Portrait Satirique Fictif

dernières sous forme de portraits présentés sous des noms fictifs, que le public s'amuse à retrouver dans les Caractères, publiée sous anonymat. Le succès est immédiat. En 1693, il est élu à l'Académie française. Introduction : Les caractéres constituent la seule œuvre du célèbre moraliste français : La Bruyère. C'est un vaste ensemble de récits, portraits et remarques découpés en 16 chapitres porte un regard critique sur la société et les hommes qui la composent.  . Les 2 portraits que nous allions étudier

Introduction Jean de La Bruyère est un moraliste de la fin du XVIIème siècle, qui n’a achevé qu’un seul ouvrage, Les Caractères. Malgré ce titre, qu’en auteur classique, il emprunte à un ancien, Théophraste, ses « remarques » ne sont pas toutes des portraits de types humains ; il énumère dans sa Préface les différentes formes qu’il pratique, notamment la « sentence » et le « fait », qu’il emploie dans ce passage. Celui-ci se situe en ouverture du chapitre « De la ville », le 7ème du recueil, consacré

tragédie / l’épique à l’épopée / le comique à la comédie… (genres on parfois disparu ex : épopée / épique  registres sérieux : épique, pathétique, tragique, lyrique, polémique, didactique, épidictique, fantastique  registres plaisants : comiques, satirique 1. Le registre épique  origine : épopée, long récit d’exploits et d’aventures à la gloire de héros hors du commun (L’Illiade, d’Homère).  émotion : étonnement, admiration ou effroi. Il traduit des affrontements grandioses et souvent

licencieux: on lui reprochait des mœurs douteuses. Il était considéré comme un libertin. Ce poète fut très connu en son temps. Son inspiration et son écriture présentent des traits baroques. Il a publié: - le recueil œuvres poétiques en 1626: pièces satiriques + poèmes d'amour - une tragédie Pyrame et This bé en 1621-1622 Ce poète a toujours revendiqué son originalité. Rapide mise au point sur le baroque et sur le libertinage. •le baroque: voir fiche annexe •le courant libertin: le

XVIIIème siècle mais le registre épique est encore présent dans le roman, la poésie…) On distingue les registres sérieux (épique, pathétique, tragique, lyrique, polémique, didactique, épidictique, fantastique) et les registres plaisants (comiques, satirique) 1. Le registre épique Il vient de l’épopée, long récit d’exploits et d’aventures à la gloire de héros hors du commun (L’Illiade, d’Homère). Il cherche à susciter l’étonnement, l’admiration ou l’effroi. Il traduit des affrontements grandioses

XVIIIème siècle mais le registre épique est encore présent dans le roman, la poésie…) On distingue les registres sérieux (épique, pathétique, tragique, lyrique, polémique, didactique, épidictique, fantastique) et les registres plaisants (comiques, satirique) 1. Le registre épique Il vient de l’épopée, long récit d’exploits et d’aventures à la gloire de héros hors du commun (L’Iliade, d’Homère). Il cherche à susciter l’étonnement, l’admiration ou l’effroi. Il traduit des affrontements grandioses et

rhétorique qui consiste à faire le récit d'une action appartenant au passé). Exercice n°1Exercice n°2 2. Comment un personnage se construit-il ? Le personnage romanesque est un être fictif, doté d'une identité, d'une famille, d'un entourage social. Il peut être présenté par le biais de descriptions qui dressent de lui un portrait physique et/ou moral, mais se définit aussi à travers ses paroles qui révèlent tant sa personnalité que sa culture et son milieu social. La manière dont le personnage s'exprime

chapitre De la chaire : " L'orateur fait de si belles images de certains désordres, y fait entrer des circonstances si délicates, met tant d'esprit, de tour, de raffinement dans celui qui pèche, que je n'ai pas de pente à vouloir ressembler à ses portraits, j'ai besoin du moins que quelque apôtre, avec un style plus chrétien, me dégoûte des vices dont l'un m'avait fait une peinture si agréable." ( 9). Aussi, pour que le lecteur ne se méprenne pas sur ses intentions, pour que ses propos ne soient pas

par Zola dans l'Assommoir en retraçant l'itinéraire de Gervaise, une modeste blanchisseuse. Non car Pour les adeptes du NOUVEAU ROMAN tel que Gide, il faut laisser la libre imagination au lecteur de décrire les personnages donc de brosser leur portrait sur le plan morale et physique donc ce qui permet au lecteur de pouvoir s'identifier à un personnage et donc imiter le réel ne peut laisser le lecteur travailler son imagination puisque imiter le réel c'est reprendre un model type d'une classe sociale

Les cinq éditions successives s’enrichissent de nombreux portraits. Ecrivain moraliste inspiré de l’Antiquité, La Bruyère examine les mœurs de son siècle, il dénonce des manies et des vices individuels, mais aussi ceux qui caractérisent telle ou telle catégorie sociale. Il mêle dans ses écrits la maxime, la saynète, la définition mais il excelle surtout dans l’art du portrait. Loin des réflexions théoriques, le portrait développe avec vivacité une situation concrète qui met à nu les défauts