Portraits Péjoratif

mais pas des moindre qui fait ressortir le comique de la pièce est l’enseignement. En effet le professeur à une conception des connaissances très singulière. Il a notamment une conception particulière des langues car, celui-ci véhicule un aspect péjoratif de la langue en affirmant que tous les langages sont identique et que nous pouvons les différencier seulement grâce au son et à l’intonation. De plus il affirme que grâce à la science nous pouvons apprendre à « prononcer » toutes les langues en quelques

catholiques intégraux », seront appelés « intégristes » par le courant progressiste qui se verra, lui, désigné sous le vocable de « moderniste » dans des appellations qu'aucun des deux courants ne revendique ni n'assume. D'usage souvent polémique et péjoratif, le terme intégriste se réfère généralement à des courants traditionalistes qui affirment représenter l'orthodoxie catholique et la Tradition « authentique » dans un cadre sociologique qui, de la résistance générale à la société moderne, a glissé

pers du sing), DJ parle de lui-même, singularité par rapport aux mœurs de son temps. 2) Une inversion des valeurs -Description péjorative de la fidélité : pas honorable, associée à l’immobilité et à la mort (« être mort dès sa jeunesse), terme péjoratif (« la constance n’est bonne que pour les ridicules »). -Présentation positive de l’inconstance : termes mélioratifs, inconstance juste (« les juste prétentions »). Maitrise du langage pour défendre sa position de libertin en inversant les valeurs

impression assez malsaine, par le vocabulaire péjoratif employé : «s’affaissent» «une mare» ; «sachet visqueux et verdâtre» ; «dentelle noirâtre». Mais cette impression plutôt péjorative qui semble se dégager du texte est compensée par l’emploi d’un vocabulaire noble : «firmament de nacre» ; «les cieux» ; «perle» ; «gosier de nacre» : «s’orner». Ainsi, Ponge déconcerte le lecteur en employant tour à tour un vocabulaire neutre, mélioratif et péjoratif. L’expression «on trouve tout un monde

afin que les matières fécales ne soient pas seulement humaines mais aussi animales voir végétale. Je veux que l'on passe un moment exquis qui reste à jamais gravé dans nos mémoires comme le plus grand rassemblement de chieurs(au sens propre et non péjoratif) que le monde n'a jamais connu. Sur ce bonne merde à tous et j'espère un jour pouvoir vous chier dessus.

 »  et  quatre  lignes).  La  duchesse  insiste  à  la  fois  sur  les   compromissions  de  l’époque  (ça  pouvait  encore  aller  »  (l  .12))  et  garde  un  ton   péjoratif  pour  désigner  l’Empereur  (non  pas  Napoléon  mais  Buonaparte,  qui  est   aussi  le  terme  méprisant  adopté  par  Chateaubriand  dans  un  violent  pamphlet   contre

faites pour lui ? » exprime une critique de l'obstination française. La concession « il est vrai que » qui nous informe sur le fait que les français ont quand même fait quelques lois tout seuls, exprime un jugement nuancé et informé. L'adjectif péjoratif « pernicieuse » montre un problème plus grave que ce qu'il n'y paraît. Enfin, la gradation entre les deux participes passés « ruiner » et « tué » rend compte de conséquences tragiques. Conclusion : Montesquieu, à travers le personnage du Persan

I. Une conception pessimiste de l’Homme   A. L’Homme vu par Voltaire   Un lexique péjoratif   Dans ce texte, Voltaire a une conception très péjorative de l’Homme. En effet, on peut lire : - « ...faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers... » (l.2-3) - « ...les erreurs attachées à notre nature... » (l.5) - « ...nos débiles corps... » (l.8) - « ...entre tous nos langages insuffisants, entre tous nos usages ridicules, entre toutes nos lois imparfaites

la fulgurante ascension de Nana, après l'auteur exprime la majesté de Nana grâce à la comparaison méliorative « avec l'émotion d'un peuple saluant sa souveraine » (ligne 7) puis le goût artificiel de Nana est exprimé par un adverbe de modalité péjoratif « d’une originalité un peu voulue » (ligne 24). Enfin Zola nous montre la corruption du personnage et du lieu avec la comparaison péjorative « des hauts trottoirs » (ligne 2) qui allie Nana à la dignité et l’indécence, il montre aussi la corruption

époque. Cepdant au moment ou la piece se déroule, l’Espagne onnit égaelemtn un déclin militaire. Il ne s’agit plusd d’une armée brilante mais ici, elle est constituée d’un corrompu ne pensant qu’à voler les civils. Il y a prsénce d’un champ lexical péjoratif montrant l’aspect négatif de l’armée « pieds nus » v1119 « gueux »V1119 « loque »v1120 « soldat doputeux »v1123 « voleur »v1125. La question rhétorique au vers 1118 révèle bien que le przestige militaire a disparu puisque l’Espagne est appauvrie