Portraits Péjoratif

rabaissement de la femme) 4. Analyse Axe 1 : la présentation et la caractérisation des personnages Scène d’expostion se caractérise par la présentation des personnages. Ici, manière de penser d’Arnolphe et de Chrysalde, portrait d’Agnès vu par Arnolphe Le portrait d’Arnolphe : * - Tirade d’Arnolphe (vers 21-45) manière de penser d’Arnolphe : il se moque des maris trompés A travers la tirade, le lecteur le comprend par les nombreux sous-entendus mais Arnolphe le dit clairement à la

I/ L'art du Portrait a) Portrait satirique d'un personnage égocentrique Omniprésence du personnage : le pronom "il" ouvre la plupart des phrases ; On déduit par son comportement qu'il ne voit que lui. Il ne se préoccupe que de lui-même : "ne connaît de maux que les siens ...n'appréhende que la sienne (de mort)". La succession de "que" est significative de son égocentrisme. Il utilise le superlatif pour désigner ses biens: " meilleur chambre, meilleur lit "

utilise le Carpe Diem pour inciter la femme à profiter de la vie seulement à travers tout ce poème le poète insinue aussi une déclaration d’amour. Malgré le coté péjoratif du portrait de la vieillesse lorsqu’on arrive à la fin on se dit que ce poème est finalement positif grâce à cette insinuation. Au contraire le texte de Louise Labé est péjoratif du début à la fin, elle rabaisse les femmes en insinuant qu’elles sont soumises et rejette un sentiment dépriment et pathétique au lecteur. Le poème le plus

l’ironie. [présentation plus spécifique de la chanson : son thème et son procédé majeur] Afin de l’analyser, nous commencerons par décrire la composition du texte. Ensuite nous en délimiterons les grandes articulations. Enfin, nous étudierons le portrait du poète dans cette chanson. [annonce du plan de travail] 2°) Description de la composition de la chanson : « La Mauvaise réputation » est une chanson de forme régulière. Composé de 48 vers répartis en quatre couplets (chaque couplet est composé

savoir faire dans quelque domaine que se soit, c’est aussi un synonyme de technique, une oeuvre d’art est une chose de matérielle et non quelconque. L’imitation est le fait de prendre une oeuvre pour modèle, au XIXème siècle le terme prend un sens péjoratif, idée d’absence d’originalité voir même de fraude. L’auteur se pose plusieurs questions : l’homme peut-il imiter la nature ? En imitant la nature, l’homme est-il en quête d’une certaine satisfaction ? Hegel affirme sa thèse : l’art ne peut imiter

Candide (larmes, indignation, voc péjoratif, excamations, empathie « mon ami », « son négre »: l'adj. Possessif révèle qu'il épouse sa cause, comme Voltaire.)-découverte progressive de cette « abomination » par Candide : c'est la vue du nègre qui déclanche l'émotion et donc l'indignation, le conte permet une réprésentation physique , concrète de l'eclavage. Registre satirique: Vanderdendur (vendeur à la dent dure), comique de l'allitération de la dentale D: nom- portrait , caricature; ironie: « le fameux

trompés, et a toujours montré une grande méfiance à l’égard du mariage. 1. Le texte met en place l’intrigue de la pièce 2. On distingue le portait d’Agnès et d’Arnolphe Agnès Un premier portrait d’Agnès se dégage : Agnès sera tout sauf une « précieuse », qualifiée de « femme habile », terme ici péjoratif, car il sous-entend que son instruction la rendra habile à tromper. Arnolphe se fonde sur une vision péjorative de la femme. Pour lui, elles sont toutes à l’image d’Ève, des pécheresses. Cette

est passif et subit l’appétit →personnalisation : « appétit » sujet, « les » COD * Le terme « souillé » : très péjoratif * « sang menstruel » * Condamnation de l’acte sexuel * Condamnation de la sexualité par plaisir, spontané * « engendreront » (l.16) : futur simple * Valeur définitive, certitude CONCLUSION : dans ce texte, nous avons un portrait de ≠monstres mais des monstres imaginaires, surnaturels. L’argumentation de l’auteur est très fragile car dans son résonnement

personnages, leurs répliques essentiellement, portent à eux-seuls le message de la pièce. Ils sont donc d'une extrême importance. C'est d'ailleurs de par ces dires que nous sont données leurs descriptions physiques et morales; le chœur livrant le portrait des personnages en présence (maître Blavius et dame Pluche), maître Blavius dressant celui du fils du seigneur, et dame Pluche présentant Camille, la nièce du maître. Ainsi, maître Blazius apparaît tel un bon-vivant de par sa description physique

fait découvrir des scènes crues ainsi que des personnages particulièrement détestés par le héros, Ferdinand Bardamu. Nous allons nous demander comment l'auteur arrive à nous donner une image concrète des personnages souvent sans avoir recours à des portraits détaillés. Férdinand Bardamu est le héros de ce roman écrit à la première personne du singulier. C'est-à-travers ce personnage que Céline nous montre sa façon de penser. Tout au long du roman, aucune description physique ne lui est accordée. En