Pour le plaisir

romantisme sur celui de REEL. Reste un troisième contenu lié à l'art : le PLAISIR. Et si l'art n'avait pour but que de nous faire plaisir ? Mais de quel plaisir s'agit-il alors ? => Fondement de l'hypothèse de la subjectivité du goût Rappelons un principe commun aux théories classiques et romantiques de l'art: l'art a pour but de dévoiler l'être. C'est ce qui donne à l'oeuvre sa signification. Mais l'art est aussi source de PLAISIR. Là encore, les deux théories se rejoignent sur un même principe:

extérieur et n’admire que soi, […] et ses décrets sans nature. ( VIII, 3) 13- D’abord, si la vertu est destinée à procurer du plaisir, ce n’est pas pour cette raison qu’on la recherche, […] atteindra aussi celui-là. ( IX, 1) 14- Le souverain bien est la dureté d’une âme qui ne peut-être brisée, ainsi que sa prévoyance, […] et sa beauté. ( IX, 3) 15- Au contraire, les plaisirs des sages sont paisibles, modérés et presque languissants, retenus et à peine perceptibles, étant donné qu’ils se sont présentés

le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse. C’est lui en effet que nous avons reconnu comme bien principal et conforme à notre nature, c’est de lui que nous partons pour déterminer ce qu’il faut choisir et ce qu’il faut éviter, et c’est à lui que nous avons finalement recours lorsque nous nous servons de la sensation comme d’une règle pour apprécier tout bien qui s’offre. Or, précisément parce que le plaisir est notre bien principal et inné, nous ne cherchons pas tout plaisir ; il

manger suscite un certain plaisir ! La gourmandise commence lorsque le plaisir de manger prime sur le besoin naturel de manger pour restaurer ses forces et satisfaire sa faim. Ainsi c’est le fait que manger procure du plaisir qui suscite la gourmandise et nous induit dans le péché. On 3 peut donc se demander pourquoi diable, ce plaisir de manger ? Pourquoi Dieu, ou la Nature, nous l’ont t’ils donné ?. Le Dictionnaire de Théologie Catholique4 répond : « Le plaisir naturel qui accompagne le

et sa supériorité sur les simples plaisirs, c’est sa constance ou sa durée. La connaissance (en tant que "contemplation", à la "grecque" !, pas en tant que "recherche scientifique" au sens moderne) serait la version humaine et terrestre de la béatitude divine… 3. L’épicurisme ou l’hédonisme L'hédonisme (de hedon : plaisir) est cette doctrine eudémoniste qui assimile, non seulement le bien avec le bonheur, mais encore le bonheur avec l'ensemble des plaisirs. Ainsi pensait Epicure, pour ne citer

Vie
réelle
n’est
rien
en
 comparaison
de
la
vie
dans
la
 machine
 •  Etre
l’architecte
de
son
 existence

 •  Se
libérer
de
toute
contrainte
 •  Quoi
d’autre
à
part
nos
 expériences
pourrait
compter
 dans
la
vie?
 •  Plus
de
plaisir
doit
toujours
 être
préféré
à
moins
de
plaisir
 …
surtout
si
cela
n’affecte
pas
 les
autres
 •  Tout
n’est
qu’illusion
 •  Etre
dans
le
vrai
est
préférable
 à
se
bercer
d’illusions
 •  Vivre,
c’est
agir
sur
la
réalité
 •  Je
ne
veux
pas
être
un
 ‘légume’!
 •  Exprimer
ma
personne
à


stratégie, etc. Aristote se demande donc s'il n'existe une chose qui soit la fin dernière de tous nos actes, qui ne soit pas « désirable en vue d'une autre chose » mais uniquement en elle-même. La seule fin de ce genre est le bonheur : même l'honneur, le plaisir ou l'intelligence sont des fins en vue du bonheur. Le bonheur est donc la fin suprême de toutes nos actions. « Le bonheur est quelque chose de parfait et qui se suffit à soi-même, et il est la fin de nos actions. » Éthique à Nicomaque, Aristote

confondre « l’action faite par devoir » avec l’action conforme au devoir. Conclusion : On juge un acte moral en fonction de l’intention et des conséquences, donc des circonstances et de l’utilité. Problème : Quel moral faut-il suivre ? 1. Morale du plaisir 2. Morale de la vertue 3. Morale du devoir Faut-il suivre une morale de l’intérêt ou bien une morale du don et de la générosité désintéressée et gratuite ? Autrement dit, sur quoi la conscience morale fond t-elle sa légitimité ? Remarque :

Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur (Comte-Sponville) 15 3. Carpe diem (Horace, Ronsard) 15 C. Le bonheur est au passé

augmentations du prix des cigarettes 1. Encore une fois on nous attaque et on restreint notre liberté. * Ce qui fait penser aux limitations de vitesse ou de consommation d’alcool, de drogue. * Tout individu n’a-t-il pas le droit de se plaisir comme il veut et même de s’intoxiquer si c’est son choix ? 2. L’augmentation du prix du tabac est un moyen efficace pour l’Etat de trouver plusieurs milliards nécessaires pour son budget et pour soutenir soi-disant, les soins, les cures, les