Portrait De Matamore

excès et démesure du personnage, semble n'avoir aucune limite (cf. danger de l'hybris). Démesure baroque. Emphase finale sur le plan syntaxique (4 puis 5 propositions enchâssées) : DJ emporté par son propre discours, artificiel, se met en scène (cf. Matamore). Ostentation baroque. La tirade de Dom Juan est, pour l'auteur, l'occasion de mettre en scène un brillant orateur. De fait, il s'agit d'abord de montrer que son discours est composé à l'aide d'une rhétorique très travaillée. Dom Juan commence

un moment marqué par une période d’instabilité avec des guerres de religions. Les écrivains sont influencés par le style fondé sur la somptuosité qu’adoptent les arts et les églises. * La tonalité de l’acte IV hésite entre les bouffonneries de Matamore et la menace de plus en plus sensible de la mort. La scène 7 appartient au registre tragique : Clindor emprisonné se prépare à mourir. Il s’agit d’un monologue lyrique, d’une scène de lamentations dans laquelle Clindor exprime son désarroi. Face

parisienne. Cette particularité amène bien sûr une large fréquentation mais aussi quelques problèmes de mœurs. Guy de Maupassant, louant une petite maison sur les bords du fleuve, fréquente assidûment les lieux. Dans plusieurs nouvelles, il brosse un portrait très réaliste du lieu et de son atmosphère bruyante et populaire : « On sent là, à pleines narines, toute l'écume du monde, toute la crapulerie distinguée, toute la moisissure de la société parisienne : mélange de calicots, de cabotins, d'infimes

caractères des marionnettes de Punch, mélange d’Arlequin autoritaire et de Polichinelle, et sa femme Judy. La commedia dell’arte inspira les plus grands dramaturges français, que ce soit Pierre Corneille, "l'Illusion comique", le personnage de Matamore, Molière, qui partagea une salle pendant un temps avec les « Comédiens Italiens du Roi » de la Comédie-Italienne, et JF Regnard qui écrivit pour ces comédiens, parmi lesquels figurait le fameux Scaramouche (Tiberio Fiorelli), et Angelo Constantini

Le (portrait du) libertin Valmont est-il le même dans le roman et dans le (...) Dans le roman comme dans le film un contrat prend forme très tôt entre les deux maîtres es libertinage, Mt et Vt et il va structurer les trajectoires des œuvres : le film met même en valeur le point de départ et d’arrivée du trajet de notre duo en situant dans un bel escalier la décision de pacte et l’épreuve que représente pour Vt le sacrifice de Tv. Dans cette composition avec duo, quelle est la représentation du

"valet" et "suivante" dans Amphitryon*), la nourrice, jouée le plus souvent par un homme, qu'on trouve encore dans Le Médecin malgré lui*, la "femme d'intrigue", alias la "maquerelle" des comédies du XVIe siècle (Frosine de L'Avare*), le parasite ou le matamore, cher encore à Corneille* avec L'illusion comique. Se développe, en revanche, une domesticité plus familière aux spectateurs, comme la suivante ou le laquais, signes extérieurs de prestige: Jeannot et Criquet de La Comtesse d'Escarbagnas*, Dorine

les toiles d'araignée que la tête de loup n'allait jamais troubler à cette hauteur. Au-dessus de la cheminée de forme antique, un massacre de cerf dix cors épanouissait son bois, et, le long des murailles grimaçaient sur les toiles rembrunies des portraits enfumés représentant des capitaines cuirassés ayant leur casque à côté d'eux ou tenu par un page, et fixant sur vous des yeux profondément noirs seuls vivants dans leurs figures mortes ; des seigneurs en simarre de velours, la tête posée sur des

les toiles d'araignée que la tête de loup n'allait jamais troubler à cette hauteur. Au-dessus de la cheminée de forme antique, un massacre de cerf dix cors épanouissait son bois, et, le long des murailles grimaçaient sur les toiles rembrunies des portraits enfumés représentant des capitaines cuirassés ayant leur casque à côté d'eux ou tenu par un page, et fixant sur vous des yeux profondément noirs seuls vivants dans leurs figures mortes ; des seigneurs en simarre de velours, la tête posée sur des

les toiles d'araignée que la tête de loup n'allait jamais troubler à cette hauteur. Au−dessus de la cheminée de forme antique, un massacre de cerf dix cors épanouissait son bois, et le long des murailles grimaçaient sur les toiles rembrunies des portraits enfumés représentant des capitaines cuirassés ayant leur casque à côté d'eux ou tenu par un page, et fixant sur vous des yeux profondément noirs seuls vivants dans leurs figures mortes ; des seigneurs en simarre de velours, la tête posée sur des

Etude du genre autobiographique Thématique culturelle 3: La Contre-Réforme et le Baroque Cadre historique et social de la première moitié du XVIIe siècle o Baroque et préciosité: le théâtre baroque Corneille: L’Illusion comique,: “la tirade de Matamore” Corneille: Le Cid: « le dialogue des pères », « La tirade de Don Rodrigue » Etude d’un genre littéraire : le théâtre. La parodie du registre épique Les paroles des personnages (stichomythie, dialogue, tirade), l’intrigue (exposition, nœud, dénouement)