Portrait De Gavroche

1835 En quoi ce passage illustre-t-il les contradictions du personnage de Rastignac ? lignes 1-22 : En quoi ce monologue est-il révélateur du caractère du personnage ? 3- HUGO, Les Misérables, 1862 lignes 1 à 21 : Comment Hugo approfondit-il le portrait du "gamin ébauché plus haut" ? 4- CELINE, Voyage au bout de la nuit, 1932 En quoi peut on considérer dans cet extrait Bardamu comme un antihéros ? Quelle image du héros Louis Ferdinand Céline nous donne-t-il dans cet extrait? En quoi Bardamu

mundus, fiat justitia", que le monde périsse pourvu que la justice soit. Quand il est confronté à la miséricorde de Jean Valjean, il est déboussolé, ses notions du bien et du mal, du juste et de l'injuste sont bouleversées, et il n'y survit pas. Portrait psychologique et moral de Javert A. Entre admiration de l'autorité et haine de la rébellion : un justicier trop zélé B. Mépris et stigmatisation du misérable Fils d'une bohémienne, dont le mari est aux galères, il est né en 1780 dans une prison

événements, accablée par la somnolence », « Zazie, de nouveau, dormait ». Le film, qui donne chair au personnage, l’incarne sous les traits d’une petite fille rieuse, gouailleuse, mais moins véhémente et cruelle que le modèle littéraire. C’est donc un portrait bien contradictoire que l’(les) auteur(s) brosse(nt) de l’héroïne : le choix de son nom se fait sous le signe de l’anachronisme et de la fantaisie ; son comportement est exagéré et peu réaliste. 2) Zazie, un type littéraire ou cinématographique

multiplicité des personnages : Certains romanciers ne mettent pas en scène un personnage unique mais plusieurs, dont ils donnent à voir l’évolution et les relations. C’est le cas de V. Hugo dans Les misérables, où on suit tour à tout Jean Valjean, Cosette, Gavroche… De même, dans La Condition humaine, Malraux met en scène un groupe de révolutionnaires chinois et aucun personnage n’est privilégié par le romancier : aucun n’apparaît comme « le héros ». D – Lire pour la beauté du style Enfin, c’est le style qui

spontanément dans les combats - symboles de l'avenir - symboles de la jeunesse révoltée - équipés avec des armes récupérés sur les morts - celui de droite qui de guerre à la bouche : inspiration de V. Hugo pour futur personnage de gavroche dans Misérables ? - celui de gauche : main crispée sur pavé, ongles sales, regard dilaté l'ouvrier [3] l'homme au béret - tablier et pantalon de manufacturier/ouvrier - sorte de cocarde en plume bleu blanc rouge l'artisan[4] l'homme

Garnier|Le vendeur de murmures 10|||| Théophile Gautier|Tout près du lac… 12|||| Robert Gélis|Portrait de l’autre 10|||| Louis Guillaume|Cavalcade 8|Ulysse 8||| Eugène Guillevic|J’ai vu le menuisier 6|Un marteau 6|L’ogre 4|| Nazim Hikmet|Le globe 10|||| Victor Hugo|Demain dès l’aube 12|Les Djinns 50|Océano Nox 30|J’aime l’araignée 30| |La chanson de Gavroche 10|Mes vers fuiraient… 8|Le Pêcheur 12|| |Chanson de grand-père 12|Jeanne au pain sec

copie fidèle du réel, il va emprunter out un matériau à l’épopée qui était un genre poétique en déclin et on récupère ce matériau pour le roman. => Cela apparait bien avec la figure de Gavroche comparé à es figures mythologique alors que ce n’est qu’un petit enfant personnage attachant, et nous place sur un terrain de l’épopée (page 13) ce personnage atteint la puissance poétique du peuple, il chante jusqu’à sa mort, jusqu’à la fin et pour

« tourbillonnement », « mouche » et montre comment s’on ubiquité incessante permet au peuple de s’unir un peu plus. A travers lui, il fait partager le point de vue et les émotions du peuple qui se bat pour sa liberté. La volonté dont fait preuve Gavroche, qui se manifeste par ses actions et ses mouvements incessants, crée une vision positive du peuple, active, soudé et qui se bat pour une noble cause. Dans le texte de Flaubert, lui propose une vision beaucoup plus critique du peuple qui est présenté

répartie et ne recule pas devant la confrontation (« fallait ce qu’il fallait »), mais qui dans le même temps revendique avec fierté son parfum élégant et a recours à une « pochette de soie couleur mauve » pour se protéger des mauvaises odeurs : le portrait est ambigu, et présente une dualité masculin/féminin que le roman exploitera tout au long de l’intrigue. Jeanne Lalochère, quant à elle, est très peu remarquable, et ses quelques interventions se bornent à confier Zazie à Gabriel. La brièveté

manufacturier : béret, pantalon à bretelles, tablier. Bourgeois en redingote, avec cravate, chapeau haut de forme. Etudiant en bicorne de l’Ecole Polytechnique. Journalier en blouse bleue Gamin en gilet et béret. Peut-être celui qui inspira le Gavroche de Victor Hugo ? Or c’est une erreur : la France peinte ici est un royaume gouvernée par Charles X. Il s’agit bien d’une révolution mais c’est celle de 1830. Nous sommes le 29 juillet, lors de l’une de ces « trois glorieuses » journées, vite oubliées