Positivisme Scientifique

de l’état et correspond aux mœurs 1. positivisme étatique  droit qui n’a d’autre justification que d’être engendré par l’état. Montaigne dit : « nos lois se maintiennent non parce qu’elles sont juste, mais parce qu’elles sont les lois ». D’autres auteurs s’intéressent à la question : Hobbes ; Machiavel ; Hegel « Tout ce qui est étatique est juridique et tout ce qui est juridique est étatique » ; Kelsen et sa pyramide des normes. 2. positivisme sociologique Le droit positif se justifie

connaissances et les moyens d’y parvenir. Une recherche sur l’entreprise est scientifique si elle s’appuie sur ces trois pôles (De Bruyne, 1974) Paradigmes et méthodes qualitatives La notion de paradigme est assez complexe car il n’y a pas d’uniformité selon les auteurs. Un paradigme c’est l’ensemble des présupposés sur le monde social ainsi que sur le mode d’analyse de celui-ci. Les deux paradigmes les plus connus sont le positivisme (élaboration de lois et essai de falsification) et le constructivisme

la Russie Tzariste, certains pouvaient être en train de tricoter un pull-over pendant que se déroulaient ces évènements, indépendamment du fait que ceux-ci était extraordinaires du point de vue historique[2] Ne nous trouvons-nous pas ici, nous, scientifiques sociaux, afin d’aller au-delà de l’apparence et du quotidien des choses, essayant de voir ce qui se passe dans les profondeurs de notre discipline doublement historique? La crise de l’histoire, en tant que discipline, fait partie d’une crise

celui qui n’est pas normal. Il y a des exemples extrêmement différents de folie tel que la folie de Nietzsche, la folie de Van Gogh, d’Hitler ou de Staline. La folie à plusieurs sens différents. Le concept de folie n’est pas un concept scientifique ni psychiatrique. Ce n’est ni un terme qui enveloppe tous les troubles mentaux, ni une maladie mentale spécifique. La folie, elle aussi n’a pas de définition précise et arrêtée au même titre que le concept de normalité. On peut dire que

applique une méthode strictement scientifique qui se rapproche de celle mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir

Ex : « Le Horla », Maupassant Développement  Le fantastique est né avant le XIXe siècle, « époque sans croyances », selon Charles Nodier, où triomphe le positivisme scientifique, époque où tout s'explique par la raison : depuis le mouvement des atomes jusqu'aux mouvements des astres, en passant par les mouvements du cœur et de l'esprit. Le fantastique repose sur l'intrusion du surnaturel dans le

donc bénéfiques pour l'homme puisqu'elles le libèrent de l'ignorance, de l'illusion et des préjugés. Le savoir fait évoluer l'Humanité vers un stade supérieur: c'est le progrès. - Auguste Comte, fondateur du positivisme scientifique, affirme que l'esprit scientifique va, par le progrès de l'esprit humain (appelée loi des trois états), remplacer les croyances théologiques ou les explications métaphysiques et ainsi mettre fin à « l'anarchie mentale » que provoquait la question du Pourquoi

d’une manière générale organise la société. La question est de savoir de quoi et ce qu’est la politique ? Ce qui n’est pas simple. Pour trouver une cohérence en politique, on cherche une explication causale (les effets) et légale (les lois scientifiques d’un phénomène). Hopkins : la science permet de faire des prédictions en analysant l’Etat d’une situation ( comment sera la suivante. Ceci n’est pas évident en politique : historiquement ce n’est pas cyclique. Reproductions des situations

Dissertation de philosophie « La science est-elle par nature inachevable ? » La question de l'avenir scientifique est toujours mise au premier plan dans nos sociétés modernes. On envisage des projets, définissant des recherches, et aboutissant à une évolution du domaine de la connaissance. L'explication des phénomènes, ce que nous entendrons par science (soumise alors aux lois de la vérification par le domaine expérimental qui se veut objectif), est donc une quête qui peut sembler perpétuelle

volonté est de rendre intelligible les dynamiques mais également les structures internes de cette réalité. (Réflexion du point de vue épistémologique de la compréhension de la sociologie). La sociologie revendique dès son origine, son souci d’être scientifique. Durkheim : conception de rendre les faits sociaux comme des choses, a alimenté la sociologie. Jules Monnerot (40’) : Les faits sociaux ne sont pas des choses  critique contre la conception Durkheimienne. Durkheim va postuler l’autonomie