Portrait Physique Elogieux

différencie des autres mères en prenant en main l’éducation de sa fille, nous retrouvons cette idée ligne 6 : "elle avait donné ses soins à l’éducation de sa fille". Elle s'est également attribuer comme devoir de donner à sa fille une beauté à la fois physique et intellectuelle, ce qui renvoie à l'idéal antique (" travailla" et "donner"(L6)). Ensuite, elle apprend à sa fille à se défendre des périls extérieurs, appelés par l’auteur galanterie. Elle lui demande de voir au-delà des apparences : une apparence

en prison. Notre chapitre commence ainsi avec l’emprisonnement des deux amoureux. Dans ce passage, le narrateur raconte la fuite de Nicolette de sa tour pour rejoindre Aucassin et en profite pour dresser un portrait physique de la jeune fille qui se veut, nous le verrons, très élogieux. Lecture et traduction : Aucassin avait été mis en prison, comme vous l’avez entendu, et de son coté Nicolette était dans la chambre. C’était au temps de l’été, au mois de mai, → quand les jours sont chauds

l'incipit. La description de la famille du roi et des personnalités importantes est positive, tant au niveau physique que spirituel. Le Prince de Clèves est le fils du Duc de Nevers. Puis vient la description du Duc de Nemours : lignes 87-88 « Ce qu'il avait de moins admirable c'était d'être l'homme du monde le mieux fait et le plus beau ». Le texte s'attarde sur lui et est toujours élogieux. Le premier discours direct de l'oeuvre apparaît ligne 203 ; il s'agit du Duc de Nemours qui parle de son mariage

évident que face à une possible répression les auteurs ont développé des armes telles que celles que fournissaient les paratextes, même s’il ne s’agit pas de leur fonction première et que ces textes liminaires étaient également l’occasion de brosser le portrait du lecteur idéal. I. Présenter, défendre et justifier son projet Avant d’être un moyen de se défendre contre la censure, les textes liminaires ont la fonction essentielle de présenter les œuvres en tête desquelles elles figurent et de justifier le

l’élaboration d’indice élogieux sur son caractère, et sur son physique , ensuite nous nous intéresserons sur le rapport de force qu’elle entretient avec son amant et enfin nous analyserons la structure de la narration . Partie 1 : le caractère de Lilian A. Le personnage de Lilian est un peu mieux détaillé dans l’extrait. Il permet au lecteur de connaître une scène qui a marqué à tout jamais cette femme. Grâce à cela, le lecteur arrive plus à cerner le personnage. Sur son portrait physique, nous avons

direct envers l’Eglise Axe I : Une scène d’exposition originale Dans cette première partie nous verrons les caractéristiques de cette scène d’exposition en analysant le contexte de la pièce et l’introduction des personnages à travers le discours élogieux de Sganarelle. Sganarelle nous rappelle les faits qui précèdent la pièce à l’aide d’une analepse l14-15 «Reprenons un peu notre discours ». Il replace les évènements dans le contexte l15 à 18 « que Done Elvire…sans le venir chercher ici. ». Nous

nombre d'indications (pour la mise en scène) sur le physique et le caractère des personnages présentés. - Deux personnages nous sont très indirectement présentés dans cette scène: il s'agit manifestement des protagonistes, des héros de la pièce (Camille et Perdican). Ils sont décrits respectivement par ceux qui ont eu la charge de les éduquer et de les instruire: Blazius (pour Perdican) et Pluche (pour Camille). Ils en font des portraits élogieux: Perdican serait une sorte de savant, tandis que Camille

chose: Les lauriers, pour la gloire. mythe n.m. LITT Le mot désigne une tradition, une légende, une histoire qui confère un sens propre aux personnages et aux événements. Permet de répondre aux grandes questions de l'humanité. Une signification physique (Hercule), historique (Napoléon), philosophique (Prométhée), morale (Icare) ou religieuse (Adam et Êve), géographique (l'Amérique pour les Européens). oxymoran ou oxymore n.m. RHET Alliance de deux mots opposés sémantiquement. Effet de surprise

une figure de style consistant en une description réaliste, animée et frappante de la scène dont on veut donner une représentation imagée et comme vécue à l'instant de son expression. Le « songe d'Athalie » de Racine dans la pièce du même nom, le portrait de Clodius fait par Cicéron dans son Pro Milone, ou la description de l'alambic faite par Émile Zola dans son roman L’Assommoir sont des exemples d'hypotyposes. Elle peut prendre la forme d'une énumération de détails concrets à tel point qu'on

pin, l’arbre devient alors homme et les landes s’étendent jusqu'à devenir monde. L’auteur recourt aussi à une véritable personnification de l’arbre qui s’accentue au fur et à mesure des strophes. Il lui donne des attributs humains, physiques d’abord avec « flanc », puis « larmes de résine », expression qui mêle les caractéristiques propres à l’arbre, la résine, et celle de l’homme, les larmes. Plus loin, la résine sera aussi comparée à du « sang qui coule goutte à goutte ». Théophile