Portraits Péjoratif

Hommes et femmes y affluent » Plaisir et divertissements (Condamnation des jeux de hasard et d’argent tel que les dés, au profit des jeux d’intelligence, des variantes des échecs.) III. Un texte polémique 1. Qui montre les termes un vocabulaire très péjoratif pour parler de ces personnes ; « qui ronflent à leur place », « troupe de prêtres » --> connotation péjorative, un troupeau. « Valetaille » --> dévalorisation des valets et la métaphore Le terme de «lie de faquins » appuie cette tonalité péjorative

chapitre 4). Tout au long du roman elle exprimera un dégoût vis à vis du peuple. Dans la partie II, au chapitre 3, elle consulte "les étrangers", c'est-à-dire les habitants de Yonville, pour choisir le prénom du bébé. Le nom "étranger" est ici péjoratif et met volontairement une distance entre Emma et les autres. Plus loin, alors qu'elle se trouve chez Madame Rolet, celle-ci l'ennuie et l'héroïne est ravie de s'être "débarrassée de la nourrice". Emma ne veut jamais être mêlée au peuple, à ces "gens-là

2. Et dans un deuxième temps la critique qu'il fait : a. Sur la société (monarchie absolue) et ses moeurs. Voltaire est un esprit des Lumières et veut donc une monarchie constitutionnelle. b. Sur la religion par son parallèle (péjoratif) sur un texte sacré . ➥Voltaire veut faire en sorte que le peuple cesse de se faire manipuler et qu'il réagisse contre la société et la religion. « C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe » Chapitre 19 Candide est en voyage

Lorenzaccio, il a en outre plusieurs rôles, philosophe, intellectuel, lâche, débauché, ami du duc... Nous retrouvons ainsi le thème du double, nous avons deux hommes en un, Lorenzo est pur tandis que Lorenzaccio est débauché. plan de l'étude : I - Portrait de Lorenzo 1 - De multiples dénominations 2 - Ce que l'on dit de lui 3 - Comment il apparait et se présente II - Le jeu des intrigues 1 - Les liens familiaux 2 - Le pape 3 - Les républicains III - Un élément tragique : l'épée 1 - Les soupçons

réaliste, par la précision spatio-temporelle et par la qualité de la description, Flaubert fait preuve de maitrise parfaite du style, passant la fiction pour vraisemblance. Alternant entre partie : narratives, descriptives et dialogues, l’auteur crée le portrait du ‘nouveau’ de manière originale. Par le biais de sa casquette, cet objet étrange, on remarque que l’auteur s’attarde sur la description. Quel est l’intérêt de cette description ? Quel est le regard que porte Flaubert sur son personnage, le nouvel

aux portraits saisissants que Thérèse fait des invités bourgeois. b) Des invités qui lui inspirent le mépris En effet, la description des invités est saisissante et pour le moins lapidaire. L’auteur nous donne le sentiment que Thérèse est la seule « vivante » parmi le groupe de bourgeois qu’elle déshumanise notamment à la ligne 16: «  Thérèse ne trouvait pas un homme, pas un être vivant parmi ces créatures grotesques et sinistres ». Auparavant, Thérèse dresse un portrait aussi péjoratif que

selon sa propre volonté, qu’à titre posthume. Dans l’extrait présenté, il fait le portrait du magistrat Simon, qu’il côtoie à Annecy alors qu’il a 18 ans, qu’il ne travaille pas et qu’il cherche à se faire une place au sein de la société. Au premier abord, il est difficile de qualifier ce portrait de péjoratif ou mélioratif. Par conséquent, nous nous interrogeons sur la façon qu’utilise Rousseau de dresser un portrait contrasté du magistrat Simon. Tout d’abord, nous verrons en quoi ce texte est une

abandonné par la suite. C'est donc, dans cet incipit un « truc » d'écriture. Tendance tout de même a identification au personnage lors de cet incipit. Le personnage est désigné comme un nouveau (l'italique insiste sur le terme) Paragraphe portrait Péjoratif Transition : Ainsi, lors de cet incipit l’auteur nous fournis un certains nombres d’information mais qui restent cependant assez vagues, au contraire il semble s’attarder sur la casquette du nouveau, nous tenterons de voir dans quel but dans

tyrannique. Le narrateur en fait un portrait extrêmement péjoratif : « de la race de ces sauvages colosses », « l'ogresse »... Notamment en utilisant des procédés stylistiques récurrents tels que l'énumération : « grande, blonde, rouge, charnue, carrée, énorme et agile » qui permet au lecteur de s'imaginer ce personnage grossier. C'est une femme répugnante, qui fait peur : « c'est un charretier », « c'est le bourreau ». On retrouve également des éléments qui rendent ce portrait comique : hyperboles (« Elle

Situation de l’extrait : Balzac fait le portrait physique et moral de Madame Grandet, mère d’Eugénie, description précise. Problématique : En quoi peut-on dire que Balzac fait de Madame Grandet un portrait contrasté et surprenant ? I.UN PHYSIQUE DISGRACIEUX 1.Une grande laideur ·Imparfait de description, champ lexical du corps -> Balzac fait une description physique ·Accumulation : « sèche, maigre, gauche, lente » -> Balzac veut renforcer le portrait péjoratif de Madame Grandet. ·Répétition anaphorique :