Portrait Harpagon

I - UN PORTRAIT EN MOUVEMENT En romancier réaliste attentif à l’entrée en scène de son héros, Maupassant, à travers le regard du narrateur omniscient du récit, nous offre un portrait très informatif de Georges Duroy: Le portrait physique : s’il faudra attendre quelques lignes encore au-delà de cette première page du roman pour connaître la couleur des yeux et des cheveux de ce «joli garçon », c’est que l’intérêt du romancier portraitiste va d’abord ici à ce qu’on pourrait appeler, à tous

personnages - le portrait du personnage Exemples le portrait statique présente le personnage par ses caractéristiques physiques, comme le ferait un peintre. Le récit est en général suspendu. Ce portrait s’organise suivant différentes modalités : de bas en haut, de haut en bas, du plan général au gros plan… le portrait en action fait exister le personnage à travers son comportement, ses attitudes, ses gestes, ses actions. Le descriptif et le narratif se mêlent le portrait de groupe permet

Commentaire littéraire I. Un portrait sous le signe de l'opposition - Un portrait. Le portrait n'est pas porté sur le physique. C'est surtout un portrait moral : une éthopée (= Figure de pensée qui a pour objet la peinture des mœurs et du caractère d'un personnage). Gnathon est présenté comme un égoïste, cupide : rachèterait sa mort. - Gnathon est présenté comme un glouton répugnant : comportement bestial, prédateur et voleur. Accumulation d’actions rapides et désordonnées. Répétition

siècle et la nouvelle direction du mouvement cubiste au début du 20e siècle. Les célèbres artistes Matisse et Pablo Picasso ont dit de Cézanne qu'il était "le père de nous tous" Œuvres ; La femme à la cafetière Le modèle de ce portrait n'est pas précisément identifié mais il s'agit sans doute d'une des employées du Jas de Bouffan, la maison familiale des Cézanne près d'Aix-en-Provence. Malgré cette proximité, ce n'est pas l'analyse psychologique qui prédomine dans cette Femme à

thématique et formel. Le style de l’artiste se fait plus libre et immédiat, les tons délicats et brillants, les figures souples et légères. Les sujets de ses tableaux ne sont jamais historiques, religieux ou mythologiques et ce ne sont pas non plus des portraits. Dans l’impossibilité d’une chronologie de ses œuvres, on reconnaît deux sources principales, la comédie et les «fêtes galantes», réunions idéales de femmes et de gentilshommes évoquées dans une atmosphère doucement nostalgique avec une peinture

vernis, provoquant ainsi une fraîcheur et un éclat à ses toiles. Un contraste clair-obscur qui attire notre regard vers le visage de cette jeune fille. Le regard et les lèvres brillantes comme mouillées, par cet effet de reflet Vermeer, laisse un portrait extrêmement réaliste comme vivant, faisant de la lumière son principal atout, ne chargeant pas sa toile d' objets qu'il jugait futiles, mélangeant les couleurs claires sur fond sombre ne laisse peu de perspective au sujet à regarder. Ses couleurs

provisoirement, puis le retour de Ludovic Sforza, il fuit à Venise. Dans les années 1500, il est de retour à Florence et participe à des travaux d'hydraulique. Mais la peinture est toujours au centre de son œuvre et c'est en 1503 qu'il entame le Portrait de Monna Lisa, qui deviendra La Joconde, un tableau qui ne le quittera jamais. A cette époque, Léonard est féru de sciences. Il étudie les mathématiques, l'anatomie animale et humaine, ainsi que le vol des oiseaux. Dans toutes ces études, Léonard

 A.CAMUS Le portrait de la mère Un regard rétrospectif … Le portrait de la mère est tout d’abord construit sur un double regard et donc d’une sorte de comparaison continue. Le premier regard, est le regard du présent, comment est sa mère très âgée à l’heure d’aujourd’hui, alors qu’il lui rend visite. Le deuxième est un regard passé, il se souvient de sa mère, de son visage, de ses aspects lorsque il était enfant. Il se souvient à la fois de c’est deux époques

œuvres de cette période sont le plus souvent peintes sur bois, soit un panneau et sont peintes à l’huile, ce qui permet d’obtenir plus de pureté car il n’y à pas de grain et de luminosité. Elles représentent en général des scènes religieuses, des portraits ou encore des peintures mythologique, rare sont les scènes de nu, pour ne pas dire qu’il n’en existe pas. Le style est en perspective géométrique, mais ils restent fidèles au style gothique en rendant les personnages plus réel, plus net et en s’inspirant

I- Surprise du personnage a) Portrait b) Décors II- Apparition/Disparition a) Mystère b) Désenchantement du personnage La dame de Monsoreau est un roman historique écrit par Alexandre Dumas, écrivain français du 19éme siècle. Ce roman publié en 1846 constitue la deuxième partie de la trilogie d’Alexandre Dumas sur les guerres de religion. Le héros du roman romantique d’Alexandre Dumas, Bussy est tombé dans un guet-apens. Blessé il est soigné par une femme qu’il voit pour la première fois