Positivisme Juridique

doctrine qui atteste des efforts de l'artiste pour s'identifier au travail du biologiste : l'artiste réalise sur la matière sociale ce que le biologiste fait sur la matière animale. C'est que l'art de tout le XIXème siècle a comme épine dorsale le positivisme d'Auguste Comte : un désir d'établir le progrès de l'humanité en remplaçant la religion en édifiant l'Etat moderne. Il s'agit dès lors pour un Sainte-Beuve en 1863 d'affranchir l'humanité de ses illusions. Le terme dès lors sera récupéré par Zola

science et dans le progrès que, dans l’esprit des hommes de l’époque, elle ne peut qu’apporter à l’humanité. La science est en elle même une valeur. C’est ce que l’on appelle le positivisme, fondé et théorisé par le philosophe Auguste Comte (1798-1857), et envisagé avec un prolongement social, que l’on appelle le positivisme social (qui est en fait le début de la sociologie). On peut dire que le 19ème siècle constitue, de ce point de vue, un prolongement exacerbé, dévoyé, en quelque sorte, du rationalisme

ressent le besoin d’une religion garante de l’organisation sociale pour rallier les volontés individuelles et substituer le règne de l’humanité à celui de Dieu. Il crée ainsi la religion de l’humanité, une nouvelle religion sans Dieu et développe le positivisme (années 1840) qui se base sur l’expérience. Il a écrit différents ouvrages : « Séparations générales entre opinions et désirs » (1819), « Sommaire appréciation de l’ensemble du passé moderne », « Cours de philosophie positive », « Discours sur l’esprit

comprenons la vie psychique », ainsi l'histoire, la psychologie, la sociologie et la philosophie du XIX ème Siècle tentent de comprendre le réel au travers de méthodologies d'appréhension intellectuelle de la réalité sociale de l'époque. Loin du positivisme français qui souhaite rapprocher les sciences sociales des sciences de la nature, Max Weber est persuadé que la sociologie se fonde sur « les sciences de la culture ». Il entreprend d'observer les actions des individus pour comprendre la société

II.Une littérature sous influence A) Les progrès scientifique influencent de plus en plus les écrivains naturalistes : la littérature s’inspire des progrès de la science. Les écrivains sont influencés par le positivisme d’Auguste Comte (1798-1857) qui témoigne d’une victoire de l’esprit rationnel et scientifique. Le scientisme revendique aussi sa foi absolue dans la science comme seule capable d’élucider les mystères du monde . La science comme modèle : le roman

Durkheim et l’analyse des sociétés modernes Il s’auto définit comme sociologue et cherche à imposer la sociologie comme une nouvelle matière. Contrairement à Tocqueville, il considère que le champ scientifique est très vaste t qu’une spécialisation du travail scientifique est nécessaire. Par conséquent il faut identifier une catégorie de phénomènes spécifiques que va étudier la sociologie, pour lui ce sont les faits sociaux. Le progrès dans un domaine de connaissance vient pour lui de la spécialisation

8.10.09 LA FRANCE POSITIVISTE (1850-1900) A. Scientisme et Positivisme A.2. Naissance de la France Contemporaine B. Banques et sociétés B.1. De 1860-1890

de connaissance scientifique occidental est un mode de connaissance qui surgit au 15e et 16e siècles. Ce mode de connaissance se base sur des faits vérifiables et emploie la méthode expérimentale. C’est ce mode de connaissance qui a commencé le positivisme d’Auguste Comte. Ceci a comme produit la laïcisation, soit la séparation de l’église et de l’état. Ce mode de connaissance insiste aussi qu’il ne faut confondre la connaissance divine et la connaissance humaine et que le mélange des deux cause de

l’industrialisation, le machinisme, et avec l’avancée des sciences naturelles telles que la biologie.La question des fonctions de chacun va alors se poser. Ainsi va apparaître le fonctionnalisme (dont Durkheim est le principal fondateur), transformation du positivisme qui a pour père fondateur Auguste Comte. Le courant fonctionnaliste tente de comprendre et d’expliquer   la société qui constitue, pour Durkheim, la base de son étude. Du point de vue des grands courants (biologique, psychologique, histoire, philosophie

autour de l’usgf (Union des Sociétés Gymniques de France), il y a aussi la ligue française de l’enseignement et la ligue des patriotes. En 1873 l’usgf compte 20 sociétés de gymnastique pour plus de 900 en 1891. 3 III. Gymnastique, hygiène et positivisme : Il y a une montée du souci hygiénique (avec les découvertes de Louis Pasteur et le tout à l’égout). Il y a des statistiques sur l’état physique et celles-ci dont état de résultats alarmants. 1 1. Le contexte positiviste : Les idées