Positivisme Et Determinisme

doctrines positivistes Comme pour le droit naturel il existe différentes approches du droit positif. ( Le positivisme juridique Pour les partisans d’une telle conception l’Etat est la seule source du droit positif qui est lui-même le seul droit. Plusieurs grands juristes peuvent être attachés à un tel courant. Au XIX quelques grands juristes allemands peuvent être rattachés au positivisme juridique : - IHERING (1818-1892) en 1872 il publie un important ouvrage qui va exercer une influence

industrielles engendre une injustice sociale croissante. Il faut remettre de l’ordre dans la société. Il est amené à rallier Napoléon 3 (coup d’Etat 1851) et s’accompagne de réforme intellectuelle qui devra conduire au positivisme. 1. Positivisme, classification des sciences a) Le positivisme =sa doctrine qui vise à étudier les conditions de l’évolution des connaissances humaines. Dans sa doctrine, il rejette les connaissances appropriées=connaissances qui ne reposent sur aucune observation sérieuse

par des lois divines ou mythologiques. Les criminologues se sont engagées dans cette voie positiviste. Jusqu’à présent, le postulat de base est le libre-arbitre. Pour les positivistes, c’est radicalement faux, le postulat de base selon eux est le déterminisme. Notre liberté est une idée illusoire, on ne se rend pas compte que nos choix sont déterminés d’avance. Nous sommes déterminés par un certain nombre de facteurs anthropologiques et sociologiques. Compte tenu de ces facteurs, certains individus

contradictoires sans devenir fou - jouer de la godille entre les contraires -assumer les situations dites paradoxales. Je crois que la science de la complexité des praticiens en entreprise (et je retourne là au sens ancien du mot "science" d'avant le positivisme, de chose que le corps propre sait, avec laquelle on vit) peut se comprendre si on se place dans un modèle de pensée dialectique et herméneutique —mais pas n'importe quelle herméneutique, pas celle qui se donne comme mission de trouver le sens caché

comprendre le phénomène criminel. Pour la 1ère fois, on observe une étude scientifique de l’homme criminel. 2 – Cette école est positiviste et par la même elle est déterministe, elle se rattache au positivisme d’Auguste Comte, elle rejète le libre arbitre, elle rejète Dieu mais le remplace par un déterminisme très fort. L’homme ici n’est pas libre, la liberté de l’homme est rejetée, il n’y a pas de responsabilité morale. L’infraction est le produit fatal d’un double série de causes : il y a des causes

Parnassiens ont une authentique doctrine : - Le poète répudie le « moi ». Cessant de s'épancher sur sa vie privée, il met son érudition au service de son oeuvre. Il cultive une certaine impersonnalité, qui n'est pas de l'impassibilité. Influencé par le positivisme, le parnassien recherche l'union de l'Art et de la Science, il a le culte de la forme. - Il considère que l'art est un luxe intellectuel réservé à une seule élite, et qu'il est indépendant de la vérité, de la morale et de l'utilité : pour le poète

Manent). La liberté consiste d'abord à se construire soi-même, dépasser les déterminismes naturels. La notion de progrès s'appuie sur l'idée que l'homme est perfectible, qui est un concept de la nature humaine particulière. 19e siècle: développement de la croyance au progrès: émergence de la civilisation industrielle liée aux avancées techniques et scientifiques. Le point de vue philosophique en résultant, c'est le positivisme, par A.Comte. Selon lui, la science = fondement de toute connaissance, et

doit s’accompagner d’une réforme individuelle qui va permettre la consolidation d’un nouvel ordre social qui sera profitable pour la France. Cette réforme intellectuelle est : le POSITIVISME. Le positivisme et la classification des sciences en fonction du progrès de la connaissance A- Le positivisme : Le positivisme c’est la doctrine d’Auguste Comte, théorie qui s’attache à étudier les conditions de l’évolution de la connaissance lui-même. Il faut rejeter toutes les connaissances qui ne reposent

l’Allemagne (1810), Germaine de Staël essaie de définir le romantisme, tout en reprenant certaines idées du siècle des Lumières comme celle de la perfectibilité de l’esprit humain. De la littérature nie l’universalisme classique et proclame le déterminisme dans l’esthétique, la littérature étant influencée par l’époque, la société et le climat. Mme de Staël se révèle ainsi un précurseur des idées déterministes de Taine. Elle établit des oppositions entre les antiques et les modernes, entre les littératures

plusieurs écoles sociologiques : « le social s'explique par le social », « l'individu s'explique par la nature ». II – Quelques auteurs classiques de la sociologie A – Auguste COMTE Personnage de la première moitié du 19ème. Tenant du courant positivisme, il conçoit la sociologie sur le modèle de la physique. Comme un physicien il veut établir des lois qui reflètent la société. Par exemple, une des grandes lois de COMTE est la loi des trois états. Cette dernière va lier un rapport au savoir, à un