Portrait Réaliste

formaient un empâtement de couleurs riches et variées. Je vis alors dans ces yeux, une étincelle... Comme émerveillée, elle se retourna vers moi, le visage béat. Je ne savais pas que… Que je peignais ? Elle s'approcha prudemment et prit un portrait au hasard ; une femme brune, au regard noir perçant, totalement dévêtue. Elle passa lentement ses doigts sur la toile. Elle semblait émerveillée, et s'attardait sur les moindres détails. J'esquissai un sourire. C'était donc ça ? De nouveau,

L'extrait fait parti du 3eme chapitre du livre, donc plutot au debut L I Extrait décrivant le père Terrier observant Grenouille, étant nourrisson. Vous m'avez demandé " En quoi ce portrait fantastique est il particulierement revelateur? " P J'y repondrais en suivant le plan suivant :I) le portrait révélateur II) Le registre fantastique I) 1. Les sens de grenouille 2. les sentiments de Terrier II) 1. Le cadre spatio-temporel 2. l'élément fantastique I) 1. 2 sens : olfactif

disgracieux, cheveux inconvenables, cela ne va pas sans rappeler l’adolescence et tous les problèmes physiques et moraux qui vont avec. L’artiste et photographe Rineke Dijkstra montre ce refoulement qu’éprouvent les adolescents, on observe ceci avec ce portrait photographique d’un lycéen de Liverpool, issu de la série The nugent. Le buste de cet étudiant a été pris de face sur un fond blanc. Le cliché est figé et formel, produisant ainsi une structure triangulaire. Le visage isolé sur la médiane de la

III. Un portrait de martyr L’observation de ce tableau mettra en chaque œil un sentiment de familiarité, tout simplement car Frida Kahlo, extrêmement cultivée le célèbre tableau « La Joconde » du fabuleux artiste de la renaissance Léonard de Vinci. Une posture hautaine, noble et hiératique au « trois-quarts » (la posture la plus convenue dans l’autoportrait) peut nous rappeler les icones du Christ Pantocrator. Un regard fier, distancié et impénétrable est dirigé sur le spectateur, et aucun

2) Réalisations, œuvres Artiste de la renaissance Leonard de Vinci avait pour intérêt l’art, la science, il excellait dans chaque domaine. La Joconde est l’un des tableaux le plus connu de Léonard ainsi que La cène ou La Vierge aux rochers. Le portrait de la Joconde demanda plus de dix ans à Léonard de Vinci pour le réaliser. En sciences, ses centres d’intérêts étaient multiples : la lumière, la mécanique, l’hydraulique, l’architecture, la biologie, l’astronomie…Vers l’âge de 30 ans, Léonard réalise

nous montre une approche différente de l’autoportrait de cette époque. Véronèse choisit de se dépeindre en pieds, avec un chien, animal protecteur. Contrairement généralement à la représentation de cet exercice, qui comme chez Titien consiste en un portrait de ¾, qui ne décent pas au delà des hanches. La facture, laisse transparaitre une précision des détails des vêtements et accessoires, qu’il arbore. Cette touche fine et agile accentue l’expression de ce visage. La délicatesse de la gamme colorée

puissance remarquable. Mais c’est dans le portrait que le Classicisme français s’inscrit le mieux. Philippe de Champaigne (1602-1674) met en scène sa fille avec la supérieure de couvent de Port-Royal, dans son fameux Ex-voto, et réalise un très beau Portrait du cardinal de Richelieu. Charles Le Brun (1619-1690) avec l’Entrée du chancelier Séguier, ou Hyacinthe Rigaud avec le Portrait de Louis XIV sont à l’origine de la diffusion dans toute l’Europe du portrait « à la française ». ~ Hyacinthe Rigaud

George Sand, Histoire de ma vie (1855) "Je ne fus ni laide ni belle dans ma jeunesse ..." Introduction : - portrait en mouvement qui superpose plusieurs moments de sa vie : enfance jusqu'à l'âge adulte. - 1835/1836 : liaison orageuse avec Alfred de Musset. - George Sand a mis une vingtaine d'année à écrire cette oeuvre, elle prend le partis pris de ne pas parler de ces amours. - C'est un être réfléchissant et elle s'intéresse au développement de son esprit. (autobiographie psychologique)

tachetées, des bêtes d'enfer aux reflets verdâtres, d'autres noires avec des cornes, peuplaient ce puits lumineux et chaud, creusé dans l'ombre glacée des lourds feuillages. » Ce passage est un peu comme le portrait de Bazille et Camille de Claude Monet. Maupassant aime beaucoup faire des portraits de manière impressionnistes car il aime beaucoup la nature et surtout la Normandie qui a été pour de nombreux artistes une grande source d’inspiration.

le prouve également, et ce, par la présence de sa silhouette. Un double autoportrait Cette fois-ci, par son contenu, le JE de l’artiste est perceptible par le double autoportrait qu’il a fait dans cette œuvre. Non seulement il y a le portrait des époux Arnolfini, mais c’est également un autoportrait caché de lui-même. Dans ce cas-ci, le miroir pourrait être représenté dans la fonction phatique, puisque le miroir est un effet trompe-l’œil. Mais, celui-ci permet de nous dévoiler une région