Portrait Du Lion

maître » est une allusion au roi Louis XIV. LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE Cette fable provient d’une ancienne tradition médiévale. La Fontaine ajoutera cependant une trouvaille de son cru le tribunal des animaux. Beaucoup verront dans le Lion un portrait du roi Louis XIV et mettront en parallèle cette fable et les nombreux pamphlets qui circulaient contre celui-ci pendant l’affaire Fouquet (auquel La Fontaine gardera toute son amitié jusqu’à sa mort). On retrouvera dans cette fable une moquerie

(monologue délibératif) ou collective (dialogue). Les essais : Montaigne déduit un idéal d'éducation dans lequel le précepteur a un rôle majeur et où la faculté de juger avec lucidité le monde qui nous entoure serait le but à atteindre. A travers le portrait d'un élève, l'auteur élabore ce qui pour lui est l'idéal humain. Ensuite, à partir d'une véritable rencontre qu'il a fait à Rouen, Montaigne compare le monde européen des Portugais, avec le nouveau monde, celui des indiens. L'auteur établit une comparaison

« de cape et d’épée » (Robin des Bois, Richard Cœur de Lion) pour l’aspect vestimentaire et traditionnel de la Chevalerie en Angleterre au Moyen-Age ; Brave Heart (Ecosse) ; Merlin l’Enchanteur ; les Chevaliers de la Table ronde… ; photographies de sites célèbres comme Stone Enge Filmographie relative à l’Angleterre au Moyen-Age : - Excalibur, de J. Boorman, 1981. - Excalibur, l’épée magique (dessin animé), 1998. - Richard Cœur de Lion (King Richard and the crusaders) de David Butler, 1954

peut être considérée comme l'origine de légendes sur les hommes-léopards, équivalents des loups-garous occidentaux. En Europe, le léopard est décrit pour la première fois dans les bestiaires comme un animal vil issu d'un croisement adultère entre le lion (leo) et un félin légendaire, le pard (en). Cette réputation d'animal cruel et sanguinaire perdurera au moins jusqu'au XVIe siècle. L'image du félin est souvent utilisée dans la publicité (Dulux Valentine par exemple) ou dans les arts, comme la célèbre

Problématique : Comment ce poème met-il en valeur le rôle et la puissance du poète et de la poésie, que Victor Hugo souhaite mettre en œuvre dans son recueil ? Mouvements : v1-6 Un portrait du poèteMvt 2 - Vers 7 à 18 : Les pouvoirs infinis et contrastés de la poésie III) Vers 19-22 :  Bilan  des fonctions du poèteETUDE LINEAIRE (NB dans vos analyses, n'oubliez pas de

humaine mais l’animalité de l’homme. ( Dans les fables, parler c’est dévorer l’autre, le tuer symboliquement. Ex : C’est cette logique de prédation qui est mis en scène dans les animaux malades de la peste (VII,1) où la parole faussement religieuse du lion, instrument d’un abus de pouvoir aboutit à la désignation d’un bouc émissaire : l’âne resté muet. Les messages et critiques des fables Le premier recueil (1668) dévoile une morale traditionnelle fondée sur les fables d’Esope :

Œuvres » chez Duplain à Lyon. 1790 : D'après l'Almanach de Lyon, le portrait de Louise orne le drapeau d'un des vingt-huit bataillons de la Garde nationale française, le XIXe, dit « de la Belle Cordière », celui de la rue Confort (où était sa maison) : « Louise Charly, femme d'un cordier, fit, en 1550, un poème sur la liberté. Sa beauté et sa science ont fourni l'emblème suivant : la Belle Cordière est vêtue simplement, assise sur un lion ; une guirlande de fleurs lui descend de l'épaule gauche au côté

représentant Alexandre et Darius III à la bataille d'Issos, en mettant l'accent sur sa composition, ses motifs et sa signification historique. Ensuite, nous analyserons les monnaies d'Alexandre IV, Pôros, Ptolémée Ier et Séleucos Ier, en examinant les portraits et les symboles qu'elles présentent, ainsi que leur relation avec les règnes et les politiques de ces souverains. Enfin, nous conclurons en soulignant l'importance de ces œuvres d'art pour notre compréhension de l'histoire et de la culture des royaumes

|permet-elle de porter un |La justice sociale dans |Jean de La Fontaine, Fables, VII, 7 (1678) – La | | | |... il n’avait pas voulu en tenir compte |regard critique sur la |les Fables de La Fontaine|Cour du Lion Livre de littérature p.332 | | | |(l.106) |société du XVIIe siècle ?| | |

LE(S) PORTRAIT(S) CHEZ DE GAULLE Le portrait est un passage obligé chez un historien comme chez un mémorialiste : on songe à Retz, à Saint-Simon, à Michelet et à Chateaubriand qui comptent parmi les maîtres à écrire de dG. Les portraits rédigés par dG sont souvent liés au moment raconté dans les Mémoires et vont de l’esquisse au texte long et ambitieux. Des portraits qui n’en sont pas toujours au sens strict. Des portraits faits pour l’Histoire mais qui en creux dessinent la silhouette