Portrait Therese Raquin

souci, de "tout regarder et de tout dire".    C'est en 1866 que Zola recommandait "la méthode d'observation basée sur l'expérience même". Il prêchait bientôt d'exemple avec Thérèse Raquin (1867). "J'ai voulu, écrivait-il dans la préface de la seconde édition, étudier des tempéraments et non des caractères". Et d'expliquer que Thérèse et Laurent étaient des "brutes humaines", que son but avait été " scientifique avant tout; que chaque chapitre était "l'étude d'un cas curieux de physiologie"; qu'il fallait

relations? On a le portrait de Cecile extremement naïve , innocente ,toute fraiche sortie du couvent elle arrete pas de pense au marriage , au prince charmant etc On apprend que la Marquise de Merteuil demande a son ami Valmont de pervertir la jeune Cecile pour se venger de Gercourt (future mari de cecile et ancient amant de la marquise) Personnage du libertin du roman typique ( Valmont et Merteuil ) Physique+son attitude Point de vue = omniscient et interne Portrait en action Portrait sensual, essentiellement

réels, que l’on retrouve dans la quasi-totalité des romans. Ce réalisme réside en majeure partie dans les descriptions précises du cadre où se déroule l’action. Les premiers chapitres de Thérèse Raquin, écrit par le chef de file du naturalisme, Emile Zola, en sont un très bon exemple ; l’écrivain y dresse le portrait saisissant des boutiques, collés les unes aux autres, où vivaient de nombreux ménages, installés sous les ponts parisien, avant les travaux de réaménagement de la capitale par le baron

l'Assistance publique. Lourd secret qu'elle révéla certainement à Zola après leur mariageN 5,8. Née le 23 mars 1839 à Paris, Alexandrine est la fille d'une petite marchande de dix-sept ans et d'un ouvrier typographe, né à Rouen. L'écrivain consacre un portrait à sa nouvelle conquête, « L'amour sous les toits », dans Le Petit JournalN 6,9. On ne connaît pas l'origine de cette liaison. Peut-être est-ce le fait du hasard, puisque Émile et Alexandrine habitaient tous deux les hauts de la montagne Sainte-GenevièveN

noms » devenir des « êtres vivants, rois, princes, sorciers, valets, gardes-chasse, moines, bohémiens, marchands et soldats […] ». c) Le portrait et l’identité du personnage La représentation du personnage est principalement assurée par son portrait. C’est lui qui détaille les caractéristiques morales et physiques qui le font exister. Quand le portrait se fait par le regard d’un tiers, il caractérise également celui qui voit en nous livrant ses pensées et perceptions. La description du protagoniste

l'Assistance publique ; lourd secret qu'elle révéla certainement à Zola après leur mariage. Née le 23 mars 1839 à Paris, Alexandrine est la fille d'une petite marchande de dix-sept ans et d'un ouvrier typographe, né à Rouen. L'écrivain consacre un portrait à sa nouvelle conquête, « L'amour sous les toits », dans Le Petit Journal. On ne connaît pas l'origine de cette liaison. Peut-être est-ce le fait du hasard, puisque Émile et Alexandrine habitaient tous deux les hauts de la montagne Sainte-Geneviève

qui serait fatale aux tahitiens : « vous servirez sous eux » et (serez) « aussi malheureux qu’eux ». Se tournant ensuite vers « le chef des brigands » Bougainville, il lui reproche avec mépris d’avoir influencé négativement sa société. Il dresse un portrait machiavélique des envahisseurs Européens qui, selon lui, ne visent qu’à détruire leur bonheur. Puis le discours évolue vers l’éloge de la vie sauvage, qui vient compléter une critique acerbe des Européens. Le sage vieillard cite tous les maux causés

une famille élargie ce qui est montré par les termes « de père en fils »,  « les annales de la famille », « des dates éloignées, un Gaspard Folantin » et « ses descendants » est une marque du naturalisme, ce qui explique la réalité, la vérité du portrait et de la vie que l’on se fait de Jean Folantin, chose soutenue par la présence d’un véritable lieu « rue du Four » qui permet également au lecteur de situer ou ce passe l’action dans Paris. De plus, il est très clairement montré dans le texte que

librairie Hachette en 1866. Dès cette année, il mena sa première grande campagne naturaliste dans l'Évènement de Villemessant, en défendant un peintre dont les toiles avaient été refusées au Salon : Édouard Manet. En 1867, il publia un roman, Thérèse Raquin qui, bien qu'il n'en fasse pas partie, annonça les Rougon-Macquart par les sujets abordés (hérédité, folie) mais aussi par les critiques qu'on en fit : dans la presse on traita Zola de « pornographe », d'« égoutier », de partisan de la « littérature

 LE ROLE STRUCTURANT DU PORTRAIT DANS LA SONATE A KREUTZER DE L. N. TOLSTOI Des trois nouvelles de Tolstoi explorant la question obsédante du couple, du désir et de l’impossibilité à le satisfaire, à savoir La Sonate à Kreutzer, Le Diable, et Le Bonheur conjugal1, la première reste sans conteste la plus complexe par sa structure et son développement narratifs. Du reste, le thème seul peut prêter à confusion : quelle obscurité révèle donc la confession d’un homme qui assassina sa femme