Portrait Fille Physique

 A) Un portrait canonique idéalisé - L’apparition à la Cour de Mademoiselle de Chartres suscite l’admiration et la surprise des courtisans, jamais nommés, et de son parent le Vidame de Chartres, d’où un lexique du regard (« yeux, regard ») important dans cette société du paraître. - Point de détails qui particulariseraient la jeune fille et mystère provisoire sur son identité. C’est une beauté canonique, forcément blonde au teint blanc : « La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient

Commentaire composé «Une Vie» de Maupassant 1. Narration et point de vue 2. Le baron 3. Le portrait de Jeanne Cet incipit s'inscrit dans la tradition du roman d'apprentissage : le personnage principal vient d'achever ses études et s'apprête à entrer dans la vie. Les portraits de Jeanne et de son père apportent des précisions à cette exposition romanesque, et permettent au lecteur de découvrir les liens qui unissent les deux personnages. [...] Le baron est plus un type de personnage qu'un

trop lourds, trop disgracieux pour en apprécier toute la beauté et la valeur. I) L'art du portrait des différents membres de la famille : A. Une approche sensuelle d'Henriette Pendant sa description on parle d'elle à la troisième personne : c'est la vision d'un observateur externe. Sa description est faite de telle sorte qu’on a l’impression qu’elle est empreinte d'un désir masculin : "belle fille de dix-huit à vingt ans", "désir subit", "soulèvement des sens". Le lecteur sait que c'est un

omniscient a) le portait de Julien Sorel par Mme de Rênal -focalisation du récit - Julien n’est pas déterminer «ce pouvait être une jeune fille déguisée » (L.13) - « cette pauvre créature » (L.15) : l’adjectif pauvre a une valeur affective (qui exprime de l’affection) morale/physique - « l’esprit un peu romanesque de Mme Rênal » (L.11) l’imagination sentimentale, le sentiment l’emporte sur l’affection

LA FIGURE DE LEOPOLDINE DANS LE LIVRE 4 DES CONTEMPLATIONS. Ce livre IV a pour titre Pauca Meae, ce qui signifie « quelques mots pour ma fille », ce titre est très implicite. Nous nous attendons donc à trouver des poèmes faisant référence a sa défunte fille Léopoldine. Dans Les Contemplations, Hugo ne fait qu'implicitement référence à sa fille. Seuls quelques poèmes lui sont directement adressés, mais elle apparait néanmoins indirectement dans de nombreux poèmes. Nous allons donc voir comment

valeur les 2 personnages. II/ Les personnages 1) Pauvreté du portrait physique Rien sur le narrateur Manon : adj. mélioratif  « si charmante ; fort jeune » 2) Esquisse des portraits moraux Narrateur : innocent = retenue, sagesse, timide Jeune fille : aisance et expérimenté => CONTRASTE entre les 2 personnages 3) L’échange verbal a) Aucun style direct : parole fondues dans le récit b) Politesse ; questionne la jeune fille => échange de parole : « demandai ; répondit ; parlai » =>

Chartres. La Cour de France : Henri II fils de François I° marié à Catherine de Medicis (italienne). Son fils François II. * A la cour, Madame c’est la sœur du Roi Henri II. Il y a Elisabeth de France qu’on appelle aussi Madame mais c’est la fille d’Henri II. Elle se mariera avec Philippe II d’Espagne. * Diane de Poitiers aussi Duchesse de Valentinois est la maîtresse d’Henri II. * Les grandes familles : * Famille des Bourbon Condé : -le prince de Clèves * Famille de Guise :

Objet d’étude : Poésie, formes et significations GTP : Portrait de l’auteur en poète Le crapaud, Tristan Corbière, Les Amours jaunes, 1873 Le symbolisme est un mouvement qui date de la fin du XIXe siècle et qui propose de faire de l’humour et de la dérision. NON LES SYMBOLISTES NE SONT PAS UNE BANDE D’HUMORISTES Ce mouvement est en rupture totale avec le réalisme et le naturalisme. Le crapaud est un sonnet inversé (deux tercets suivis de deux quatrains) en octosyllabes, et est extrait du recueil

destinataire : « mignonne » chez Ronsard qui devient « fillette » chez Queneau. Cette interpellation chez les deux poètes est répétitive. De plus, Queneau reprend l’adjectif ‘mignon’ au vers 17 avec « tes mignons biceps » pour caractériser la jeune fille. On remarque, de plus, la reprise du teint de rose puisque Ronsard, déjà dans son poème au vers 5 évoquait le teint de la rose et que l’on retrouve chez Queneau au vers 15 (« ton teint de rose »). On retrouve également la reprise de « soleil » au

étudié est également présenté. Extrait: L'incipit du roman La Princesse de Clèves comprend un tableau de la cour de France, plus précisément « dans les dernières années du règne de Henri second ». Sur cette trame historique se détachent les portraits des Grands du Royaume, tous plus remarquables les uns que les autres pour leur beauté, leur esprit, leur goût et leur mérite : « Jamais cour n'a eu tant de belles personnes et d'hommes admirablement bien faits ; et il semblait que la nature eût pris