imprescriptible. Dès lors, la rédaction de la DDHC apparait comme la consécration de l’affirmation

leva. Il voyait devant lui les yeux de Mme Derville qui, aux lumires, lui semblrent bien brillants. Pleurerait-elle, par hasard pensa-t-il. Messieurs les jurs, Lhorreur du mpris, que je croyais pouvoir braver au moment de la mort, me fait prendre la parole. Messieurs, je nai point lhonneur dappartenir votre classe, vous voyez en moi un paysan qui sest rvolt contre la bassesse de sa fortune. Je ne vous demande aucune grce, continua Julien en affermissant sa voix. Je ne me fais point illusion, la mort

est indigent, / L'état est épuisé de troupe et d'argent » v30/31. c) une société en crise – L'accablement du peuple v34 à 40 exploité par le gouvernement : – Image pathétique d'une peuple exploité, écrasé (lexique soulignant le poids que le peuple porte : « charge énorme », « ploie », « pressure ») – Métaphore de la sueur v39 – Précision des chiffres qui amplifient le pillage ( v39 « a su/é quatre cent trente milli/ons d'or » : diérèse + nombre occupe presque tout le vers) – Envolée lyrique (v34 à

indigent, / L'état est épuisé de troupe et d'argent » v30/31. c) une société en crise – L'accablement du peuple v34 à 40 exploité par le gouvernement : – Image pathétique d'une peuple exploité, écrasé (lexique soulignant le poids que le peuple porte : « charge énorme », « ploie », « pressure ») – Métaphore de la sueur v39 – Précision des chiffres qui amplifient le pillage ( v39 « a su/é quatre cent trente milli/ons d'or » : diérèse + nombre occupe presque tout le vers) – Envolée lyrique (v34 à

de pouvoir (vers 45-47) ils sont à peine évoquer. La fontaine préfère l’ellipse pour suggérer la compromission, les arrangements entre les gens puissants. ACTE 2 : Entrée en scène de l’âne. Il prend la parole au discours direct pour énoncer une confession opposé à celle du lion. Il n’a pas porté atteinte à la vie mais très maladroitement il précise que sa faute est liée à la religion et justifie ainsi l’hypothèse d’une punition divine. (Vers 16-17). Le « coupable » c’est donc désigné lui-même ACTE

s’embrasent, Ils ne ressentent point les coups qui les écrasent : Mais je vis, mais je sens, mais mon cœur opprimé Demande des secours au Dieu qui l’a formé. Enfants du Tout-Puissant, mais nés dans la misère, Nous étendons les mains vers notre commun père. Le vase, on le sait bien, ne dit point au potier : « Pourquoi suis-je si vil, si faible et si grossier ? » Il n’a point la parole, il n’a point la pensée ; Cette urne en se formant qui tombe fracassée, De la main du potier ne reçut point

l’apparition du rap féminin avec le groupe Funky Four plus One, étant le premier groupe à avoir une femme qui rappait. Ils ont fait leurs débuts en 1979 avec la chanson Rappin and Rocking the House. Si l’on écoute les paroles des chansons de rap en 1970, il est clair qu’elles étaient portées sur la fête, la joie de vivre et l’importance du laisser-aller. Le lien avec la musique funky est éloquent. De plus, les rappeurs se basent sur leur talent en rap, leur flow, pour se vanter lors de leurs rimes. On

suggérer le grondement furieux de la colère divine- que renforcent, à la rime, les termes de « terreur » et de « fureur ». Ainsi mis en apposition à deux reprises, le mot « mal » annonce celui de « peste » -le mot n’apparaît qu’au vers 4- sur lequel porte l’accent tonique (v.4). = périphrase inquiétante, chute ironique avec la nomination entre parenthèses ? Le rejet du verbe principal traduit l’aspect dévastateur de l’épidémie : le lecteur a du mal à reprendre son souffle (n’en faites cependant

l'état totalitaire est partout, il n'y a pas de séparation des pouvoirs, un culte du chef en Staline, de la propagande, pas de liberté syndical et c'est Staline qui gouverne tout tout seul, et on le laisse faire. Celui-ci va entamer une procédure pour opprimer toutes les minorités nationales, la terreur est mise en place et de nombreux Goulag où plus de 60 million de soviétique y sont passés, parcours le territoire russe. Ce n'est qu'après la mort de Staline en 1953 que Khrouchtchev va arriver au pouvoir

de veto sur les décisions finales. B) Le maintient d’une politique de grandeur : La France continue d’agir comme si elle était une grande puissance. Elle continue de se faire en tant que nations des droits de l’homme le porte parole des peuples opprimés en leur apportant son soutient… Elle joue sur l’apparence en continuant à parler comme si elle avait toujours autant d’influence, ce qui lui permet une écoute de la part de la communauté internationale.