Possessif

parole » pourtant elle n'a pas hésité à demander sa tête. Or, par la suite elle regrette son choix et rejette la faute sur sa mère et sur Hérode. Elle se dédouane violament du crime commis en utilisant le possessif « vos soldats », « mon jardin » et se désigne donc comme une victime. Ce possessif montre également la cruauté déjà évoqué avec l'utilisation de son charme, et elle se retrouve également dans le rejet de sa faute sur sa mère sur qui elle rejette ainsi sa tristesse. Puis, après ses interrogations

sur : le type de texte, le registre, le genre. Définir la situation d’énonciation : Qui parle à qui ? Comment ? Quand ? Pourquoi ? Où ? Pour répondre à ces questions, il faut : Observer les pronoms personnels, les pronoms possessifs, les adjectifs possessifs, les pronoms démonstratifs, les adjectifs démonstratifs. Observer le mode employé : indicatif : mode de la réalité, du vécu ; impératif : mode de l'ordre, du conseil, de la prière ; subjonctif : mode des sentiments ; conditionnel

Cette question a été codée selon six dimensions décomposées: nombre de personnes citées, nombre d'expressions ou de mots abstraits, nature des personnes ou des catégories de personnes citées, nature des expressions ou des mots abstraits, usage de possessifs et conceptions de la famille à partir de l'ensemble de la réponse. A titre d'exemple, des réponses comme « le père, la mère et les enfants », ou « ma femme et mes enfants » ont été codées : famille nucléaire actuelle; « mes parents » ou « les parents

comme un leitmotive musical, ce qui fait quasiment du poème une chanson au vocabulaire simple voire banal. La liberté dont il s’agit n’est donc pas vraiment décrite, elle est mise en œuvre par le poème lui-même. On trouve une multitude d’adjectifs possessifs personnels : "mon chien", "ma porte", "mon lit", "mes amis", "mes refuges", "mon ennui". On trouve aussi tous les éléments de notre environnement naturel : le sable, les pages des livres ou journaux, les champs, les routes, les oiseaux, la pluie

� cause de la diff�rence de classe sociale, dom juan le m�prise. Duo amoureux�: charlotte et pierrot dialogue de sourd. Et le dernier couple�: sganarelle et pierrot amour possessif, exclusif. Pierrot est path�tique. M�pris du grand seigneur. Pierrot et charlotte faux duo. Charlotte mat�rialiste et pierrot amoureux et possessif. Sg est assez humain et veut jouer les n�gociateurs en calmant le jeu car il a piti� mais son �lan de sympathie est interrompu lorsqu'il re�oit la gifle => amiti� pas fiable

cette nouvelle apparence de ville à un enfant qui va naitre « première haleine », « son premier geste », « son premier cri ». La répétition de l’adjectif « premier » insiste sur le caractère nouveau d’Argos. L’utilisation de plusieurs déterminants possessifs« son…ses » et de la personnification donne un caractère vivant à Argos. Comme l’explique cette comparaison « Egisthe a reçu ce matin [...] comme une mère son enfant ». Il compare l’Argos nouveau à un enfant qui vient de naître et que l’on remet

propres conseils. - champ lexical de la propriété : "s'approprier", tous les possessifs "siennes", ... affirmatif = négation -> "il faut qu'il" = "non que" - exemple des abeilles "comparaison" -> "ainsi" le miel -> plus riche, matière première plus sûre, plus recherchée que le pollen prise dans les fleurs. Idées de départ moins riches. Transformation. Fleurs (les philosophes) -> Miel (les idées) - Enumération 3 possessifs "son institution, son travail, son étude" doit être personaisé - Métaphore

d’étoile de mer dans ses poèmes. En 1932, il a une relation avec Youki, la femme d’un peintre qui devient sa compagne. On peut donc penser que la « sirène » de ce poème est sa femme Youki, proposition qui est appuyée par la quantité d’adjectifs possessifs présente dans ce poème. On peut également penser que la sirène est une allégorie de son inspiration, qu’elle peut être sa muse. En effet, aux lignes 38 à 43, l’auteur précise que la sirène ne chante que pour lui, et que personne ne l’entend

un discours.  Passé composé : évoque un passé très proche, qui perdure dans le présent du locuteur, vive émotion souvent.   -Valeurs de modes utilisés: indicatif, subjonctif, impératif, conditionnel   -Les adjectifs et pronoms personnels, possessifs, démonstratifs : ils montreNT l'appartenance à un groupe, ou l'exclusion (« nous » et « eux »), la forte affectivité (« Ma bohème », Rimbaud), la dépréciation (« ce Goriot »), etc.   -Les marques du jugement : les modalisateurs (« peut-être »

bousculer Bajazet dans sa décision : la suite des événements dépend irrévocablement de sa décision Le style linguistique est peu noble et digne. L' emploi des pronoms de dialogue «je», «nous» et principalement «vous» par rapport à celle des possessifs correspondants est plus élevé, ce qui témoigne d'un dialogue plus direct qui vise à accomplir son but énoncé dès les premiers vers. On retrouve un élan de brusquerie qui s'oppose à l'ornementation qui pourrait être attendue par la versification