Pour le Mérite

Différents types d’injustice: sociale/économique/politiquePlan: 1- L’insatisfaction de vivre lorsqu’on reçoit un injustice-en effet lorsqu’on reçoit un jugement qui ne correspond pas à notre mérite on se sent offensé et on ressent une déception assez

serait l'unique but de la littérature : « Une littérature [...] qui n'ose communiquer à la société ses propres souffrances et ses propres aspirations, qui n'est pas capable d'apercevoir à temps les dangers sociaux et moraux qui la concernent, ne mérite même pas le nom de littérature. » Jean-Paul Sartre en convient dans son essai Qu'est-ce que la littérature ? : l'écrivain est un parleur et «parler, c'est agir». En parlant, on dévoile, et «dévoiler, c'est changer». Sartre nous dit donc : écrire

avoir les mêmes possibilités d’exploiter ces compétences acquises. En effet, le terme « méritocratie » est notamment invoqué à l’école pour justifier la réussite des élèves par l’ardeur du travail. Elle est visible par les récompenses attribuées au mérite de l’élève comme par exemple les tableaux d’honneur, les compliments, les mentions… Cette notion renvoie à l’idée que chacun peut atteindre ces objectifs du fait de ses talents personnels et de son travail. C’est la raison pour laquelle nous venons

liberté d'expression par les écrits. 2) Figaro a connu la censure : 3) Une description ironique de la censure : II. La critique sociale : 1. Une critique de la noblesse : 2. Critique d’une société qui ne reconnaît pas les mérites: 3. La malhonnêteté est récompensée: III. Figaro est-il un personnage révolutionnaire ? 1. Le valet de comédie devient un personnage de roman : 2. Figaro n’est pas un personnage révolutionnaire:

République française « Liberté, Égalité, Fraternité ». Mais, dans un même temps, les sociétés capitalistes dans lesquelles nous vivons, prônent un marché où les compétences et mérites sont sans cesse hiérarchisés. D'où une certaine contradiction qui mène à s'interroger sur la possibilité de concilier égalité de tous et mérite de chacun dans une société à double nature (qui veut l'égalité et développe les hiérarchies). L'inégalité est la distribution non-uniforme d'un bien matériel (revenu par exemple)

angoissant que cela puisse paraître mais c'est vrai. Je suis tombé amoureux de ton sourire, de tes yeux, de la façon dont tu arranges tes cheveux. Je suis tombé amoureux de la personne que tu es réellement et je veux te rendre heureuse comme tu le mérites. Ne vas pas croire que c'est n'est qu'un passage. Ce n'est pas vrai ! Je ne pourrais pas un jour me lever sans que tu sois à mes côtés. Je te veux dans mes bras chaque matin qui compose notre vie. Ça peut paraître dingue mais je suis épris ! Je suis

"protecteur ", "admirateur" -> univers superficiel, ostentatoire qu'est la cour. En //, est proposé implicitement un autre système de valeurs, basé sur une conduite digne d'estime, une valeur réelle : lexique antithétique : "excellé dans son art ", "mérite ", "actions ", "récompense qu'elles méritent ". -> Insistance sur le fait que cet étalage n'a rien de réel. cf. l.6, l.23, l.25 2. l.15 à l.18 : Critique de l'esprit de concurrence à la cour Phrase : antiphrase / situation de la cour au XVIIIe

avant que d’avoir considéré le mérite de la personne pour laquelle nous nous sentons émus. Mais à cause que nous ne pouvons pas aimer également tous ceux en qui nous remarquons des mérites égaux, je crois que nous sommes seulement obligés de les estimer également ; et que, le principal bien de la vie étant d’avoir de l’amitié pour quelques uns, nous avons raison de préférer ceux à qui nos inclinations secrètes nous joignent, pourvu que nous remarquions aussi en eux du mérite. Outre que, lorsque ces inclinations

Douteux ! Il ne l’est point. ARAMINTE N’importe, achevez. « Non, Monsieur, je suis chargé de sa part de vous assurer que la seule justice qu’elle rend à votre mérite la détermine. » DORANTE, à part. Ciel ! Je suis perdu. Mais, Madame, vous n’aviez aucune inclination pour lui. ARAMINTE Achevez, vous dis-je… « Qu’elle rend à votre mérite la détermine… » Je crois que la main vous tremble ! Vous paraissez changé. Qu’est-ce que cela signifie ? Vous trouvez-vous mal ? DORANTE Je ne me trouve pas

que la France ne mérite pas de réinstaurer des mesures barbares comme la peine de mort.Je crois aussi en l’humanité, et je suis convaincue que l’Homme est capable d’évoluer, de s’améliorer, de comprendre ses actes et de se racheter. Je crois que chaque homme, quel que soit le crime qu’il a commis, mérite une seconde chance. Je suis persuadée que personne ne mérite la mort et j’espère que la majorité des Français partage aujourd’hui cet avis qui me parait évident. Personne ne mérite d’être mis à mort