Portraits Comiques

deux portraits grotesques des personnages sont en totales opposition ce qui crée un effet comique et ridicule grâce aux exagération " triple menton" l5 et au champs lexical de la grosseur en contrats avec le champs lexical de la maigreur "mains osseuses " l 47 .Dans cette meme scène Blazius fait la présentation de Perdican , ses études , son intelligence , son éducation brillante . Dame pluche fait de meme pour présenter la jeune Camille , sortie du couvent , innocente et sage .Leurs portraits sont

situation dans laquelle elle est : elle est une femme trahie. → Son cœur prend le dessus sur son esprit = elle a refusé de penser que Dom pouvait la trahir. • Champ lexical de la souffrance = elle fait l’aveu de sa faiblesse + de son infériorité = portrait négatif d’elle-même : - elle est dans le blâme : « je reste simple ». - expression du désespoir : elle se dit « sotte » de s’être trompée elle-même. - elle s’est trompée dans son jugement : elle essayait de se persuader que son mari lui était

Arnolphe, un personnage tragique ? Personnage complexe : antipathique, grossier mais souvent très drôle ; a même parfois des accents tragiques. à qui est Arnolphe en réalité ? Esquisse d’un portrait. a) Un personnage antipathique, un « antihéros » · dans ses rapports aux autres : - les femmes : n’éprouve que mépris pour elles (les juge mauvaises, perfides, rusées, d’humeur changeante...) + selon lui, elles ne sont nées que pour obéir à un mari. - les autres en général : se moque, rit

psychologique fine et complexe des personnages, et ce à travers leur discours, démontrant ainsi la virtuosité de molière, qui dépasse le prototype du héros comique en lui attribuant une dimention dramatique? Pour répondre à cette problématique nous étudirons dans un premier axe l'ambivalence du personnage d'alceste. puis selon un second axe le portrait nuancé et riche de Célimène. I/un personnage ambivalent? : ALceste héros tragique(passion absolue et dévoratrice) ou caricature (tempérament exessif

ses comptes avec son maître. Ainsi dans cette scène, Scapin a fait croire à Géronte qu’on le cherche pour le tuer, et l’a persuadé de se cacher dans un sac.  UNE SCENE COMIQUE  Traditionnellement le valet, rôle tenu par Molière lors de la représentation, est porteur du comique, dont le plus immédiatement perceptible ici est le comique de gestes. La didascalie qui précise « Il donne plusieurs coups de bâton sur le sac » nous permet d’imaginer le jeu des deux acteurs, l’enthousiasme du valet et les soubresauts

Le comique dans Gargantua de François Rabelais : En 1534, François de Rabelais écrit Gargantua Pantagruel, une œuvre drôle et satirique parodiant les diverses personnalités de l'époque, qu'elles soient politique ou religieuse. Rabelais les critiques de façon implicite et toujours avec la vision ironique de ses personnages. En quoi Gargantua Pantagruel, relève t-il du comique ? Une comédie scatophile : Rabelais toujours en essayant de faire rire ses lecteurs, leurs propose de suivre

Dorine présente Tartuffe et Orgon de manière comique et très satirique Auteur : Molière (Jean-Baptiste Poquelin) Date : 1664 : première version en trois actes, puis 1669 : dernière version en cinq actes Courant littéraire : Le classicisme (1650-1700) Type de texte : c’est un texte théâtral Genre : c’est du théâtre Registre : comique, car de nombreux procédés proviennent du comique, comme la répétition, l’exagération etc…

genres (le tragique à la tragédie, l’épique à l’épopée, le comique à la comédie…).Mais ils dépassent les frontières de ces genres qui ont parfois disparu (L’épopée disparaît en tant que genre au XVIIIème siècle mais le registre épique est encore présent dans le roman, la poésie…) On distingue les registres sérieux (épique, pathétique, tragique, lyrique, polémique, didactique, épidictique, fantastique) et les registres plaisants (comiques, satirique) 1. Le registre épique Il vient de l’épopée, long

chef de famille et sa mère sont fous de lui; les autres membres de la famille le méprisent et le détestent. Nous pouvons donc nous interroger quant à la véritable intention de ce texte. Dans un premier temps nous étudierons les caractéristiques comiques de cette fin de scène. Seulement nous serons amenés à voir que cette scène annonce une pièce visionnaire particulièrement satirique. Enfin nous nous demanderons si cette scène ne serait pas une farce tragique. Chez Molière, nous savons, que

étudiés sont traversés par la dimension comique d’une scène où, comme bien souvent dans Le Tartuffe, plusieurs procédés comiques convergent. Les répétitions, les gestes, l’ironie, l’impuissance des personnages sont autant de moyens de faire rire. Le comique est précieux dans cette scène : il permet la dénonciation de ce qu’il y a de perverti et d’absurde dans l’attitude d’Orgon, sans que la scène devienne jamais pénible. C’est Dorine qui introduit le comique et la résistance à la volonté d’Orgon